samedi 3 février 2024

 


5 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.huffingtonpost.fr/life/article/pour-preserver-leur-sante-intestinale-voici-les-aliments-que-ces-gastro-enterologues-refusent-de-manger_229239.html

Anonyme a dit…

Santé et écologie

"La végétalisation de notre alimentation est, en plus d’un enjeu de santé, un levier majeur pour réduire notre impact sur l’environnement. Dans un rapport publié le 25 janvier, le Haut Conseil pour le climat a rappelé que l’alimentation représente 22 % de l’empreinte carbone de la France. L’instance recommandait justement d’élargir « l’offre de produits bas carbone, en particulier les produits d’origine végétale, dans la restauration collective publique et privée via un renforcement des critères de la commande publique ».

« Adopter une alimentation végétale permet de limiter notre impact sur la biodiversité, sur la ressource en eau, sur diverses pollutions, énumère Camille Serny. La restauration collective est vraiment un levier important, parce que c’est un endroit fréquenté par beaucoup de personnes, mais aussi parce que c’est un endroit où l’on apprend à manger, où l’on prend de bonnes habitudes. »

L’AVF alerte donc l’État, et l’appelle à mener un vrai suivi pour obtenir des chiffres plus précis et plus fiables sur les 10 000 établissements secondaires. Il faudra également étudier la qualité des menus proposés : l’association relève que, parmi les cantines qui cuisinent déjà un repas végétarien par semaine, le recours aux produits transformés et aux protéines animales (œufs et produits laitiers) est « encore trop fréquent ».

L’association ne désespère pas et rappelle que 25 % des établissements proposent un menu végétarien plus d’une fois par semaine. Conclusion : « Il est donc possible d’appliquer la loi, et même d’aller au-delà ! »


https://reporterre.net/Menu-vegetarien-a-la-cantine-38-des-colleges-et-lycees-hors-la-loi

Anonyme a dit…

LA CONNE APPELLERA T'ELLE LA PLUIE PAR WHATSAPP ?

« Charges bureaucratiques » et sécheresse historique

"Un message relayé par les trois principaux syndicats agricoles espagnols (Asaja, COAG, et UPA), qui ne participent pas au mouvement de mardi, mais qui ont prévu d’autres manifestations dans les prochains jours, notamment jeudi à Salamanque (Centre) et Huesca (Nord), ainsi que vendredi à Bilbao (Nord). Ces trois syndicats ont été reçus en urgence vendredi par le ministre de l’agriculture, Luis Planas, qui s’est engagé à « travailler » pour répondre à la crise du secteur. Cette réunion n’a cependant pas suffi à apaiser la colère des agriculteurs.

Interrogée mardi matin sur la radio publique RNE, la ministre de la transition écologique, Teresa Ribera, a dit comprendre les « préoccupations » des agriculteurs, confrontés à de lourdes « charges bureaucratiques » et à une sécheresse historique qui affecte les récoltes. « Nous devons moduler les objectifs européens de durabilité, ce que l’on appelle l’Europe verte, au rythme exigé par le secteur », a estimé la ministre socialiste, tout en dénonçant la « manipulation » dont ces règles environnementales font actuellement l’objet.

Le Pacte vert européen – décliné dans une série de législations environnementales, qui ne sont pour la plupart pas encore entrées en vigueur – est vivement critiqué en Espagne par le parti d’extrême droite Vox, qui l’accuse de vouloir « détruire » l’agriculture ibérique.

L’Espagne, souvent qualifiée de « potager de l’Europe », est le premier exportateur européen de fruits et légumes. Le secteur agricole espagnol est néanmoins en difficulté, en raison notamment du manque de pluies qui sévit depuis trois ans dans le pays."


https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/06/agriculteurs-en-colere-en-espagne-des-milliers-de-tracteurs-bloquent-des-routes_6215044_3210.html

Anonyme a dit…

La vache qui rit jaune...

"Historien, chercheur associé à l’Institut d’histoire du temps présent, Fabrice Riceputi réunit pour la première fois dans un livre, Le Pen et la torture – Alger 1957, l’histoire contre l’oubli (le Passager clandestin, en partenariat avec Mediapart) l’ensemble des preuves permettant d’établir le rôle dans la guerre d’Algérie du fondateur du Front national (FN), engagé volontaire comme lieutenant au début de la bataille d’Alger. Une occasion, aussi, de revenir sur la matrice coloniale trop souvent minorée qui irrigue le parti d’extrême droite à sa fondation, et de faire honneur à la phrase de Pierre Vidal-Naquet, grand historien et intellectuel engagé contre la torture, dont Riceputi a été l’élève : «Ce serait diffamer Le Pen que de dire qu’il n’a pas torturé.»
(…)


https://www.liberation.fr/politique/elections/jean-marie-le-pen-et-la-torture-en-algerie-la-nuit-il-allait-a-la-recherche-de-suspects-20240206_IRWYYLEPOZEIJJTABY46LWUQI4/

Anonyme a dit…

Les "connes" débrayent suavement : elles sentent qu'il vaut mieux desserrer l'étau (sic) ou entraîner tout le monde dans la tourmente ???


https://www.laplasturgie.fr/ces-quatre-banques-ont-deciide-de-supprimer-ces-frais-pour-leurs-clientse0602/