Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 26 décembre 2021
samedi 25 décembre 2021
Mais à quoi ça sert ?
Mais à quoi ça sert ?
A longueur de journée les médias nous parlent COVID
Sans aucune trêve
Je crois qu' on a compris
Je propose que l' on instaure
UNE JOURNEE SANS COVID
une journée où personne , médias en tête ne parlera de cette pandémie
Envoyé de mon iPad
vendredi 24 décembre 2021
Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "EXCLU – "C'est facile de faire peur" : le Dr Gérald Kierzek rassure face à "l'hystérie mondiale" - Gala" :
"Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017."
(...)
Logique comptable
"A l'arrivée, le cumul du développement de l'ambulatoire, du manque de personnel, auxquels il faut ajouter les circonstances particulières liées à la pandémie de Covid-19, a donc joué pour une grande part dans les fermetures de lits. Reste que les établissements de santé sont aussi confrontés à des problèmes de financement.
Financés à 90% par la sécurité sociale, via le système de tarification à l'acte généralisé en 2004, ces établissements dépendent pour fonctionner du budget qui leur est attribué à la branche maladie. Or, son montant résulte lui-même, et en partie, de choix politiques opérés par les pouvoirs publics.
CheckNews a épluché les études d'impact réalisées en amont de l'examen des projets de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) de ces dernières années. Aucune ne fait référence à un objectif en termes de fermetures ou au contraire de maintiens de lits d'hospitalisation complète. En revanche, un objectif de réduction des dépenses dans les hôpitaux à hauteur de plusieurs millions d'euros était systématiquement fixé dans les PLFSS de ces dernières années, ainsi que dans ceux adoptés sous les présidences de François Hollande et Nicolas Sarkozy. En 2019, le texte prévoyait même un milliard d'euros d'économies. Seuls les projets adoptés après le début de la crise sanitaire font exception.
«On demande à l'hôpital de réduire ses dépenses, de réduire son budget alors que la population augmente et vieillit», regrettait en avril Nathalie Coutinet, économiste de la santé interrogée par France culture. Pressés par les plans d'économies, les établissements de santé procèdent inévitablement à des suppressions de lits. Or, comme l'exprimait en septembre Marc Leone, chef du service d'anesthésie et de réanimation à l'hôpital Nord de Marseille, auprès de Marianne, lorsque «les fermetures se font sur une simple logique comptable, c'est là qu'elles sont problématiques pour les patients»."
ça je commence à le croire !
ça je commence à le croire !
Les vaccins sont du « bidonnage »
On découvre tous les jours leur inefficacité
Mais nos dirigeants continuent de peur d' être lynchés
Il n' y a pas d' immunité vaccinale
Il faut se faire vacciner tous les 3 mois (bientôt)
Le nombre de malades dépasse toutes les prévisions alarmistes
Les vaccinés sont toujours vecteurs du virus
En parallèle on est prêt à « guillotiner » celui qui n 'est pas encore vacciné
En parallèle BIGPHARMA s' éclate
En parallèle l' économie mondiale se paralyse
En parallèle nos dirigeants nous effrayent et testent notre capacité à se laisser étouffer
En parallèle je ne vous souhaite pas une bonne année
Envoyé de mon iPad
La révision majeure du Plan Local d'Urbanisme d'Alès / Ne rien lâcher !
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