Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Si vous pensez encore qu'il n'y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.
Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d'un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.
Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
- Il n'a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
- Les tests préliminaires ne montrent pas d'efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
- Il doit être prescrit à l'hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu'il n'a de chances d'être efficace qu'au début de l'infection ;
- Et pour couronner le tout, c'est le genre de médicament qui favorise l'apparition de nouveaux variants[1].
Bref, il n'y a vraiment aucune bonne raison d'accorder une « autorisation temporaire d'utilisation » à ce médicament.
Mais c'est pourtant ce que vient de faire l'Agence du Médicament.
« Une autorisation temporaire d'utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c'est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.
Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.
Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.
Mais ici, on en a appris de belles !
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.
Or, tenez-vous bien[3] :
- Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d'Emmanuel Macron ;
- Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l'Elysée ;
- Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
Comme cela a été résumé sur twitter :
« Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l'épouse d'un député LREM (3), la mère de l'adjoint au chef de cabinet de l'Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4]
Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France !!
Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.
C'est honteux.
Mais ce qui est beaucoup plus grave, c'est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.
Etc…………
1 commentaire:
"Problème : l'efficacité du traitement d'Eli Lilly, le bamlanivimab, est largement controversée. "Non à l’autorisation de traitements non éprouvés", s'exclame en ligne l'association citoyenne Citizen4Science. "Suspendons cette ATU (autorisation temporaire d'utilisation, ndlr) à risque et de bénéfice improbable", s'est étranglé sur Twitter le professeur de pharmacologie Mathieu Molimard (CHU de Bordeaux). Il pointe deux raisons essentielles: d'une part, "l'absence de démonstration d’efficacité", de l'autre, le risque que ce traitement, basé sur un seul anticorps, ne favorise l'émergence de variants du coronavirus, à cause d'une efficacité insuffisante. Ce spécialiste préconise d'attendre l'arrivée de traitements du même type qui combineraient plusieurs anticorps, pour réduire ce risque."
(...)
https://www.capital.fr/entreprises-marches/covid-19-la-france-autorise-un-traitement-deli-lilly-levee-de-boucliers-1395945
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