Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 30 décembre 2022
Emmanuel Macron peut proférer d’énormes contre-vérités avec un aplomb phénoménal
E. MACRON : 6 ANS D'ARNAQUES ET DE PIPEAU
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/NBJO2Bq0X9A
"La finale de la Coupe du monde de football nous a de nouveau donné l'occasion de le vérifier : 2022 aura encore une fois été, à l'Élysée, l'année du pipeau. Ce n'est pas exactement une surprise : ça fait maintenant plus de cinq ans, depuis qu'il a été pour la première fois élu président de la République française, que nous savons qu'Emmanuel Macron peut proférer d'énormes contre-vérités avec un aplomb phénoménal - et que ses ministres peuvent également se comporter en fieffés menteurs."
Pour le dernier épisode de 2022 de Quelle époque Formidable, Sebastien Fontenelle fait l'inventaire (non exhaustif) de 6 années de mensonge d'Emmanuel Macron. "Dans les époques agitées que nous vivons, il est de plus en plus hasardeux de formuler des vœux de nouvel an – mais on peut toujours espérer qu'en 2023, le président de la République française change un peu ses habitudes musicales : après cinq ans de pipeau, il pourrait essayer la mandoline, par exemple."
Journaliste : Sébastien Fontenelle
Montage : Camille Chastrusse
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Sophie Romillat
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
Tweeté par Avec Mélenchon 🇫🇷 sur Twitter
| ||||||||||||||||||||||||
jeudi 29 décembre 2022
la Borie menacée de privatisation par la Safer et la mairie de St Jean du Gard
Penser global agir localBonjour!
On reparle de la Borie, lieu emblématique de la lutte victorieuse contre la construction du barrage qui aurait noyé la Vallée Française dans les années de fin 80 et début 90.
Depuis, les occupations du site d'abord contrôlées puis incontrôlables avaient découragé les velléités de privatisation par la mairie de St Jean du Gard.Mais l'évacuation musclée des derniers occupants permet à cette mairie, après avoir favorisé l'installation de la Légion étrangère dans la propriété agricole de Bannières, de chercher maintenant à privatiser le site avec l'aide de la Safer, alors qu'un projet de "communs" est en cours d'organisation avec en particulier Terre de Liens.
On assiste ainsi à une forme de vengeance des nostalgiques de la construction du barrage contre ceux qui justement l'ont bloqué!Faut-il alors à nouveau occuper le site comme nous l'avions initié en 89?
Ci-dessous le lien de l'article d'objectif Gard, un très court rappel historique d'une lutte qui a marqué la région et le message de Delphine Maillard et Patrick Pasanau, les seuls habitants officiels de l'une des maisons de la Borie.
Pierre, relayé par Marianne
Le site de la Borie a été le lieu d'une lutte emblématique dans les années 87/93 contre la construction d'un barrage qui aurait dévasté la Vallée Française en Cévennes, à la limite du Gard et de la Lozère, et dont le but officiel était l'iirigation des cultures du Bas-Languedoc. Pour les décideurs départementaux il s'agissait en fait de sauver de la faillite la Compagnie Nationale d'Aménagement de la Région du Bas-Rhône et du Languedoc (BRL).
La mobilisation populaire a été très importante, stimulée par le résultat de 80 % d'opposition au réferendum des habitants des comunes concernées (St Etienne Vallèe Française, St Jean du Gard, Mialet), elle a réuni cévenols « de souche », « néoruraux », protestants attachés à la « vallée des camisards » et écologistes !
Cette lutte riche en manifestations, événements (voir la PJ), qui n'a pas été exempte de violences a été marquée par l'incendie de bulldozers arrivés sur place pour démolir les maisons. L'abandon du projet fut l'une des premières victoires écologiques dans le domaine de la protection des cours d'eau.
Sur la lancée de ce succès, ses acteurs ont cherché en vain à ce que ce lieu reste un bien « commun », échappant à la privatisation au bénéfice de la population.
Pierre PéguinBonjour à toutes et à tous,
Nous vous envoyons le lien de cet article de presse récemment paru car nous pensons qu'il pourrait vous intéresser, étant donné que vous avez été concerné par ce qu'il se passe à la Borie.
Nous sommes toujours acheteurs de notre petite maison, dont nous sommes toujours les locataires, et nous espérons que ce lieu que nous aimons très fort retrouvera sa vocation agricole, accessible à tous, créatif et joyeux.
Nous vous souhaitons une très belle année 2023, porteuse d'espoir et de renouveau.
Delphine MAILLARD et Patrick PASANAU
--
l ' H e r b o r i e
Delphine MAILLARD & Patrick PASANAU
Paysans - herboristes cueilleurs
mercredi 28 décembre 2022
Suicides, chutes, accidents : de nombreux hommes d'affaires russes sont morts dans des circonstances étranges depuis le début de la guerre en Ukraine
mardi 27 décembre 2022
Il n'a pas du tout compris qu'il n'avait rien à faire là.
Si Emmanuel est un prénom théocrate !...
QATAR : L'INCROYABLE INDÉCENCE D'E. MACRON EN 7 MIN CHRONO
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/IqLioEvI2EI
"On se demande entre nous un peu ce qu'a bien pu passer par la tête d'Emmanuel Macron."
"Il n'a pas du tout compris qu'il n'avait rien à faire là."
"On avait l'impression que Dieu se répandait absolument partout." "Une opération de communication grossière" ou "Emmanuel Macron était dans un meeting électoral hier."
Suite aux images du Président depuis la demi finale, le moins qu'on puisse dire, c'est que la quasi intégralité des réactions ont pointé du doigt la gène provoqué par l'attitude d'Emmanuel Macron. Une sorte d'union sacré tous médias confondus, pour pointer du doigt, l'indécense du Président de la République, et l'immense malaise que cela à provoqué.
Nouveau zapping de Caisse de Grève pour Blast !
Auteur : Oro
Montage : Oro, Alexandre Cassier
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Sophie Romillat
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Directeur de la rédaction : Denis Robert