mercredi 2 février 2011

ACHETEZ LE CANARD ENCHAINE CE MATIN
Page 5 un article sur Anduze et la manif à la gare du TVC le vendredi 21 janvier 2011

mardi 1 février 2011

ZIELINGER tu ne t'ecrases pas, tu preferes écraser les manifestants avec ta loco

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http://www.midilibre.com/articles/2011/01/31/VILLAGES-Zielinger-J-39-en-fais-une-question-de-principe-1522998.php5
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électron libre, j'ai pris sur moi d'envoyer ce mail à bonimenteur.

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Monsieur le Maire,

D'aucun vous traitent de "bonimenteur". Sans énumérer la liste de vos exploits en la matière, le dernier en date à ma connaissance, car peut être y en a-t-il eu d'autres depuis, est celui où vous affirmez : "il n'y avait pas plus de vingt personnes d'Anduze, pas plus de vingt". Si vous aviez eu le courage (pour ne pas dire la décence) de venir à notre rencontre, au lieu de vous réfugier, bien avant le départ du train, dans un des compartiments, vous auriez pu constater que, outre des élus de communes de la 2C2A, la Conseillère Générale et des habitants de communes de la 2C2A, de nombreux anduziens étaient également présents.

Oui, je fais partie de celles et ceux qui affirment que vous n'avez pas tenu toutes vos promesses. Croyez vous que les gens aient la mémoire si courte?

Vous rappelez vous que, lors de la précédente campagne pour les élections municipales, alors que j'étais inscrite sur une autre liste que la votre, j'ai organisé à mon domicile une réunion de quartier où vous avez pu, avec Bernard VIERNES à vos côtés, présenter votre projet commun? Je crois que ça s'appelle être démocrate et, outre cet aspect de ma vision de la vie politique qui me semblait encore possible dans une petite commune comme la notre, je vous tenais en estime.

Ce même discours que tant d'autres anduziens ont non seulement entendu mais retenu, lors de toutes vos réunions publiques préélectorales où vous affirmiez que vous défendriez la 2C2A pour que nous ne soyons pas absorbés par le Grand Alès, afin de défendre notre identité.

Non, les anduziens n'ont pas la mémoire courte.

Votre ultime déni en la matière : la venue de Max ROUSTAN à Anduze pour ses voeux.. Vous savez pertinemment que vos discours et actions depuis plus d'un an afin que notre commune se rallie au Grand Alès ont provoqué la polémique. Ce départ depuis la gare d'Anduze ne fut donc qu'une pure provocation de votre part. Peut être cherchiez-vous des preuves de la détermination de nombre d'élus et citoyens de la 2C2A, dont ceux d'Anduze ? Vous voilà servi.

Toutes les personnes présentes face à ce train l'étaient de façon pacifique. Je suis extrêmement choquée et triste que certains membres des forces de l'ordre se soient ainsi déchaînés contre nous, allant jusqu'à utiliser une bombe lacrymogène à quelques centimètres à peine des yeux de manifestants sans aucune sommation. On connait hélas la suite : la violence engendre la violence et il y eu des débordements bien regrettables autant pour les personnes présentes dans ce train que pour toutes celles et ceux qui étaient venus dans le seul but retarder pacifiquement le départ du train.. Je n'ai pas de mots pour vous exprimer ce que nous avons toutes et tous ressenti, et que vous ayez tout fait pour qu'une telle chose arrive. C'est extrêmement grave et espère que vous en mesurez tout le sens.

Je laisse à votre réflexion le fait que l'on peut être élu un temps, mais électeur toujours.

Je vous prie de croire, Monsieur le Maire, en l'expression de ma considération particulièrement distinguée.

Marie FLORENCE

P.S. : Concernant votre "lettre" du 26 janvier dernier, vous parlez de "gens "assis" dans la société, retraités, élus". Depuis quand ces catégories de citoyens n'ont pas le droit de s'exprimer ? Certes, je suis "assise", comme vous l'écrivez, dans la société, mais je suis debout en tant que citoyenne. Où étiez vous lors des manifestations de septembre et octobre pour les retraites ? Bien "assis" dans votre fauteuil de Maire ? On ne vous y a pas vu une seule fois. Vous avez beau jeu de récupérer la mobilisation si juste et vitale des employés de "Richard Ducros", c'est important pour soigner votre image, n'est-ce pas ? Vous qui avez viré 3 membres de votre conseil municipal sans autre forme de procès. Oui, les anduziens ont de la mémoire.

LA « GAZETTE » DU PETIT TRAIN

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La CITEV, société exploitant le petit Train à Vapeur des Cévennes (TVC), vient de publier et de diffuser par mail le premier numéro d’une nouvelle gazette.

Certainement préparée avant le 21 janvier cette gazette est datée du 31 janvier. Elle fait la promotion des évènements à venir sur la ligne, genre « nuits magiques » en avril.

Jusque là rien d’anormal.

Mais là où l’affaire prend toute sa saveur c’est quant à une animation prévue les 7 et 8 mai prochain : « L'attaque des Indiens », ainsi commentée : « Au secours ! A l’Aide ! Les indiens attaquent le Train. Que tous les Cowboys de la région déboulent à la gare pour protéger le Train à vapeur qui doit absolument amener sa précieuse cargaison en gare de St Jean du Gard. Soyez vigilant, le Train peut être attaqué à tout moment. Sauvez le trésor, vous le partagerez à l’arrivée ».

Pour ce qui est d’amener une « précieuse cargaison » à Saint-Jean le TVC a pris de l’avance le 21 janvier, et les Cowsboys de la région ont bien déboulé pour la protéger…

Quant au titre, la Gazette, on ne pouvait pas mieux choisir, c’est à pleurer de rire !

Unréboussierpasencorescalpé

PS : pour qui ne croirait pas à cette publication surréaliste il suffit d’aller sur le site de ladite gazette :

http://www.trainavapeur.com/lagazette/

Re-gardons.net : LE NUMERO DE FEVRIER EST EN LIGNE

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Au sommaire :
- Politiques culturelles : un Pavé en Cévennes et la langue de bois,
- Evènements du mois : peinture à Sauve et chocolat à Nîmes,
- Lectures : du côté des Folio à 2 euros, des vrais bonheurs,
- Photo : les feuilles mortes de Michel Bouche,
- Poésie : un alésien oublié mais un joli sonnet,
- Cinéma-Théâtre : les anglais à Nîmes, Dom juan à Anduze,
- Mémoire : pour retrouver Frédéric Desmons,
- Musique : Muz’art, un site multiculturel à Sauve,
- Arts appliqués : le petit patrimoine.
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http://www.re-gardons.net/

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samedi 29 janvier 2011

Si tu fais quelquechose pour moi et que tu le fais sans moi, tu le fais contre moi – proverbe africain

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Des citoyens qui ont co-élaboré un projet de territoire avec leurs élus méritent respect, attention et soutien de la part de la collectivité dans son ensemble ...
A l'heure des contraintes budgétaires nos édiles feraient bien de s"inspirer de cette démarche responsabilisante pour les finances publique !
Oeuvrons et inter agissons ensemble en priorisant ce qui nous rapproche dans la Convivencia
– l’art du vivre ensemble
- inventé par les troubadours au 12e siècle et construisons nos désaccords dans le dialogue
et non le boycot et l’envoi des forces de l’ordre / du désordre histoire de prouver qui a le plus gros zizi -


Envoyé par JR

CA GAZE A ANDUZE

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Voilà t’il pas que notre « Maxou » s’invite, où est invité, (je ne sais pas) à Anduze, puis à Saint Jean pour la cérémonie des vœux municipaux. Rien à dire, pas de quoi à priori fouetter trois pattes à un canard, on peut bien après tout amener qui on veut chez soi pour les fêtes… Oui, mais ce n’était pas du goût de tout le monde, parce que voyez-vous, une municipalité, ou une Communauté de Communes, c’est comme une famille, mais en plus élargi. Et il ya des fois des divisions. Déjà que les noces entre Anduze et Alès, c’était pas gagné, gagné , alors vous pensez bien que ce que d’aucuns ont vu comme les accordailles avant les fiançailles, ce 21 janvier à la gare du petit train d’Anduze, ca paraissait un peu râpeux.

Pourtant les promis étaient superbes :

Lui, rend comme un sénateur, fier comme un jars, familier comme un maquignon, prompt à vous décoller la plèvre avec ses grosses bourrades amicales.

Elle, brunette, jolie comme un cœur, modeste et réservée, les yeux baissés derrière ses longs cils semblait promettre des charmes secrets et frugaux fleurant bon la garrigue.

C’est alors qu’une partie de la « noce », des cousins éloignés sans doute, pas vraiment invités en tous cas, se sont présentés à la cérémonie, pas toujours encravatés, (il faut bien le reconnaître). Ils ont manifesté leur réprobation pour les éventuelles futures épousailles, conspuer les promis ; familles et belle familles comprises.

Cela s’est fini comme n’importe où par des empoignades, coups et bousculades.

La fête était ratée, la fiancée anduzienne en pleurs, le promis alésien courroucé.

Il faut dire que pour bien comprendre cette farce à la Clochemerle que cela pouvait ressembler au mariage de la carpe et du lapin !

La promise, issue d’une famille pauvre, aurait, aux dires de certains, souhaiter cette union par intérêt ; le futur marié, paraît-il, par amour, du moins c’est ce qu’il prétend.

Personne n’y trouverait à redire d’ailleurs, sauf que c’est le contrat de mariage qui poserait problème, qu’il entraînerait des conséquences pour la famille proche, voire le cousinage éloigné.

D’où le scandale !

Il faut bien avouer que de nos jours, ces cérémonies très officielles sont passées de mode, que l’union de deux destinées entraînant le mariage de deux tribus ou de deux clans, par la seule volonté des parents, appartient au passé. En tous cas les fratries concernées auraient peut-être souhaité quelques débats et palabres quitte à ce que l’on « pacse » hâtivement les tourtereaux. On pourra toujours légitimer la progéniture par la suite…

On affirme que la fiancée n’était pas enceinte, pourtant certains esprits mal avisés, prompts à lorgner sous la robe virginale, prétendent le contraire et clament à tout va, qu’on leur a fait un enfant dans le dos…

Non mais, de quoi ils se mêlent, roumèguent les promis, c’est pas eux qui vont laver les couches et démerder le lardon !

Si ! si ! répondent les autres, on sait comment ça se passe, quand ils seront aux Seychelles, c’est nous qu’on va garder le marmot, alors ça nous regarde !

Enfin, tout cela était fort navrant, une fête fichue, une mariée toute chiffonnée, un fiancé grommelant que, si c’est comme ça, il allait reprendre sa parole, que de toute façon, le gosse, il est pas de lui et que c’est elle qui le voulait.

Finalement, y avait que les beaux-frères qui étaient contents, ils étaient tous venus, habillés en bleu avec des casquettes à visière. Ils étaient là, parce qu’on les avait invités au dernier moment, ils ont un peu cogné, de ci, de là, fini les bouteilles et ont bien rigolé.

Bref ! rien de bien nouveau sous le soleil depuis que le monde est monde, ça se passe toujours un peu comme cela, vous ne trouvez pas ?

Y a bien que les Tunisiens qui rêvent encore…

Non mais faut-il être bête.

Envoye par CHANTAL