vendredi 26 mai 2023

Violences : Emmanuel Macron alerte contre une « décivilisation » de la société - Le Parisien


Note réboussière :

Décivilisation

Pout régler un problème on lui donne un nom 

Mais ce n'est qu' un constat 

On ne décrit qu' un fait 

Mais où sont les causes ?

Le terme décivilisation a généré des dissertations sans fin , même le maire de Cannes ex LR a cru bon ce matin dérouler ses compétences sur ce sujet ?!?!

Pour la macronie c'est bon , on nomme un fait… 

On a communiqué !

Le problème est réglé…

Mais cette attitude de rejet de nos règles semble une réaction naturelle , dans la mesure ou notre pays (entres autres) marginalise une partie de la population en muselant toutes contestations

Pas sur que ce soit un retour en arrière !

Evidement vous avez compris que c'est un concept (non exclusif) de droite et d' extrême droite

Soyez rangé suivez les moutons qui se précipitent dans l' abime

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"LES EXTRÊMES, LES EXTRÊMES..." : L'INCROYABLE LÂCHETÉ DE LA MACRONIE FACE AU PIRE
Le Média



https://youtu.be/WGT036dRjgk



Mercredi, plusieurs centaines de personnes ont marché à Saint-Brevin pour manifester leur solidarité avec le maire Yannick Morez, en répondant à l’appel de partis de gauche et de l’Association des Maires de France.

Il avait démissionné après un incendie volontaire à son domicile, aboutissement de mois de harcèlement par des groupes d’extrême droite voulant faire échouer un projet de déménagement et d'extension d’un centre d’hébergement pour demandeurs d'asile sur la commune.

Cet évènement a été intégré au récit politique et médiatique ambiant - celui qui ne prend pas au sérieux et relativise la violence d’extrême droite, notamment en l’associant systématiquement à une supposée violence symétrique d’extrême gauche.

Le récit politique et médiatique dominant à propos de la démission du maire de Saint-Brevin s’intègre à cette rhétorique relativiste, notamment en réduisant ce qui ressemble bien à un attentat d’extrême droite à un simple avatar du problème plus général des incivilités et agressions contre des élus locaux. Or convoquer la catégorie fourre-tout “d’agressions contre élus locaux” permet de dépolitiser l’attaque de Saint-Brevin, puisqu’on perd la spécificité du contexte.