Fronde des policiers : quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983
LeHuffPost
https://youtu.be/089DIxYamvw
En juin 1983, près de 2000 policiers se répandent dans Paris pour demander la démission du ministre de la Justice Robert Badinter. La réponse du président de la République ne se fait pas attendre.
POLITIQUE - C'est une situation qui en rappelle une autre, mais le dénouement est bien différent. La mise en détention provisoire d'un policier marseillais soupçonné de violences policières suscite une levée de boucliers d'une partie des policiers, soutenus par leur chef, Frédéric Veaux. Pour le directeur général de la police nationale, un policier n'a « pas sa place en prison, même s'il a pu commettre des erreurs graves ».
Face à cette déclaration provocatrice et polémique, l'exécutif répond « nul n'est au-dessus des lois »… mais la réaction s'arrête là. Confronté à une fronde des policiers s'attaquant à l'institution judiciaire, le président de la République François Mitterrand, choisit, lui, la sévérité, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article.
Le 3 juin 1983, dans la cour d'honneur de la préfecture de police de Paris, près de 1500 policiers sont venus rendre hommage à deux de leurs collègues, Émile Gondry et Claude Caiola tués par des cambrioleurs, membres du groupuscule d'extrême gauche Action directe, avenue Trudaine, quelques jours plus tôt.
Lire la suite sur Le HuffPost
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 31 juillet 2023
Quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Propos de Frédéric Veaux, patron de la police : et le devoir de réserve ? – Libération" :
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
COURAGE, FUYONS NOS RESPONSABILITÉS !...
Hedi blessé par des policiers, la Macronie botte en touche après son témoignage
LeHuffpost
https://youtu.be/qYOosxdNg3A
« Bouleversant, mais… » C’est en substance ce qu’ont répondu les membres de la Macron ce 27 juillet, au lendemain de la publication par Konbini du témoignage de Hedi, blessé par des policiers à Marseille début juillet.
« Forcément on a envie d’abord de lui dire qu’on lui souhaite de se rétablir et de pouvoir trouver la voie de la reconstruction », a répondu Olivier Véran ce 27 juillet sur le plateau de BFMTV. « Néanmoins, a poursuivi le porte-parole du gouvernement, quelle que soit la vidéo, quel que soit le témoignage auquel vous et moi, comme citoyens français, pouvons être exposés, ça ne fait pas de nous des magistrats ou des juges », a-t-il déclaré.
Ce débat sur la police a tourné au clash...
LFI-NUPES 🇫🇷
https://youtu.be/VBr4NMDCs_k
Antoine Léaument face à Rudy Mana (syndicat Alliance) et Bruno Pomart (Ancien CRS et ancien du RAID...)
Et accessoirement maire de Belflou (11), et caricaturiste patenté du Droit !...
Enregistrer un commentaire