Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 10 novembre 2016
Le populisme , le liberalisme
Le populisme , le liberalisme
Voici deux mots très mal employés
D'abord réglons le libéralisme qui n'est liberal que pour l' économie et la finance , mais au détriment du peuple
Le populisme montré du doigt , appanage des extremes , et récemment des "Trumpistes "
Mais le populisme devrait être compris comme une qualité ,
une campagne électorale basée sur le souhait et le besoin du peuple et non sur les élucubrations des pseudo-intellos , des politicards de metier, des avides du toujours plus riche et plus puissant
Les élus "bien pensants" dédaignent le populisme
Bien à eux , ils seront perdant aux prochaines élections
Le populisme ne doit pas être l' appanage d' une quelconque Marine Le Pen qui manipule un populisme destructeur
Il faut opter pour un populisme positif et constructeur , et surtout entendre et comprendre le besoin du quotidien de la population
Le siebourerdusoir
mercredi 9 novembre 2016
Atterré que je suis !
Envoyé de mon iPad
mardi 8 novembre 2016
Il est temps que la campagne présidentielle états-unienne se termine.
Il est temps que la campagne présidentielle états-unienne se termine.
Deux records ont été pulvérisés : jamais joute électorale n'a coûté aussi cher (7 Milliards de dollars dépensés) et jamais le contenu de la confrontation n'a atteint un niveau aussi détestable, les coups bas remplaçant les échanges sur le fond.
Donald TRUMP s'est surpassé dans cet exercice. Mais Hillary CLINTON s'est contentée de rendre coup pour coup, sans jamais élever le débat au niveau des arguments progressistes intégrés dans la plateforme démocrate à la suite des succès enregistrés par Bernie SANDERS lors des primaires.
En faisant le choix de ne pas s'appuyer sur la radicalité exprimée lors des primaires démocrates, elle semble avoir "égaré" son exemplaire de la plateforme démocrate. Elle aurait sans doute préféré gagner seule.
Mais Bernie SANDERS a pris soin de rappeler aux jeunes qui ont été la force motrice de son émergence :
"Le jour d'après l'élection, j'ai l'intention de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que la nouvelle présidente et le Congrès mettent en oeuvre la plateforme démocrate, le programme le plus progressiste dans l'histoire des États-Unis."
Le père de la "révolution politique" devra résoudre la question centrale d'une organisation politique. Le chroniqueur du magazine de gauche "The American Prospect" Harold MEYERSON le rappelle : "Sans organisation, la jeune génération qui émerge, la plus progressiste depuis les années 1930, risque de rentrer à la maison et de délaisser le processus politique."
Hillary Rodham CLINTON devra faire un gros effort, et ses stratèges politiques s'y emploient avec des feuilles remplies de chiffres et explications de texte à l'appui : "Nous avons un problème avec les jeunes."
Difficile d'être plus explicite.
À elle d'en mesurer la portée.
Ce n'est pas acquis.