samedi 2 mai 2020

1er Mai. Pendant que Marine Le Pen se pavane à Paris, la répression pour les manifestants

https://www.revolutionpermanente.fr/1er-Mai-Pendant-que-Marine-Le-Pen-se-pavane-a-Paris-la-repression-pour-les-manifestants

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Le 1er mai sauvegardé et renouvelé à Montpellier et Sète

Gilet-jaunisée, anti-sécuritaire, internationaliste, festive : face au confinement, la grande journée des luttes des travailleurs a été marquée par un renouvellement de ses significations.


"Plusieurs actions ont réussi à se dérouler pour marquer la journée du 1er Mai à Montpellier. Les syndicats héritiers du mouvement ouvrier sont habituellement à la barre de cette « fête » qui honore les luttes des travailleurs. Mais dans le contexte 2020, les unions syndicales locales n’avaient que mollement répercuté les instructions données par les centrales au niveau national. Lesquelles étaient déjà bien tièdes, en appelant à la diffusion de messages sur les réseaux sociaux, et à d’hypothétiques casserolades aux balcons. Lesquelles ne correspondent guère aux usages protestataires dans l’Hexagone.

À contrario, c’est donc bien en se retrouvant dans la rue, que plusieurs dizaines de Montpelliérain·e·s ont tenu à manifester leur attachement « aux libertés publiques essentielles », au premier rang desquelles « la liberté d’expression et de circulation ». On cite ici un appel commun de la Ligue des Droits de l’homme (LDH), du Droit au Logement, de la Cimade et du MRAP.. Lequel ne manquait pas de mentionner particulièrement la garde à vue survenue à Toulouse après des poses de banderoles à des balcons. Et ces organisations appelaient donc à un « 1er Mai internationaliste, pacifiste, antifasciste… et libre »."
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"Sophie Mazas, autre figure de la LDH, portant en famille un écriteau « COVID-1984 – Non à la surveillance de masse », tout en protestant vigoureusement contre ces contrôles d’identité, se réjouissait « d’avoir été applaudie par des habitants sur le chemin », avec ses slogans et sa musique. Mais alors les gilets jaunes ? Ils ne pouvaient disparaître ! Au rond-point Chez Paulette, une banderole a été fixée, reprenant le modèle toulousain incriminé :

<< Macronavirus – À quand la fin? >>


En plein centre ville, rue Durand, on a vu surgir une banderole jaune genêt (et non muguet), genre Prés d’Arènes, et son gilet associé : « Ecoles Hopitaux sacrifiés ». Dans cette rue qui en comptait déjà d’autres, un nouvel écriteau est aussi apparu, mentionnant: « Profits pour eux, ou partage pour tous ? » Sans en faire un acte pleinement politique, une quinzaine habitants décidèrent de lever le verre sur le trottoir un instant, assumant à la vue de tous que le refus du contrôle sécuritaire passe aussi par un rien d’insubordination festive.

Et notons qu’à Sète, plusieurs dizaines de personnes se sont retrouvées devant l’Hôtel de Ville. Ces mobilisations qui s’ébrouent, ces énergies et ces axes alternatifs, ces modes d’action disséminés, sont peut-être à réfléchir et à débattre en vue d’autres rendez-vous futurs."



https://lepoing.net/le-1er-mai-sauvegarde-et-renouvele-a-montpellier-et-sete2/

Anonyme a dit…

Jeanne, au secours !

OEIL DE VERRE CONTRE URNE FUNÉRAIRE

"L'échange de cendres et de l'oeil s'est passé à l'orée d'un bois, à l'initiative de Wagner. On se serait cru dans un film policier de l'après guerre froide. C'était complètement irréel", n'a pas oublié Collard."
(...)


https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/dans-l-enfer-de-montretout-6-anecdotes-incroyables-sur-l-histoire-du-clan-le-pen_470962

Anonyme a dit…

Si "le petit soldat était en couple avec l'une des filles de Frédéric Châtillon" à cette époque, le voilà aujourd'hui à la colle avec une des nièces de la cheffe, histoire d'être tout à fait raccord avec la patronne et ainsi continuer à amplifier son ascension.
La fidélité ça le connaît !


"Le petit soldat"

"Jordan Bardella a donné des gages de fidélité au clan mariniste. Lancé par Florian Philippot, qui l’avait envoyé faire sa première télé et placé à la tête de l’éphémère collectif Banlieues Patriotes, il s’est fondu avec facilité dans la nouvelle direction. "J’ai toujours essayé de remplir avec rigueur et honnêteté les missions que la présidente m’a confiées", commente l’intéressé, qui explique s’être encarté au parti "pour Marine Le Pen plus que pour le Front National."

Jusqu’à récemment, le jeune homme était en couple avec l’une des filles de Frédéric Chatillon. Cet ancien du GUD (groupe union défense) et intime de Marine Le Pen, mis en examen dans l’affaire des kits de campagne, compte parmi les rouages essentiels du financement du parti. "Du fait de sa proximité avec sa fille, Bardella est rentré dans le clan Le Pen, croit savoir la députée européenne Sophie Montel, démissionnaire du Front National en 2017. A mon sens, c'est d'ailleurs pour ça qu'il a été sélectionné tête de liste. La tête de liste est responsable du compte de campagne et je ne les imagine pas un seul instant prendre une personnalité extérieure." Côté finances, c’est Jean-Michel Dubois, fidèle de la présidente, qui assurera la tache de mandataire financier. Autant dire que la jeune tête de liste sera bien encadrée."


https://www.lejdd.fr/Politique/europeennes-jordan-bardella-tete-de-liste-du-rassemblement-national-aux-airs-de-faire-valoir-3837410

Anonyme a dit…

QUI EST

Kelly Betesh : la it-girl de la droite hardcore
(ou la "fellone" et ex de Bardella qui a quitté le cargo FN/RN pour rejoindre la chaloupe des Patriotes de Florian Philippot)
(...)



https://www.vice.com/fr/article/3k7vq5/kelly-betesh-la-it-girl-de-la-droite-hardcore

Anonyme a dit…

https://www.challenges.fr/politique/le-passe-cache-d-assistant-parlementaire-de-jordan-bardella_653768