jeudi 24 décembre 2020

Le député insoumis a expliqué qu’on jetait des milliards à la mer pour la nouvelle route du Littoral et qu’il fallait donc mieux employer la ressource.



 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Et sur les 3 marches du podium de l'évasion et opt..." :

La pauvreté explose mais on jette des milliards à la mer !
La France insoumise
https://youtu.be/fsVI9xP2tu4

Le 23 décembre 2020, Jean-Luc Mélenchon était l'invité d'Antenne Réunion pour parler de son déplacement dans l'île. Il a détaillé ses propositions pour lutter contre la pauvreté et la vie chère : réforme de l'octroi de mer, gratuité des premiers mètres cubes d'eau et des premiers kilowatt-heures, garantie de retraites dignes au-dessus du seuil de pauvreté et garantie du niveau de vie des étudiants pour leur permettre de faire leurs études. Le député insoumis a expliqué qu'on jetait des milliards à la mer pour la nouvelle route du Littoral et qu'il fallait donc mieux employer la ressource.

Jean-Luc Mélenchon a ensuite parlé de l'une des thématiques centrales de son déplacement à La Réunion : l'enquête sur l'eau. Il a ainsi expliqué que le changement climatique était irréversible et qu'il fallait désormais s'adapter à ses effets sur l'activité humaine. Il a aussi précisé que les problèmes en la matière qui se posent à La Réunion se posent aussi dans l'Hexagone.

Enfin, le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale était interrogé sur les élections régionales. Il a expliqué que les Réunionnais sauraient trouver la voie de la relève au pouvoir actuel. 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

#Coopérative #Livreurs #Vélo

LIVREURS À VÉLO, ILS SE LIBERENT DE L'EXPLOITATION DES PLATEFORMES
Le Média



https://youtu.be/uNYu6VdbWnI


Sous-payés, sans droit au chômage ou à une réelle couverture sociale, les coursiers des plateformes de livraison telles que Deliveroo ou Uber Eats sont l’un des symboles de l’ubérisation du travail. Depuis 2017, les manifestations de livreurs se sont multipliées, mais des alternatives existent.

C’est ici à Bordeaux que l’une des premières coopératives de coursiers a été créée en France. Arthur, 31 ans, en est l’un des fondateurs. Ancien livreur chez Deliveroo, il travaille aujourd’hui chez les Coursiers Bordelais, qui a vu le jour en 2017. "Nous sommes trois co-fondateurs, tous anciens livreurs des plateformes. Créer notre propre entreprise ça permet de reprendre main sur notre métier. Depuis qu'on est salarié on se sent vachement plus libre. On est en train de montrer avec nos petits moyens qu'un autre monde du travail est possible.", explique Arthur. Un autre modèle, basé sur des principes fondamentaux. Aujourd’hui, les Coursiers Bordelais ce sont 6 salariés, tous payés au smic mais avec des conditions de travail sécurisées tout en ayant de l’autonomie. Chaque coursier a un droit de regard sur la gestion de l'entreprise, qui fonctionne sur une organisation tournante du travail (livraison, administratif, compatibilité, ...). Les bénéfices générés servent alors à augmenter tous les salariés de façon égale, à embaucher ou même à augmenter le nombre de congés payés (8 semaines de CP). Une alternative qui a conquis Clément. Il a rejoint la coopérative il y a 6 mois, après avoir quitté Deliveroo.

Les Coursiers bordelais sont loin d’être la seule coopérative en France, elle fait partie d’un réseau bien plus important, connue sous le nom de CoopCycle, du nom de la plateforme numérique qu’utilisent les collectifs de coursiers. Un outil précieux qu’a développé bénévolement Alexandre Segura. CoopCycle c’est aussi une fédération de coopératives, 43 en Europe dont 23 en France, qui mutualisent 2% de la valeur qu’elles produisent pour créer une caisse commune et aider d’autres coopératives à se monter. Un modèle alternatif qui a toute sa place dans le débat sur l’ubérisation du travail, d’après Kevin Poperl, vice-président bénévole de Coopcycle : "Il devrait y avoir une réponse de l'Etat pour institutionnaliser une requalification en salariat de l'ensemble des livreurs, mais on a perdu l'Etat. Donc pour nous c'est la seule alternative possible pour l'instant, essayer de construire un peu ce que la sécurité sociale fait, c'est-à-dire la mutualisation par les travailleurs, pour les travailleurs, de leur outil de travail".

Anonyme a dit…

La liberté est une conquête, pas un don ! - Vlog à La Réunion
JEAN-LUC MÉLENCHON



https://youtu.be/RTNXJhbdSo8



Les 19 et 20 décembre 2020, Jean-Luc Mélenchon était à La Réunion pour participer aux cérémonies de célébration de la fin de l'esclavage. Ce vlog retrace les moments forts de ces deux jours de commémorations.

Le 19 décembre, jour de son arrivée dans l'île, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu au musée Villèle, qui éclaire quelles étaient les conditions de vie des esclaves à La Réunion. Le site présente notamment un camp d'esclaves reconstitué. Le député européen insoumis Younous Omarjee y prenait la parole, décrivant la négation de l'humanité des esclaves. Une chorale d'enfants était également sur place, interprétant « Je chante avec toi liberté ».

Le lendemain, 20 décembre, Jean-Luc Mélenchon était au cimetière des esclaves de Saint-Paul aux côtés de la maire de la ville Huguette Bello. Celle-ci a pris la parole pour expliquer l'effacement de l'Histoire du combat des esclaves pour leur liberté. Jean-Luc Mélenchon a de son côté souligné la place des femmes dans ces combats incessants pour la liberté et l'égalité.