samedi 19 décembre 2020

Le soin imaginaire , écrit et réalisé par Gilead

Le soin imaginaire , écrit et réalisé par Gilead

« les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell » .

Le remdesivir


Un contrat a été passé avec la Commission européenne alors même que le laboratoire Gilead connaissait les résultats négatifs d'un essai clinique de l'OMS

Le 20 novembre, l'OMS finit même par en déconseiller l'utilisation, soulignant « la possibilité d'importants effets secondaires », notamment sur les reins, son coût important et ses implications logistiques (il doit être administré par intraveineuse).

une stratégie scientifique et commerciale parfaitement orchestrée, qui a déjà permis au laboratoire américain d'empocher près de 900 millions de dollars à travers le monde.

Gilead, connu comme l'un des négociateurs les plus intraitables de l'industrie, annonce fin juin son prix : 390 dollars la dose, soit 2 340 dollars (1 970 euros) le traitement, recommandé en six doses. Bien sur par patient

Ce cout est uniquement calculé en fonction de l 'économie que l' on fait sur la durée d' hospitalisation … quelle arnaque pour un médicament qui ne fonctionne pas !

Nota : cet article a largement « aspiré mais pas tout» des bribes du journal le Monde du 28 nov 2020

Les labos sont protégés par la loi pour les cas et les coûts concernant les effets secondaires graves, 
ce sont les états qui doivent assumer …l’ état c’est nous …
Mais ces labos ne partagent pas les bénéfices.

Dites moi cher(e)s lecteurs et trices si on peut classer cet article dans la fameuse « théorie du complot »
Qui « complote ? » 

4 commentaires:

Anonyme a dit…

La covid vient de m ‘ouvrir les yeux sur le monde de la santé
Des obscurs qui travaillent sérieusement
Des pontes qui s’en mettent plein les poches avec les labos
La santé ne devrait pas appliquer les règles de l ‘économie libérale
Mais ça sert à rien de le crier

Anonyme a dit…

C'est pour cela que son cours de bourse à flambé. Les cons y ont tellement mis d'alcool comme sur un baba que ses actionnaires y ont logiquement perçu des retours de flammes...
La santé, 'quoi qu'il en coûte', on s'en met plein les fouilles !

Anonyme a dit…

08:03
"Mais ça sert à rien de le crier..." la réalité est bien là...

Anonyme a dit…

C'est un remake du "malade imaginaire" interné à la Lanterne ?