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14.000 EOLIENNES ABANDONNEES AUX USA !
27 septembre 2013
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Les Etats Américains ont été très tôt, les premiers bernés par la « religion » du vent, et ses apôtres !
Dès 1981, sous la poussée des « Evangélistes verts », les gouvernements de différents états américains, dont entre autres la Californie et Hawaï ont lancé la construction de ce qu'ils appellent les « Wind Farms ». Les financements de ces mégaprojets ont été évidemment payés par les taxes des contribuables. Comme en Belgique des taxes payées par les Citoyens….
Il a fallu dix ans pour se rendre compte que les éoliennes n'étaient pas rentables pour des raisons évidentes : énergie intermittente donc rendements totalement insuffisants, coûts de maintenance et coûts de fonctionnement extrêmement élevés…… car pour que les mécanismes des éoliennes ne se dégradent pas, il faut qu'elles tournent. Le comble, c'est de devoir les faire tourner quand il n'y a pas de vent !
Mais un autre dilemme s'est présenté, il a fallu arrêter les éoliennes quatre mois par an, car elles décimaient des milliers d'oiseaux migratoires. Un des sites d'éoliennes a recensés plus de 10.000 oiseaux tués sur une année !
Les financiers américains et les contribuables US sont des gens pragmatiques. Ils ont fait leurs comptes. La bulle énergétique éolienne n'était valable qu'avec les subsides des gouvernements des différents états. Et au grand désespoir de tous les lobbies et associations d'illuminés verts, les gouvernements ont décidés de tout arrêter. Le résultat global est apocalyptique en plus d'être une énorme perte financière.
Donc, depuis des années 14.000 éoliennes, croupissent, se déglinguent, rouillent dans les immenses « Wind farms » abandonnés à tout jamais. Des fortunes dépensées à la gloire du dogme vert.
Il me reste une question importante : les écolos belges ont-ils fait des études de rentabilité sur leurs élucubrations…..à moins qu'ils ne se disent que les citoyens Belges paieront de toutes façons ! En Belgique un même désastre est à prédire ! N'est-il pas répréhensible de lancer un pays sans comparer avec les réussites et les ratés d'autres pays dans ce domaine.
Cela s'appelle pour les vrais professionnels : « Un retour d'expérience ». Mais peut-être que les écolos en Belgique, enfermés dans leur bulles ne sont pas l'écoute des autres, imbibés de leurs dogmes et pénétrés de leur intégrisme. Ou peut-être, les ondes hertziennes ne traversent pas les parois des cavernes où ils vivent !
JACQUES D'EVILLE