Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 22 février 2013
Compte rendu réunion Saint Hilaire Durable du 15/02/2013
jeudi 21 février 2013
Avez-vous essayé de vous faire soigner par les plantes ces dernières semaines en France?
Par exemple, pour vos brûlures d’estomac, votre médecin phytothérapeute vous prescrivait peut-être du ficus carica (figuier) ou encore de la Malva Sylvestris (Mauve Sauvage ou grande Mauve). Et jusqu’au 1er août dernier, il avait encore le choix entre différentes plantes, proposées sous forme de médicaments homéopathiques1.
Ces remèdes sont désormais interdits. Et ce ne sont pas les seuls. Depuis le mois d’août, plus d’une trentaine de remèdes à base de plantes ont été retiré du marché dans l’indifférence générale et le silence le plus absolu.
A chaque fois, l’ANSM invoque les mêmes raisons : l’insuffisance de la bibliographie. Mais comment alors ces médicaments ont-ils été autorisés la première fois ? Pourquoi a-t-on retiré ces remèdes prescrits et consommés pendant des dizaines d’années à la satisfaction des patients et sans qu’aucun effet secondaire n’ait été à déplorer ? Nos connaissances dans le domaine de la phytothérapie ont-elles tellement régressé ? A-t-on perdu de précieux papyrus décrivant les vertus de ces plantes ?
Non, évidemment. La vérité est ailleurs. Et nous allons la chercher. L’IPSN créé un groupe de travail sur la phytothérapie clinique en France. D’ici au mois d’avril 2013 nousaurons réuni un maximum d’information sur ce sujet et nous remettrons notre rapport aux autorités françaises. Et nous ferons un comparatif avec ce qui existe en Belgique et en Suisse.
Pour en savoir plus : http://www.ipsn.eu/actualites/groupe-de-travail-phytotherapie
En attendant, chaque mois qui passe voit disparaître du marché un nouveau remède à base de plantes.
Résultat, vous ne pourrez plus demander à votre médecin ou votre thérapeute de traitement à base de plantes sans qu’il ne prenne de risques terribles. Car pour lui le choix est simple : s’il veut bien vous soigner, il doit se mettre hors la loi et commander des produits en Suisse ou en Belgique. Mais s’il ne veut pas être radié de l’ordre, il ne pourra pas vous soigner. Ou alors il devra rentrer dans le rang et prescrire, comme les autres, des médicaments chimiques.
Il faut le dire clairement : en 2012, en France, un médecin phytothérapeute ne peut, sans risquer sa peau, ni prescrire des préparations magistrales, ni utiliser les remèdes à base de plantes dont il a le plus besoin.
mercredi 20 février 2013
Le Golf ???
Des nouvelles du Golf !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Balade Champêtreorganisée par St Hilaire Durable et présentation
d'Alternatives au délirant projet golfique
Samedi 2 mars 2013
St Hilaire de Brethmas
R.D.V : 10h30 parking Paul Cézanne
(près du Temple et de la Poste)
Balade de découverte commentée
Pique-nique tiré du sac (apéro offert)
Retour :14h30 salle Louis Benoît
Présentation projet alternatif (débats et film)
En cas de pluie, RDV directement salle Louis benoît
Bierebel, le rendez-vous des amateurs de bieres belges.
http://www.bierebel.com/biere.php?sort=all
Document unique ! ! !
Voilà ce qui va compléter les connaissances de certains amateurs !
2441 bières belges !
Tapez sur la marque et vous aurez l'adresse et le nom du fabriquant.
Voila une liste très complète des bières fabriquées en Belgique
C'est vraiment un document magnif"HIC"que !
Anduze : L’école ne sera bientôt plus gratuite…..
La droite rurale sort ses fourches
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lagazettefr a publié:"Sous le commandement de Pierre Morel-A-L'Huissier (UMP), 49 députés de droite tirent à boulet rouge sur la baisse de 4,5 milliards des dotations aux collectivités d'ici 2015. Egalement dans leur viseur : la réduction de 50 % du nombre de cantons. Deux sig"
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Nouvelle publication sur Le millefeuille sur le grill
La droite rurale sort ses fourches
by lagazettefrSous le commandement de Pierre Morel-A-L'Huissier (UMP), 49 députés de droite tirent à boulet rouge sur la baisse de 4,5 milliards des dotations aux collectivités d'ici 2015. Egalement dans leur viseur : la réduction de 50 % du nombre de cantons. Deux signes, selon eux, d'une volonté de « mise à mort de 80 % du territoire ».
Haro sur la fin du soutien financier de l'Etat aux petites communes ! Feu sur la suppression de services publics ruraux ! Et vive l'investissement public, moteur de croissance en temps de crise ! Les discours fleurent bon ceux, millésimés « 2011 », de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR). Et, pourtant, autour de la table, ce 19 février 2013, on ne trouve que des députés UDI et UMP. Le collectif parlementaire sur la ruralité, anciennement connu sous le label de droite rurale, convoque les gazettes à l'Assemblée nationale pour lancer sa « révolution des fourches ».
Tous ses membres vilipendent la baisse de 4,5 milliards des dotations jusqu'en 2015. « Du jamais vu, depuis la création de la dotation globale de fonctionnement en 1979 », rappelle Hervé Gaymard, député (UMP), président du conseil général de Savoie et ancien ministre de l'Agriculture.
Ciel, mon canton !
Tous conspuent le projet de loi électoral et la baisse de 50 % du nombre de cantons, en examen devant l'Assemblée depuis le 18 février. Ils discernent-là la mise à mort programmée des territoires les moins peuplés. « C'est le grand bond en arrière », juge Didier Quentin, député (UMP) de la Charente-Maritime. « Dans ma circonscription, il n'y aura plus que 2 cantons au lieu de 10 », illustre son collègue (UMP) du Var, Olivier Audibert-Troin. « La fin d'une représentation politique, c'est la mort économique », tranche François Sauvadet, député (UDI) et président du conseil général de Côte-d'Or. Pierre Morel-A-L'Huissier (UMP), leader ce groupe informel, rappelle, lui, que le canton constitue l'échelon de base de l'organisation des services publics…
Les 80 % du territoire et les 11 millions de Français habitant des communes rurales seraient oubliés. La limitation du cumul des mandats constituerait la deuxième lame du rasoir gouvernemental. « Les parlementaires iront chercher leur investiture, non, dans les territoires, mais dans les couloirs », met en garde Didier Quentin.
Datar « nostalgie »
Tous évoquent, avec nostalgie, la Délégation à l'aménagement du territoire et à l'action régionale (Datar) fondée en 1963. L'institution gaullo-pompidolienne était, à l'origine, dirigée par des grands commis de l'Etat comme Olivier Guichard. « Aujourd'hui, qui est à la tête de la Datar ? Mr nobody », grince Didier Quentin. « Le cinquantenaire de la Datar ne fera pas le printemps de la ruralité. Ce n'est plus qu'un cimetière de fonctionnaires en mal d'affectation et d'intellectuels attardés », renchérit Pierre Morel-A-L'Huissier.
Pour le député (UMP) de l'Aveyron, Alain Marc, c'est bien simple : « Le gouvernement hait la ruralité. » L'un de ses collègues évoque sa proximité avec un syndicat agricole « musclé ». Pierre Morel-A-L'Huissier parle de « caillassages » lors de visites ministérielles. Propos de Gascon, pour l'heure. La jacquerie, ce 19 février, reste confinée aux ors du Palais Bourbon.
Jean-Baptiste Forray
lagazettefr | 19 février 2013 à 18:54 | URL: http://wp.me/pJcie-ek
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mardi 19 février 2013
ce cher William ...
Réforme bancaire : le projet de loi adopté à l'Assemblée nationale
Réforme bancaire : le projet de loi adopté à l'Assemblée nationale
Le projet de loi de séparation et de régulation des activités bancaires, qui prévoit notamment de cantonner les activités spéculatives dans une filiale séparée, a été adopté mardi, en première lecture à l'Assemblée nationale, par 315 voix contre 161.Ce texte, dont les députés avaient débattu la semaine dernière, limite les activités spéculatives des banques, sans aller jusqu'à la séparation complète des banques d'affaires et de dépôt promise par François Hollande lors de la campagne présidentielle. Il restreint aussi le coût de certains frais bancaires pour les clients, ce qui a entraîné une protestation des banques auprès de Jean-Marc Ayrault ce week-end, et comprend des mesures de transparence visant les paradis fiscaux.
A droite, si la majorité du groupe UMP a voté contre, 15 députés UMP ont voté pour, tels Henri Guaino, David Douillet et Damien Abad, ainsi que plusieurs élus de la Droite Populaire. 16 autres élus UMP se sont abstenus, dont le président de la commission des Finances, Gilles Carrez, le filloniste Jérôme Chartier ou Jean-Frédéric Poisson, proche de Christine Boutin.
Les députés UDI se sont tous abstenus. Parmi les élus non inscrits, Jean Lassalle (Modem) et le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ont voté pour, tandis que les deux députés du FN se sont abstenus.
Un seul député socialiste, William Dumas, a voté contre, tandis que trois se sont abstenus (dont Jean Launay, qui avait déposé de nombreux amendements). L'écologiste Noël Mamère est le seul de son groupe à s'être abstenu.
Prochaine étape le 18 mars avec cette fois-ci le vote au Sénat.