mercredi 21 avril 2021

"Martine à la ferme" : l’offense sexiste d’un député LREM à Bénédicte Taurine, députée de l'Ariège - ladepeche.fr

https://www.ladepeche.fr/2021/04/20/martine-a-la-ferme-loffense-sexiste-dun-depute-lrem-a-benedicte-taurine-deputee-de-lariege-9499929.php



5 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand un député LREM accouche d'une (chauve-) souris...


M-M Robin : La biodiversité protège la santé. Éradiquer la pauvreté pour préserver la biodiversité.
La Luciole Mélenchantée



https://youtu.be/a__3G9i1IxY



Extraits de deux passages médias de la journaliste Marie-Monique Robin qui publie un nouveau livre, "La fabrique des pandémies" :

TV5 Monde : https://youtu.be/-cHpQmxpHEI​

Le Média : https://youtu.be/FAzt-ZdVemM

Anonyme a dit…

"Tous les mardis, Reporterre intervient dans La Terre au carré, l’émission d’environnement de France Inter. Mardi 20 avril, Yves Sciama a présenté l’enquête de Reporterre sur les animaux touchés par le Covid. Le virus pourrait menacer de très nombreuses espèces et bouleverser les milieux naturels. Car exposer la faune sauvage à des pathogènes inédits n’a rien d’anodin."
(...)



https://reporterre.net/Reporterre-sur-France-Inter-chats-rongeurs-corbeaux-La-faune-elle-aussi-touchee-par-le

Anonyme a dit…

Les macronistes ont peur de Mélenchon
L'insoumission



https://youtu.be/vSXsQLM8csI



Les macronistes ont peur de Jean-Luc Mélenchon. Et ça se voit.

Anonyme a dit…

"Martine a la ferme" assume son bilan


Jean-Pierre Chassang et Gaëlle Petit développent depuis plus de quinze ans un élevage laitier sans engrais chimiques et avec très peu de travaux mécanisés. Une agriculture paysanne qui préserve la biodiversité et anticipe les risques climatiques.

Lorcières (Cantal), reportage


"Le Gaec des Ferrandaises est une ferme familiale qui a toujours été à contre-courant du monde agricole. Dans les années 1970, alors que l’agriculture paysanne était encore fréquente dans la région, le père de Jean-Pierre Chassang s’est lancé dans une agriculture productiviste. Puis dans les années 1990, alors que ses voisins du Cantal transitionnaient eux aussi vers l’intensif, l’agriculteur est revenu à un élevage plus éthique et soutenable. Un retour à l’agriculture traditionnelle dont Jean-Pierre Chassang et Gaëlle Petit ont fait leur héritage.

Depuis 2003, leurs vaches rustiques — de races vosgienne, ferrandaise et abondance — se nourrissent essentiellement d’herbe et de foin venus des prairies naturelles de la ferme. Nul besoin de mobiliser des semi-remorques pour importer de la nourriture ni de recourir au soja, dont la culture participe très largement à la déforestation de la forêt amazonienne."
.../...


Un bilan carbone presque neutre

"Le couple de paysans ne fait pas non plus appel à l’ensilage, cette méthode de conservation des fourrages sous plastique. Cela permet d’éviter son enrubannage, une méthode de stockage qui nécessite de nombreuses couches de films plastiques. Jean-Pierre et Gaëlle ont aussi réduit drastiquement l’usage d’engins agricoles, se limitant à de petits tracteurs pour les tâches les plus pénibles.

La ferme se retrouve ainsi avec un bilan carbone (mesuré en 2015 par la méthode CAP’2ER) quasiment neutre. Une neutralité qui tranche avec les émissions de l’agriculture : celle-ci était responsable en 2018 de 19 % des gaz à effet de serre de la France.

La ferme de Jean-Pierre et Gaëlle prouve ainsi qu’il est possible de concilier agriculture et climat. La protection de la biodiversité par la constitution de zones humides et de prairies denses permet aussi de résister aux sécheresses répétées qui frappent l’agriculture. Avec leur modèle écologique, l’exploitation du couple de jeunes paysans devrait pouvoir faire face au réchauffement à venir."



https://reporterre.net/Video-Dans-leur-ferme-ces-paysans-pratiquent-l-elevage-bas-carbone

Anonyme a dit…

« Illusion d'alternative »

"L214 souligne que beaucoup d'acteurs ont préféré se tourner vers des élevages en bâtiment plutôt que vers du plein air.

L'association dénonce aussi la confusion générée par les termes « élevage au sol » chez le consommateur, pointant un décalage fort « entre l'imagerie pastorale des emballages et la réalité ».

Ces emballages s'accompagnent souvent « de mentions valorisantes de type "bien de chez nous" ou "terroir" », évoquent le « "bien-être" des poules ou encore de "bonnes pratiques d'élevage" sur fond de lit de paille », critique L214, qui qualifie l'élevage au sol d'«illusion d'alternative»."
(...)


https://www.ouest-france.fr/societe/l214/l214-denonce-l-elevage-de-poules-au-sol-en-plein-essor-7234759