lundi 27 avril 2020

UNE EX-DEPUTÉE LREM RÉVÈLE LES DESSOUS DE LA MACRONIE



 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Lettre à Emmanuel Macron, Président de la Républiq..." :

UNE EX-DEPUTÉE LREM RÉVÈLE LES DESSOUS DE LA MACRONIE
Le Média

https://youtu.be/iYH097yQqOg

Denis Robert reçoit Frédérique Dumas, députée des Hauts-de-Seine et ex-membre du groupe parlementaire LaREM. A travers cet entretien, l'ex-députée LREM nous dévoile les dessous effrayants de la macronie.

Le Titanic En Marche!
http://www.leparisien.fr/politique/frederique-dumas-deputee-des-hauts-de-seine-pourquoi-je-quitte-en-marche-16-09-2018-7890855.php

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4 commentaires:

Anonyme a dit…

« STOPCOVID EST UN PROJET DÉSASTREUX PILOTÉ PAR DES APPRENTIS SORCIERS »

Nous reproduisons, avec l’accord de leurs auteurs, la tribune parue aujourd’hui dans le quotidien Le Monde concernant l’application StopCovid, écrite par Antonio Casilli, Paul-Olivier Dehaye, Jean-Baptiste Soufron, et signée par UGICT-CGT et La Quadrature du Net. Le débat au parlement se déroulera le 28 avril et nous vous invitons à contacter votre député⋅e pour lui faire part de votre opposition au projet et de lui demander de voter contre.

Tribune. Le mardi 28 avril, les parlementaires français seront amenés à voter sur StopCovid, l’application mobile de traçage des individus imposée par l’exécutif. Nous souhaitons que, par leur vote, ils convainquent ce dernier de renoncer à cette idée tant qu’il est encore temps. Non pas de l’améliorer, mais d’y renoncer tout court. En fait, même si toutes les garanties légales et techniques étaient mises en place (anonymisation des données, open source, technologies Bluetooth, consentement des utilisateurs, protocole décentralisé, etc.), StopCovid serait exposée au plus grand des dangers : celui de se transformer sous peu en « StopCovid Analytica », une nouvelle version du scandale Cambridge Analytica [siphonnage des données privées de dizaines de millions de comptes Facebook].

L’application StopCovid a été imaginée comme un outil pour permettre de sortir la population française de la situation de restriction des libertés publiques provoquée par le Covid-19. En réalité, cette « solution » technologique ne serait qu’une continuation du confinement par d’autres moyens. Si, avec ce dernier, nous avons fait l’expérience d’une assignation à résidence collective, les applications mobiles de surveillance risquent de banaliser le port du bracelet électronique."
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Une malheureuse diversion

"Cette malheureuse diversion n’aurait pas lieu si le gouvernement n’imposait pas ses stratégies numériques, verticalement, n’étant plus guidé que par l’urgence de faire semblant d’agir. Face à ces enjeux, il faudrait au contraire impliquer activement et à parts égales les citoyens, les institutions, les organisations et les territoires pour repenser notre rapport à la technologie. Le modèle de gouvernance qui accompagnera StopCovid sera manifestement centré dans les mains d’une poignée d’acteurs étatiques et marchands. Une telle verticalité n’offre aucune garantie contre l’évolution rapide de l’application en un outil coercitif, imposé à tout le monde.

Ce dispositif entraînerait un recul fondamental en matière de libertés, à la fois symbolique et concret : tant sur la liberté de déplacement, notamment entre les pays qui refuseraient d’avoir des systèmes de traçage ou qui prendront ce prétexte pour renforcer leur forteresse, que sur la liberté de travailler, de se réunir ou sur la vie privée. Les pouvoirs publics, les entreprises et les chercheurs qui dans le courant des dernières semaines sont allés de l’avant avec cette proposition désastreuse, ressemblent à des apprentis sorciers qui manient des outils dont la puissance destructrice leur échappe. Et, comme dans le poème de Goethe, quand l’apprenti sorcier n’arrive plus à retenir les forces qu’il a invoquées, il finit par implorer une figure d’autorité, une puissance supérieure qui remette de l’ordre. Sauf que, comme le poète nous l’apprend, ce « maître habile » ne reprend ces outils « que pour les faire servir à ses desseins ».


https://www.laquadrature.net/2020/04/25/stopcovid-est-un-projet-desastreux-pilote-par-des-apprentis-sorciers/

Anonyme a dit…

PORTRAIT D'UNE VESTALE

Qui êtes vous, Agnès Verdier-Molinier ?


Stage à l’express sous la direction de Christophe Barbier
En 2002 elle rejoint l’IFRAP (fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) et en devient la directrice en 2007


L’IFRAP, c'est quoi ?

"Créer en 1985, l’IFRAP se présente comme une fondation ayant pour objectif « d’effectuer des études et des recherches scientifiques sur l’efficacité des politiques publiques, notamment celles visant la recherche du plein emploi et le développement économique, de faire connaître le fruit de ces études à l’opinion publique, de proposer des mesures d’amélioration et de mener toutes les actions en vue de la mise en œuvre par le Gouvernement et le Parlement des mesures proposées ».

En 2009, l’Ifrap a été reconnue association d’utilité publique, par décret de François Fillon, et à ce titre elle bénéficie d’une réduction d’impôts à hauteur de 70%. Au titre de l’impôt sur la fortune, les donateurs bénéficient eux d’une réduction d’impôt de 75% sur leurs versements."
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L’IFRAP, un lobby au service du capitalisme.

En 2016, l’FRAP soutient la « loi El Khomri » portant sur la réforme du droit du travail.

En mars 2017, la fondation iFRAP prend parti en faveur du programme économique de François Fillon, qu’elle considère comme le plus efficace.

Quand on décortique son conseil scientifique, on trouve des choses intéressantes. Il est composé, entre autres, d’Emmanuel Combe, qui a travaillé sur le programme économique de Nicolas Sarkozy en 2007, et qui en 2016 rejoint en Marche et participe au groupe de travail « concurrence et numérique », dans le cadre de la campagne présidentielle du candidat Emmanuel Macron. Ensuite, il y a Jean-Marc Daniel, professeur à l’ESCP Business School, dont l’objectif ultime est la suppression du statut de la fonction publique. Cédric de Lestrange, ancien conseiller en charge des politiques immobilières de l’État, mis en examen pour “abus d’autorité par personne exerçant une fonction publique” dans le cadre de la vente controversée de l’hippodrome de Compiègne (Oise) en 2010 orchestrée par Eric Woerth. Il y a aussi Christophe Kerrero, directeur de cabinet de Jean-Michel Blanquer et ancien conseiller des affaires pédagogiques de Luc Chatel ou encore Édouard Husson, aujourd’hui professeur à l’ISSEP, l’école de Marion Maréchal Le Pen."
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Agnès Verdier-Molinier, où la haine de l’hôpital public.

2010 : elle se félicitait « de la fermeture de 54 services de chirurgie générale ».

2013 : « Le statut de la fonction publique, les carrières principalement à l’ancienneté, la cogestion syndicale et la pression de nombreux élus locaux pour le « toujours plus de dépenses » constituent autant de handicaps»

2015 : « Il est urgent de réformer (l’hôpital public) mais personne ne se met autour de la table, on gère au jour le jour. La France compte 30 % d’établissements de santé en plus qu’en Allemagne mais quand on parle de fermeture d’hôpitaux, on se heurte à un mur politique en France ».
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"En résumé depuis une décennie, Agnès Verdier Molinié monopolise la parole dans l’espace public pour nous expliquer que l’hôpital coûte trop cher, qu’il doit être géré comme une entreprise, et qu’il faut supprimer des emplois. On voit aujourd’hui le résultat."


https://www.lemondemoderne.media/

Anonyme a dit…

Comme le dirait Christophe Aleveque :
"À quoi ça sert d'être aussi brillants (à LaREM) si c'est pour s'éclairer le cul?"

Anonyme a dit…

Bien vu 13h14!
Agnès Verdier Moulinier est vraiment une vestale sans états d'âme.
Si les péripatéticiennes se mettent en vitrine aux Pays Bas ou en Belgique, elle, vient squatter les vitrines cathodiques en France...
Sa recherche d'efficacité sur les politiques publiques lui ramène 75% de réduction d'impôts pour venir tailler des navettes dans le privé!