mercredi 10 juin 2020

«Bougnoules», «nègres», «fils de pute de juifs»: quand des policiers racistes se lâchent | Mediapart

https://www.mediapart.fr/journal/france/040620/bougnoules-negres-fils-de-pute-de-juifs-quand-des-policiers-racistes-se-lachent?onglet=full

Note du réboussier :
Rappelez vous …en 2011 après le « gazage d' Anduze » et après avoir diffusé Les photos ou vidéos de ce célèbre événement, les réseaux sociaux ont résonné
et surtout un certain nombre de commentaires orduriers contre les manifestants et à la gloire du gendarme Warion principal acteur , ont fleuri sur le web
Et je te pose la question Emile , qui étaient les auteurs de cette prose ?
D'autres gendarmes ! Malheureusement cet esprit pour certains ne date pas d'hier …

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Un langage fleuri qui évolue peu...
Au niveau Gendarmerie, Warrion était l'exception qui passait à l'action.
Un ordre et le gonze asperge le tas, la conscience tranquille !

Anonyme a dit…

Allez zou, "On sort les dossiers !"...


#ViolencesPolicières #Racisme #Médias

UNION POPULAIRE : MERCI LA POLICE
Le Média


https://youtu.be/S4rQxLaFKU0



Des sphères de la société jusque-là épargnées par les violences policières, en ont fait la douloureuse expérience récemment, découvrant ce que vivent depuis des années des populations plus marginalisées, en particulier celles victimes du racisme. Cette expérience commune pourrait fonder une union populaire. Le pouvoir le craint, il a tout intérêt à ce que le sujet des violences policières ne vienne pas dans le débat public.

Anonyme a dit…

La République est un policier Front national
Claude Askolovitch — 12 janvier 2016.

D'après un récent sondage du Cevipof, 7 policiers sur 10 ont voté Front national aux dernières élections régionales. Faut-il crier au loup? Et si oui, auquel?
(...)

Bobos et matraques

"Erreur de perspective. C’est de la République qu’il faut parler ici. La République et ce qu’elle fait, demande, obtient, de ceux qui la servent. La République, dont les ennemis sont exactement ceux que le Front national désigne dans ses brutalités. La République du quotidien, au-delà des ses amabilités verbales, est une créature simple. On perquisitionne les islamistes et les associaux, on embastille les casseurs, on voue aux gémonies ceux dont les pratiques ou les convictions (salafiste sociétal, écolo anarchiste, intégriste anti-mariage gay) s’opposent au bien dominant. Le parfum musulman mis de côté, il n’y a rien qui diffère des années Marcellin, dans les années 1970, quand l’ordre social justifiait la violence de l’État. Sauf une chose. À l’époque, le socialiste moyen, soixante-huitard récalcitrant, pouvait être du mauvais côté des matraques. Aujourd’hui, on le protège.

Soyons clair. Il n’y a rien d’inquiétant pour le citoyen ordinaire à croiser des policiers, et strictement rien à craindre ni à objecter y compris pour l’homme de gauche progressiste… La police défend les inclus et l’ordre gentil, du Bataclan, des vélib et des barrages à Sivens. Elle n’est brutale que dans les quartiers de racaille, dans les manifs de violents culs-bénits ou d’impéninents zadistes. Elle est brutale envers ceux qui brutalisent l’ordre social, progressiste et républicain. Désormais (en a-t-il honte?) le bobo de gauche campe du même côté que le frontiste: dans le camp de l’accepté et du protégé, du possible. Ce n’est que dans le verbe que l’extrême droite est persécutée. Face aux bleus, l’homme du FN est un bourgeois comme les autres, ni salafiste, ni djihadiste, ni black bloc, ni skinhead désuet."
(...)



http://www.slate.fr/story/112619/republique-policier-front-national

Anonyme a dit…

A 19.37. Tien, tien ? des quartiers de racaille, çà existe ?? Vous venez de nous l'apprendre !!....

Anonyme a dit…

22h27 autant pour toi. Ouvre le lien correctement pour développer une ébauche d'argumentation.

Anonyme a dit…

Bravo! qu'est ce que c'est bien dit, 19.37...