vendredi 14 octobre 2022

Lapins de garenne, passereaux, pies-grièches à poitrine rose, Macronitus renaissance, ces espèces menacées en Occitanie

 


8 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.midilibre.fr/2022/10/13/lapins-de-garenne-passereaux-pies-grieches-a-poitrine-rose-ces-especes-menacees-en-occitanie-10733971.php

Anonyme a dit…

69% des populations d'animaux ont disparu depuis 1970

"On a de plus en plus de difficultés à avoir des niveaux d'eau favorables dans les étangs, ce qui fait que le niveau d'eau dans les roselières diminue. À partir du moment où on a plus d'eau dans la roselière, le Butor ne vient plus nicher. On avait 20 à 25 mâles chanteurs, à l'heure actuelle, on est en dessous de cinq à six mâles chanteurs", explique Albert Millot. Il ne resterait plus que 250 Butor étoilés en France, soit deux fois moins qu'il y a 10 ans, à cause de la sécheresse. L'absence de pluie a également asséché les marais, qui étaient le refuge hivernal des Cistudes, des tortues d'eau douce.

Le danger vint également d'autres espèces, plus exotiques, comme du ragondin, qui envahissent la Brenne. Au total, 69% des populations d'animaux ont disparu depuis 1970, et 83% pour les milieux d'eau douce."


https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/biodiversite/biodiversite-de-nombreuses-especes-menacees-dans-les-zones-humides-de-la-brenne_5415787.html

Anonyme a dit…

Je vais la faire tounoyer celle là...


https://infoccitanie.fr/gard-grosse-frayeur-a-aigues-mortes-ou-un-taureau-saute-dans-les-gradins/

Anonyme a dit…

"Mardi, à Mende en Lozère, ouvre le nouveau Musée du Gévaudan qui retrace l'histoire de cette province d'Ancien régime en faisant la part belle à la "bête" qui a terrorisé la France de Louis XV."
(...)


https://www.geo.fr/histoire/en-lozere-un-nouveau-musee-du-gevaudan-fait-la-part-belle-a-la-bete-212170

Anonyme a dit…

"Au cœur d’un des étés les plus secs et brûlants depuis l’année 1900, alors que des milliers d’hectares de forêts partaient en fumée en Gironde, en Ardèche, en Lozère et même en Bretagne, l’ASPAS lançait un cri d’alarme partagé des milliers de fois sur les réseaux sociaux sous le titre “La faune a besoin d’eau, pas de fusils !”

Sur le terrain, vous êtes nombreux à être venus en aide de la petite faune dans votre refuge ASPAS, votre jardin, sur votre balcon – une coupelle d’eau peut parfois suffire ! – quant aux chasseurs, plusieurs se sont vantés d’emmener en forêt des citernes énormes avec leurs tracteurs ou 4×4 pour donner à boire à des animaux… qu’ils tueront un peu plus tard.

Plus choquant encore : alors que l’alerte sécheresse était à son stade le plus critique, d’autres se sont vu accorder des passe-droits scandaleux de la part des préfets pour aller remplir d’eau douce leurs gabions en bord de mer, cela pour ne pas compromettre l’ouverture de la chasse au gibier d’eau qui a démarré comme prévu le 21 août ! "
(...)


https://www.aspas-nature.org/secheresse-et-chasse-les-prefets-repondent-a-laspas/

Anonyme a dit…

https://www.brgm.fr/fr/actualite/communique-presse/nappes-eau-souterraine-au-1er-octobre-2022

Anonyme a dit…

https://www.meteolanguedoc.com/actualites-meteo-languedoc/mise-en-place-d-un-episode-cevenol-pour-la-fin-de-semaine-jusqu-a-200-mm-en-montagne/p2315

Anonyme a dit…

"C’est une analyse qui ne plaira pas à l’industrie agrochimique. Selon l’expertise collective de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) publiée le 20 octobre, la diversification végétale des parcelles et des paysages agricoles est une solution naturelle efficace pour protéger les cultures des insectes ravageurs, des mauvaises herbes ou des champignons pathogènes (bioagresseurs). Elle garantit également des niveaux de rendement égaux, voire supérieurs aux systèmes peu diversifiés, comme les monocultures. Pour les experts, il s’agit même « d’un levier majeur pour préserver l’environnement et la santé humaine ».

Les mélanges variétaux [1], les associations de cultures (et notamment l’agroforesterie [2]), ou encore les pratiques agroécologiques en périphérie des cultures sont donc bénéfiques à la fois pour la planète et le portefeuille des paysans. Car « les bandes enherbées, les terres en jachère, les haies sont autant d’éléments semi-naturels qui servent de refuge et de nourriture aux ennemis naturels de certains bioagresseurs des cultures », expliquent les chercheurs.

Selon la pratique, les rendements agricoles augmentent aussi de 2 à 47 % [3]. Les gains sont particulièrement notables pour les rotations de cultures (qui voient leur rendement grimper de 10 et 20 %) et pour les associations d’espèces cultivées (20-40 %). Côté bioagresseurs, l’utilisation de couverts végétaux entre les cultures permet d’augmenter leur contrôle de 125 %. La polyculture, l’agroforesterie et l’implantation de haies de 60 %, 40 % et 84 % respectivement. Le tout en favorisant la biodiversité.

Pour les chercheurs, « les pouvoirs publics, en tant que régulateurs, ont un rôle essentiel à jouer dans ces choix en mettant en place des politiques publiques incitatives (subventions, paiement pour service environnemental…) cohérentes et contraignantes (interdiction ou limitation de certains pesticides, obligation de maintenir des espaces semi-naturels…) »."



https://reporterre.net/L-agriculture-ecologique-permet-de-produire-plus-que-les-monocultures