dimanche 2 mars 2025

Que pensez-vous de l’action de TRUMPOSKY qui explose ces principes ?

 DEI signifie Diversité, Équité et Inclusion. Voici une brève explication en français :

- **Diversité** : Reconnaître et embrasser la vaste gamme de différences parmi les personnes, y compris la race, l'origine ethnique, le sexe, l'âge, l'orientation sexuelle, le handicap et bien plus encore.

- **Équité** : Garantir un traitement équitable, des opportunités et un accès pour tous, tout en s'efforçant d'éliminer les barrières qui ont historiquement désavantagé certains groupes.

- **Inclusion** : Favoriser une culture où chacun se sent appartenir et peut pleinement participer, contribuer et s'épanouir

Ces principes sont essentiels pour créer des sociétés, des lieux de travail et des communautés plus inclusives et justes. 

Depuis son retour à la présidence en janvier 2025, Donald Trump a entrepris une série de mesures visant à éliminer les programmes de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI) au sein du gouvernement fédéral et des entreprises sous contrat avec celui-ci. Le 20 janvier 2025, il a signé l'Executive Order 14151, intitulé « Ending Radical And Wasteful Government DEI Programs And Preferencing », ordonnant la suppression de toutes les initiatives liées au DEI dans les agences fédérales. 

Le 21 janvier 2025, Trump a également signé l'Executive Order 14173, « Ending Illegal Discrimination And Restoring Merit-Based Opportunity », interdisant aux organisations privées sous contrat fédéral de mettre en œuvre des programmes DEI. 

Cette action a conduit à l'annulation de l'Executive Order 11246, signé initialement en 1965 par le président Lyndon B. Johnson, qui interdisait la discrimination dans l'emploi par les contractants fédéraux et exigeait des programmes d'action positive pour promouvoir l'égalité des chances. 

Texte rédigé par mon IA préférée avec mon aide modeste ! 



2 commentaires:

Anonyme a dit…

Les helvètes se préoccupent de leur bas de laine...!

"A priori, les fonds sont bien placés, puisqu’ils ont rapporté 7,33 % l’an dernier, grâce à des positions en obligations, en actions, en pétrole et en or. Compenswiss, un organe public indépendant qui gère la fortune (46,1 milliards de francs suisses, soit 48,9 milliards d’euros) des assurances sociales helvétiques, s’en réjouit. « Fin 2024, toutes les classes d’actifs étaient clairement en territoire positif », annonçait, il y a trois semaines, Eric Breval, le directeur de l’institution, en présentant ses résultats annuels. Toutes excédentaires, les trois principales caisses sociales − AVS, AI et APG répartissent les rentes de retraite, d’invalidité, et des prestations en cas de perte de revenus pour cause de maladie − n’ont jamais eu de souci à se faire.

Mais, a posteriori, ce n’était peut-être pas une si brillante idée de confier la gestion, en juillet 2024, à la banque américaine State Street. Pendant vingt-six ans, le géant bancaire suisse UBS s’était acquitté de la tâche à l’intérieur des frontières nationales, mais il a eu le malheur de facturer ses services 20 millions de francs, alors que son concurrent américain proposait 4 millions de moins. Le pactole de Compenswiss a donc déménagé. Mais tout change si vite aux Etats-Unis qu’une question affleure subitement : Trump pourrait-il mettre la main sur les fonds de retraite des Suisses ?
(…)


https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/03/03/la-suisse-s-inquiete-d-avoir-confie-la-gestion-de-l-argent-des-retraites-a-des-banques-americaines_6575570_3234.html

Anonyme a dit…

(…)
"Ces maîtres de l’heure possédaient les trois choses nécessaires aux grandes entreprises modernes : des usines, des banques, des journaux. Michel Corday nous montre comment ils usèrent de ces trois machines à broyer le monde. Il me donna, notamment, l’explication d’un phénomène qui m’avait surpris non par lui-même, mais par son
excessive intensité, et dont l’histoire ne m’avait pas fourni un semblable exemple : c’est comment la haine d’un peuple, de tout un peuple, s’étendit en France avec une violence inouïe et hors de toute proportion avec les haines soulevées dans ce même pays par les guerres de la Révolution et de l’Empire. Je ne parle pas des guerres de l’ancien régime qui ne faisaient pas haïr aux français les peuples ennemis. Ce fut cette fois, chez nous, une haine qui ne s’éteignit pas avec la paix, nous fit oublier nos propres intérêts et perdre tout sens des réalités, sans même que nous sentions cette passion qui nous possédait, sinon parfois pour la trouver trop faible.

Michel Corday montre très bien que cette haine a été forgée par les grands journaux, qui restent coupables, encore à cette heure, d’un état d’esprit qui conduit la France, avec l’Europe entière, à sa ruine totale. « L’esprit de vengeance et de haine, dit Michel Corday, est entretenu par les journaux. Et cette orthodoxie farouche ne tolère pas la dissidence ni même la tiédeur. Hors d’elle, tout est défaillance ou félonie. Ne pas la servir c’est la trahir. »

Vers la fin de la guerre, je m’étonnais devant quelques personnes de cette haine d’un peuple entier comme d’une nouveauté que l’on trouvait naturelle et à laquelle je ne m’habituais pas. Une dame de beaucoup d’intelligence et dont les mœurs étaient douces assura que si c’était une nouveauté, cette nouveauté était fort heureuse. « C’est, dit-elle, un signe de progrès et la preuve que notre morale s’est perfectionnée avec les siècles : la haine est une vertu ; c’est peut-être la plus noble des vertus. »

Je lui demandais timidement comment il est possible de haïr tout un peuple :

— Pensez, madame, un peuple entier c’est grand… Quoi ? Un peuple composé de millions d’individus, différents les uns des autres, dont aucun ne ressemble aux autres, dont un nombre infiniment petit a seul voulu la guerre, dont un nombre moindre encore en est responsable, et dont la masse innocente en a souffert mort et passion. Haïr un peuple, mais c’est haïr les contraires, le bien et le mal, la beauté et la laideur. »

Quelle étrange manie ! Je ne sais pas trop si nous commençons à en guérir. Je l’espère. Il le faut. Le livre de Michel Corday vient à temps pour nous inspirer des idées salutaires. Puisse-t-il être entendu ! L’Europe n’est pas faite d’États isolés, indépendants les uns des autres. Elle forme un tout harmonieux. En détruire une partie, c’est offenser les autres.

Notre salut c’est d’être bons Européens. Hors de là, tout est ruine et misère."

Salut et fraternité,

Anatole FRANCE.


https://fr.wikisource.org/wiki/On_croit_mourir_pour_la_patrie%E2%80%A6