samedi 1 mai 2021

Le virus que craint Macron ? La Bidenite aiguë !

 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Il ne sert à rien de prévoir l'issue de la préside..." : 

#BDR95​ : Le virus que craint Macron ? La Bidenite aiguë !
FRANÇOIS RUFFIN
https://youtu.be/eRHs9-w470c

Le même jour ! Dans la presse, Macron vante la suppression de l'ISF, la baisse des impôts

productifs, les riches qui vont créer des usines... tandis que Biden, lui, déclare : "Ce n'est pas Wall Street qui a construit ce pays !" Pire que le Covid, pour Macron : la Bidenite... Pourvu que cette maladie ne traverse pas l'Atlantique et ne contamine pas les esprits ! 

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Et le virus que craignent les jeunes en cours en distentiel s'appelle le "daronnage" !


"Il faut imaginer l’interminable liste des recommandations faites par un lycéen à ses parents avant son cours en distanciel. Ne pas entrer dans la chambre, ne pas faire de bruit, ne pas utiliser la perceuse, ne pas jouer de l’hélicon, ne pas regarder « les Feux de l’amour » sans casque, ne pas bouger, ne pas respirer. Ne pas exister. Et surtout ne pas répondre : « Tu sais, mon chéri, tes professeurs et tes camarades savent que tu as des parents ? Il n’y a pas de honte. » Justement, si. Et pas des moindres."
(...)


https://www.nouvelobs.com/chroniques/20210502.OBS43540/se-faire-daronned-ce-nouveau-fleau-frappant-l-adolescence-confinee.htm

Anonyme a dit…

"QUOI QU'IL EN COÛTE, LES RICHES DEVRONT PAYER"
Le Média



https://youtu.be/eHu_5y7o1Gg



"Et si les ultra-riches et les multinationales payaient la crise Covid ?" C'est la question que pose l'ONG ATTAC qui lance une nouvelle pétition. De mars à décembre 2020, la fortune des milliardaires français augmente de 175 milliards d'euros, soit de 40%. La France compte quatre milliardaires supplémentaires. Ces chiffres illustrent le renforcement des inégalités sociales alors que fin 2020, 8 millions de personnes bénéficient de l'aide alimentaire.

Pour renflouer l'économie face à la crise de la Covid 19, le gouvernement présente différents plans de relance dès l'été 2020 (100 milliards d'euros, dont 40 milliards issus du plan d'aide européen), sans contreparties sociales et environnementales véritablement fortes. Pourtant, le 14 Juin 2020, lors d'une allocution télévisée, le Président de la République, Emmanuel Macron déclarait : "notre priorité est d'abord de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire". Dans un autre discours, également en Juin 2020, il expliquait que "le temps est venu de faire, d'agir, de placer l'écologie au cœur du modèle économique". Dans le même temps, le plan de relance favorisait des secteurs polluants comme l'automobile et l'aérien (Air France a bénéficié d'une aide de 7 milliards). Cette relance était-elle une relance capitaliste effrénée au détriment de l'environnement et des classes populaires ? Le quoi qu'il en coûte aurait profité aux plus riches.

Pourtant, lors du premier confinement, alors que les personnels soignants étaient applaudis tous les soirs à 20 heures, les revendications pour le monde d'après fleurissent. Un monde plus vert, plus écologique, plus solidaire. La question de la planification pour une économie et des productions plus sobres était débattue. La question de la relocalisation revenait sur le devant de la scène. Il apparaissait logique de produire localement, et qu'il était polluant de dépendre de productions à l'autre bout de la planète. On se rendait compte qu'il était plus vert, plus écologique d'industrialiser (uniquement dans des secteurs essentiels) nos territoires pour produire ce qui est nécessaire et vital, plutôt que d'importer des masques de Chine. On discutait de privilégier certaines productions plutôt que d'autres, sur la base des besoins réels, en écartant ce qui était considéré comme inutile et superflu. En questionnant nos besoins et notre consommation, en interrogeant quelles sont les activités essentielles et en réaffirmant le désir de vivre et décider au pays.

Dans ce contexte, l'ONG ATTAC avait publié "Ce qui dépend de nous, manifeste pour une relocalisation écologique et solidaire" pour porter cette idée que "la relocalisation peut aussi être écologique et solidaire". Un an plus tard, ces revendications ont à nouveau disparu, et ne sont plus discutées noyées dans le monde d'après. [...]

Avons-nous réussi à relocaliser nos productions essentielles ? Tous ces discours n'avaient-ils pour but que de verdir certains discours ou avons-nous raté le coche; une opportunité à saisir pour de nouvelles politiques ? Ou finalement, les promesses pour les "Plus jamais ça" n'étaient que du vent ?

Pour comprendre l'évolution de notre société depuis le monde d'après, et faire le bilan politique de ce que la crise de la Covid 19 engendre, Le Média reçoit Aurélie Trouvé, porte-parole d'Attac.

Pétition évoquée : https://france.attac.org/se-mobiliser...​

Anonyme a dit…

LA THÉORIE DU RUISSELLEMENT, ÇA NE MARCHE PAS

"D'autant que le bon Joe ne s'est pas contenté de sortir son chéquier géant mais aussi des mots magiques dont son prédécesseur, et en vérité nombre d'ex du Bureau ovale, n'imaginaient pas qu'ils puissent séduire autant. Des exemples ? 1) Le «Big Government» - l'État stratège et interventionniste, c'est bien. 2) La théorie du ruissellement - en clair l'allègement fiscal des plus riches stimule l'économie et profite aux plus pauvres - ça n'a jamais fonctionné. 3) En conséquence de quoi, les premiers, 500 000 foyers concernés, devront participer à l'effort collectif et payer un peu plus d'impôts sur les revenus de leur capital. Le double : 39,6 %. au lieu de 20 %. 4) Les sociétés, GAFA compris a priori, itou (28 % contre 21 %) signant ainsi la fin du « cadeau fiscal » offert par Trump et le retour à des niveaux d'imposition déjà en cours dans le passé.

Verdict : plutôt positif si l'on en croit la synthèse de divers sondages, y compris concernant certaines mesures aux yeux des électeurs républicains. En embuscade permanente, l'aile progressiste du Parti démocrate, en la personne d' Alexandria Ocasio-Cortez, s'est dite agréablement surprise par les engagements du président."
(...)


https://www.marianne.net/le-nouveau-roosevelt-la-biden-mania-quon-nattendait-pas