mercredi 30 septembre 2020

Il y a aussi les intimidations judiciaires et policières. Ou bien encore la loi relative à la protection du secret des affaires qui entrave le travail d’enquête journalistique."


 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Le Problème C'est Celui De Ceux Qui Se Gavent (REM..." : 


"Le journaliste est un justiciable comme les autres." Sibeth N'Diaye

#Presse #Liberté #Police
MACRON : UN QUINQUENNAT À MUSELER LA LIBERTÉ DE LA PRESSE
Le Média

https://youtu.be/8ZiAXjHkexQ

Pour ne pas se contenter de tendre le micro et d'assurer la communication de tel ou tel pouvoir, le journaliste doit sans cesse être à l'affût de ce qui se déroule en dehors des limites du cadre officiel, il doit chercher le hors-champ - au sens propre comme au sens figuré.

"Tout est fait pour que l'espace de liberté laissé au journaliste reste dans les limites de ce que le pouvoir veut bien tolérer. La volonté de "trier" les journalistes lors de déplacements présidentiels. On pourra aussi ajouter le fiasco du site DESINFOX de l'Elysée. Il y a aussi les intimidations judiciaires et policières. Ou bien encore la loi relative à la protection du secret des affaires qui entrave le travail d'enquête journalistique." 

3 commentaires:

Anonyme a dit…

"Couvrir le mouvement des « gilets jaunes » n’a pas toujours été facile. Conspués par moments par les manifestants, nombre de journalistes ont également été interpellés et placés en garde à vue, ou ont « subi des blessures, semble-t-il infligées par les forces de l’ordre », dénonce Amnesty International dans un rapport publié ce mardi. « La situation est inquiétante », assure à 20 Minutes Anne-Sophie Simpere, responsable de plaidoyer « libertés » au sein de l’organisation. D’autant plus que la publication récente du schéma national du maintien de l’ordre, « qui contient des dispositions spécifiques pour les journalistes », ne l’aide pas à croire que la situation va s’améliorer sur le terrain."
(...)

"Autre point de crispation. Le schéma national du maintien de l’ordre souligne « que le délit constitué par le fait de se maintenir dans un attroupement après sommation ne comporte aucune exception, y compris au profit des journalistes ». Pour les sociétés de journalistes signataires, il s’agit d’un « feu vert accordé par le ministre de l’Intérieur aux forces de l’ordre pour empêcher les journalistes de rendre compte pleinement des manifestations, y compris de leurs dispersions ou de leurs dérapages ». « Les journalistes doivent pouvoir observer l’action des forces de l’ordre et rapporter ce qui se passe, y compris au moment de la dispersion, complète Anne-Sophie Simpere. Ils n’ont pas à être traités comme des manifestants car ils ont des missions spécifiques qui relèvent du droit d’informer.»
(...)


https://www.20minutes.fr/societe/2873387-20200930-maintien-ordre-torchon-brule-entre-darmanin-journalistes

Anonyme a dit…

Narration de "gauche", narration de "droite":
quand l'info est reprise en c(h)œur !



La leçon Bolivienne et la narrative bourgeoise
Le Canard Réfractaire


https://youtu.be/wfaIzWcgUQM



Je sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais j’aime bien le monde diplo.
La vidéo de Kaleee sur le hors série du diplo : https://www.youtube.com/watch?v=Nd1Kj...

Anonyme a dit…

#Amnesty #Liberté #Macron

DROIT DE MANIFESTER : AMNESTY INTERNATIONAL ÉTRILLE MACRON
Le Média


https://youtu.be/ZLuzx66y_bI



L’ONG Amnesty International vient de sortir un rapport sur l’état du droit de manifester en France. Le constat est accablant pour le pouvoir. Entre les violences policières et la répression judiciaire, tout est fait pour décourager les gens qui voudraient descendre pacifiquement dans la rue.

Anne-Sophie Sempere, chargée de plaidoyer pour Amnesty France résume le rapport d’une soixantaine de pages ainsi : “De manière très schématique, il y a deux moyens d’entraver le droit de manifester : Il y a tout ce qui relève du maintien de l’ordre et donc de l’usage illégal, excessif de la force. On peut avoir peur de se rendre en manifestation parce qu’on ne veut pas être sous les gaz lacrymogènes ou les tirs de LBD. Puis le deuxième aspect, c’est ce qu’on dénonce dans ce rapport, c’est tout ce qui relève des poursuites et des arrestations de manifestants. Et donc de l’utilisation du droit pénal contre des manifestants pacifiques. Aujourd’hui, ces deux tendances existent en France. Ce constat est inquiétant”.

Le rapport dénonce l’arsenal de lois répressives, et souvent contraire au droit international, mises en place depuis quelques années pour museler les mouvements sociaux. Délit de dissimulation de visage, délit de groupement en vu de commettre des violences, gardes à vues abusives, outrage. Toutes ces infractions aux définitions vagues conduisent à l’arbitraire policier. Ce rapport est la première étape d’une campagne mondiale appelée “Eyes on France”. Une pétition a également été mise en ligne. Son objectif est de faire pression sur les autorités et les obliger à respecter le droit de manifester.

Le rapport complet : https://amnestyfr.cdn.prismic.io/amne...

La pétition : https://www.amnesty.fr/liberte-d-expr...