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> Pourquoi ce qui est possible à Saillans ne le serait pas à Boisset ? Posons nous la question et la réponse apparaîtra.
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> https://lemouvement.info/2018/02/11/ressourcer-la-mairie-par-la-democratie-de-saillans-a-aubais-si-on-la-fait-vous-etes-en-mesure-de-le-faire/
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lundi 12 février 2018
Nouveau commentaire sur ParoleGattaz.jpg.
> COUP DE BOULE.
> Bon anniversaire le CAC 40!
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> "Commémorez Mai 68, l'Armistice, et même Charles Mauras si vous voulez. Mais cette année 2018, on fête les trente ans du CAC 40! Un trentenaire qui pèse 1200 Milliards d'euros, le PIB de l'Espagne. Vous voyez un peu la sauterie que ça va être, quand Macron va sortir du gâteau? Je connais des indices qui vont dévisser le lendemain, avec la tête en skaï et les cheveux qui poussent à l'intérieur.
> Parce qu'on nous a dit :«Ouiii, alors la finaaance, elle n'a pas de visaaage». Mon cul qu'elle n'a pas de visage! Ne dit-on pas que les marchés sont «fragiles», «fébriles», «inquiets»? Qu'ils sont en «repli», qu'ils «doutent», qu'«ils ont besoin d'être rassurés»? Il y a là tout le vocabulaire pour écrire une chanson de Florent Pagny.
> En revanche, quand les marchés ont la patate, ils «rebondissent» pudiquement. Alors qu'après une belle vague de licenciements, en vrai, les marchés sont en érection, l'euro se paluche face au dollar et l'indice Nikkei.
> La Bourse, c'est la vie : la finance est tantôt «euphorique», tantôt «déprimée». Il n'est donc pas à exclure qu'elle soit bipolaire. Et c'est inquiétant, parce que la Bourse décide de la vie des gens, alors qu'elle n'est pas capable de gérer la sienne. On croyait les marchés solides, sanglés dans leur costume trois-pièces, et on s'aperçoit qu'ils sont «troublés», comme une première communiante.
> Le CAC 40 a donc 30 ans, avec dix-huit entreprises centenaires et aucune de moins de 20 ans. Donc, pour le cadeau commun je propose qu'on lui offre une start-up.
> Comme ça, la finance aura le visage d'une licorne."
> Charline Vanhoenacker.
>
> SINÉ MENSUEL N° 72. Février 2018.
> Le journal qui fait mal et ça fait du bien.
>
> Bon anniversaire le CAC 40!
>
> "Commémorez Mai 68, l'Armistice, et même Charles Mauras si vous voulez. Mais cette année 2018, on fête les trente ans du CAC 40! Un trentenaire qui pèse 1200 Milliards d'euros, le PIB de l'Espagne. Vous voyez un peu la sauterie que ça va être, quand Macron va sortir du gâteau? Je connais des indices qui vont dévisser le lendemain, avec la tête en skaï et les cheveux qui poussent à l'intérieur.
> Parce qu'on nous a dit :«Ouiii, alors la finaaance, elle n'a pas de visaaage». Mon cul qu'elle n'a pas de visage! Ne dit-on pas que les marchés sont «fragiles», «fébriles», «inquiets»? Qu'ils sont en «repli», qu'ils «doutent», qu'«ils ont besoin d'être rassurés»? Il y a là tout le vocabulaire pour écrire une chanson de Florent Pagny.
> En revanche, quand les marchés ont la patate, ils «rebondissent» pudiquement. Alors qu'après une belle vague de licenciements, en vrai, les marchés sont en érection, l'euro se paluche face au dollar et l'indice Nikkei.
> La Bourse, c'est la vie : la finance est tantôt «euphorique», tantôt «déprimée». Il n'est donc pas à exclure qu'elle soit bipolaire. Et c'est inquiétant, parce que la Bourse décide de la vie des gens, alors qu'elle n'est pas capable de gérer la sienne. On croyait les marchés solides, sanglés dans leur costume trois-pièces, et on s'aperçoit qu'ils sont «troublés», comme une première communiante.
> Le CAC 40 a donc 30 ans, avec dix-huit entreprises centenaires et aucune de moins de 20 ans. Donc, pour le cadeau commun je propose qu'on lui offre une start-up.
> Comme ça, la finance aura le visage d'une licorne."
> Charline Vanhoenacker.
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> SINÉ MENSUEL N° 72. Février 2018.
> Le journal qui fait mal et ça fait du bien.
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dimanche 11 février 2018
samedi 10 février 2018
vendredi 9 février 2018
jeudi 8 février 2018
Communiqué PCF / Ensemble, gagnons la bataille du rail dans notre région
Ensemble, gagnons la bataille du rail
dans notre régionLa politique ultra-libérale de MACRON concernant le ferroviaire se traduit par la mise en concurrence des moyens de transports donc la privatisation pour nourrir les appétits des actionnaires. Cela se traduit par moins de sécurité des usagers, encore l'abandon de lignes, moins de trains, plus de transports sur route, notamment via des camions et des cars low cost, accentuant ainsi la pollution et le réchauffement climatique.
A l'inverse, la politique de la Région Occitanie, sous l'impulsion déterminante des élus communistes dont Jean-Luc Gibelin, vice-président aux transports, s'oriente vers le développement des transports communs publics. Jean-Luc Gibelin s'est appuyé sur les réflexions et les choix exprimés lors des réunions de territoire auxquelles ont participé les associations et les collectifs de citoyens, afin de définir une politique de transport public du quotidien, accessible à tous et irriguant les zones rurales. De ce fait, pas moins de six lignes ferroviaires sont en perspective de réouverture dont celle d'Alès/Bessèges ainsi que le maintien de la ligne des Cévennes (le Cévenol, Marseille/Clermont-Ferrand) qui était très menacée par la volonté de MACRON de supprimer les trains dits d'"équilibre des territoires".
Vigilance. Le gouvernement, via la SNCF-réseau, fait tout pour retarder voire faire capoter ce projet de réouverture de ligne. Fortes de leurs premiers acquis, les populations, avec leurs collectifs et leurs associations d'usagers, doivent poursuivre et amplifier leur mobilisation.
Ensemble, remettons les politiques publiques sur les rails, partout, pour tous !
Parti Communiste Français
Section D'Alès
Le 6 février 2018
Parti Communiste FrançaisSection d'Alès
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