mardi 7 avril 2020

Quand je pense que certains connards des forces de l ‘ordre
Ont tabassé avec beaucoup de plaisir le personnel de santé lors des dernières manifestations
Le tout béni pas nos dirigeants
Manifestations qui mettaient en évidence la décadence de notre système de santé
N’avez vous pas envie d’ hurler

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Il va falloir monter le son pour se faire entendre. Ces gens-là ont des acouphènes.
L'étape suivante risque d'être saignante !

Anonyme a dit…

La police accusée d’avoir gravement blessé une fillette par un tir de LBD, les médias parlent de «heurts entre jeunes et policiers»

« Un enfant de 5 ans a été gravement blessée au cours d’une émeute à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), ce samedi 4 avril. Elle souffre d’un traumatisme crânien » (Actu).
« La fillette a dû être transférée en urgence à l’hôpital Necker, à Paris, où elle a été opérée dans la nuit de samedi à dimanche et reste sous surveillance. » (Le Monde)
Les raisons de l’échauffourée ?
« La police est intervenue samedi en fin d’après-midi […] pour contrôler un motard roulant sur un véhicule signalé comme volé. […] Alors que l’homme se fait interpeller, une ‘‘cinquante d’individus’’ ont pris à partie les policiers, [selon] le parquet. Les jeunes ont commencé à jeter des projectiles divers et les forces de l’ordre ont répliqué par des tirs de LBD [14 tirs, de l’aveu même de Christophe Castaner sur Franceinfo] […] D’après le parquet, il n’a pas pu être établi que [le véhicule] avait été volé » (20 minutes).
« D’après sa mère, c’est un tir de lanceur de balles de défense (LBD) qui a blessé la fillette mais pour l’instant, ‘‘on ne peut pas lier sa blessure aux échauffourées’’, a assuré la procureure de Versailles Maryvonne Caillibotte. ‘‘La seule certitude, c’est que ça a eu lieu dans un temps concomitant’’ a-t-elle ajouté’’[…] ‘‘Le raccourci’’ entre la blessure de la fillette et un tir de LBD ‘‘est un peu trop rapide’’ a confié le secrétaire du syndicat de police Alliance dans les Yvelines, Julien Le Cam » (BFM)
« Ma nièce a reçu un tir de flashball sur la tête » confirme la tante de la victime, photo à l’appui."
.../...

"Comment titrent les médias ? « Une enfant de 5 ans gravement blessée lors d’une soirée d’émeute » (Actu), « Une fillette grièvement blessée en marge de heurts entre jeunes et policiers » (Le Monde), « Une fillette grièvement blessée en marge d’affrontements entre jeunes et policiers » (20 minutes et BFM). Un journaliste soucieux des faits aurait pourtant dû titrer : « La police accusée d’avoir gravement blessé une fillette de 5 ans par un tir de LBD ».

Encore faudrait-il que la plupart des grands médias ne soient pas dépendants des sources policières pour remplir quotidiennement leur sinistre rubrique « faits divers ». Il est aberrant que les médias aient donné la parole à Alliance police nationale pour commenter cette affaire, alors que ce syndicat policier tient régulièrement des propos outranciers et mensongers pour protéger ses intérêts (dans l’affaire Steve, à propos des masques soi-disant donnés aux prisonniers, etc, voir sources ci-dessous).

Quand un média confond ses intérêts avec ceux des policiers, il œuvre à l’édification d’une société policière, et devient nécessairement un obstacle en temps de mouvement social. Tenons-nous-le pour dit."



https://lepoing.net/la-police-accusee-davoir-gravement-blesse-une-fillette-par-un-tir-de-lbd-les-medias-parlent-de-heurts-entre-jeunes-et-policiers/

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Dans les quartiers populaires, les violences policières se poursuivent durant le confinement


Les mesures sécuritaires actuelles laissent une latitude très grande aux forces de l’ordre pour faire respecter le confinement. Dont ils usent durement dans les quartiers populaires de Lille et Roubaix.


« En ce moment, si un jeune se fait attraper dans une rue où il n’y a personne, il sait qu’il peut prendre cher… » [...]"
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https://reporterre.net/Dans-les-quartiers-populaires-les-violences-policieres-se-poursuivent-durant-le

Anonyme a dit…

Putain mais vous êtes parano, il me semble qu'en ce moment il y a d'autres priorités que de balancer sur les flics, mais bon certains aigris enfermés dans leur bulle ne se rendent pas compte de la gravité de la situation.

Anonyme a dit…

Toi t’es surement flic
Effectivement on peut tabasser et applaudir en même temps
Soyons généreux !

Anonyme a dit…

Ce virus ne retire en rien et n ‘absout les exactions deces policiers
Et il n’ y a pas qu’ un temps pour tout

Anonyme a dit…

C'est ça 16h59, la roue libre et le libre arbitraire pour certains, les gilets jaunes ne sont plus dans les rues alors revenons aux fondamentaux. La BAC peut continuer à s'exercer dans les lieux pour lesquels elle était destinée : les quartiers populaires.
La trajectoire du covid-19 ne doit pas focaliser toute l'attention. Je veux bien me confiner pour un objectif : celui de ne pas perdre de vue l'ensemble des symptômes qui nous amènent dans la situation présente.

Anonyme a dit…

Tiens mates ça 16h59...
La cellule DEMETER de la gendarmerie te surveilles par drone!


#Édito #Confinement #Vieux

COVID-19 : LES VIEUX SACRIFIÉS
Le Média


https://youtu.be/CTA7kY-aWEE



"Je me suis dit que j’avais du mal comprendre. Je cherche confirmations sur les sites professionnels et j’en trouve facilement. Ils font état de la prise en injection de Rivotril dans les Ephad, qui vise à tuer les patients avant qu’ils ne soient transportés pour mourir en hôpital et ainsi en éviter l’engorgement. On les achève par voie injectable, parce qu’il n’y a plus de place et de respirateurs."

Denis Robert sort en forêt pour raconter sa troisième semaine de confinement. Il décide de ne plus nommer ceux qu’il juge malfaisants, mais sort l’artillerie contre les communicants et les fachos, les méchants préfets et les fuyants agents régionaux de santé. Tous ceux qui cherchent à masquer une réalité douloureuse.

Anonyme a dit…

GILETS JAUNES VERSUS COVID-19
(Et du vice dans tout ça...)

LIBERTÉS PUBLIQUES

Contrôles arbitraires et violences policières : la répression en temps de confinement


"Depuis le début du confinement, les forces de l’ordre ont procédé à 8,2 millions de contrôle et 480 000 verbalisations. De nombreux témoins font état d’abus, de discriminations et de brutalités de la part des forces de l’ordre. Les organisations de défense des droits de l’Homme dénoncent des contrôles arbitraires et des violences policières. Tour d’horizon de la répression en ces temps confinés.

« J’ai senti que dans leur esprit, il y avait deux camps : les bons citoyens et les mauvais. » Mardi 17 mars au soir, Baptiste, ouvrier agricole, est contrôlé dans les rues désertes de Douarnenez alors qu’il se rend chez un ami pour récupérer un ordinateur, seul moyen de s’informer en ces temps confinés. Son tort ? Être sorti alors que le confinement vient juste d’être décrété le jour-même, depuis midi. Au cours du contrôle, Baptiste comprend que le PV signé ne fera pas nécessairement l’objet d’une amende. Cela dépendra du bon vouloir des agents. « On m’a dit que je prenais pour tous les français qui ne respectaient pas les règles. » Chaque citoyen est désormais tenu de limiter ses déplacements et de se munir d’une attestation dérogatoire en cas de sortie de son lieu de confinement. Sous peine d’une amende forfaitaire [1].

Si la nécessité du confinement et du respect des gestes barrières lors des déplacements n’est, très largement, pas contestée, les témoignages d’abus de pouvoir, d’amendes pour des motifs absurdes, voire même de violences policières graves, se multiplient depuis le 17 mars. Une fois de plus, le ministère de l’Intérieur choisit la répression plutôt que la prévention. « Tout citoyen peut subir un contrôle d’identité sans même indice préalable d’infraction », déplore l’avocat Arié Alimi. Selon lui, nous assistons à une « inversion du paradigme de l’État de Droit » : « Tout citoyen dans la rue est un délinquant ou un contrevenant potentiel. » [2]"
.../...


https://www.bastamag.net/attestation-controle-deplacement-PV-amendes-violences-policieres-confinement-covid

Anonyme a dit…

PoliceJustice
EN BREF

Montpellier : en plein confinement, les policiers se rassemblent pour une photo “conviviale”


"L’information nous vient du Midi Libre. Plusieurs dizaines de policiers se sont rassemblés ce jeudi matin sur la place de la Comédie de Montpellier pour « une photo pleine de convivialité ». « C’est une façon de remercier nos équipes du travail effectué et aussi de rappeler à la population qu’il faut absolument rester confiné » explique le capitaine Yves Eric. Pour inciter les gens à rester chez eux, les policiers ont investi la place avec une vingtaine de véhicules.
«C’est à chacun de faire sens de sa responsabilité face à la propagation du virus» note le capitaine. Les policiers de Montpellier auraient procédé à environ mille contrôles depuis l’annonce du confinement.



https://lepoing.net/en-plein-confinement-la-police-de-montpellier-se-rassemble-sur-la-comedie-pour-une-photo-conviviale2/

Anonyme a dit…

Vous oubliez aussi les POMPIERS .