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Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 4 février 2024
Post de Alexis Poulin sur X
moins de 8 mn à écouter absolument sur Youtube
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1 commentaire:
Faute de pouvoir insérer mon post sur l'article de Libération au dessus ...
Le populisme élitiste, y'a que ça de vrai!
"Ainsi le grand débat proposé par Emmanuel Macron n’eut rien d’un débat mais fut présenté comme une série de prêches télévisuels sur les bienfaits du progressisme par son champion élu, mettant en scène ses capacités de surhomme." A.P.
"Pire encore, le progressisme dans son idéologie de la confusion est un puissant rouleau compresseur des élites dans leur volonté d’imposer leur vision du progrès et nier les réalités de la lutte des classes. C’est une traduction du TINA, “There is no alternative”, dont toute l’arnaque repose sur le fait de faire croire que les idéologies sont mortes, emportant avec elles le clivage gauche-droite et niant l’asservissement d’une partie de la population mondiale par une autre à des fins de profits.
Dans sa façon même de construire son idéologie, le progressisme refuse toute remise en cause, il est par essence dogmatique et totalitaire dans sa pensée du changement sociétal. Ainsi le grand débat proposé par Emmanuel Macron n’eut rien d’un débat mais fut présenté comme une série de prêches télévisuels sur les bienfaits du progressisme par son champion élu, mettant en scène ses capacités de surhomme.
Le progressisme a déjà démontré qu’il était le faux-nez du libéralisme industriel, ses priorités étant la dérégulation sociale, la financiarisation de toutes les sphères de l’existence et la croissance à tout prix. Dans son sillage, l’idéologie nouvelle du progrès recycle tout: l’écologie devient le développement durable pour entrer dans les business plans et ne pas contrarier les industries pollueuses dans leur travail de sape climatique; la protection sociale devient la responsabilité de chacun grâce à l’emploi et la formation; le travail est devenu une “ressource humaine” exportable au même titre que les ressources naturelles, et le progressisme cultive un “impensé” fondateur, dans la défense systématique des intérêts de la caste financière.
L’ennemi du progressisme n’est pas le populisme, loin de là, mais bien le réveil écologique des consciences de millions de citoyens qui ont compris, 50 ans après l’alerte climatique, que l’idéologie du progrès et les marqueurs de la croissance sont des leurres amenant à la catastrophe.
Le progrès est ailleurs."
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/le-progressisme-c-est-le-populisme-de-l-elite_143117.html
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