mercredi 18 septembre 2024

manifestation le 21 à Ales

À l'appel de l'ensemble des composantes du Nouveau Front Populaire Alésien rassemblement samedi 10H30 à la sous préfecture.
Pour le respect du résultat des urnes la mobilisation continue !🔥

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Trois grèves en près d’un mois

"Face à cette annonce fracassante, l’intersyndicale de la PJJ a appelé à 2 journées d’actions et de grève, les 14 et 29 août, et remet le couvert ce 19 septembre. “Ce n’est pas une profession qui se mobilise beaucoup et les deux dates précédentes sont tombées en pleine période de congé. Malgré tout, nous avons comptabilisé 13% à 15% de grévistes, c’est le signe d’une grève forte chez nous“, analyse Josselin Valdenaire. L’intersyndicale tente aussi de relever d’un cran le rapport de force. Le préavis de grève déposé dépasse la seule direction de la PJJ et concerne tout le ministère de la Justice. “L’affaiblissement de notre profession concerne tout notre ministère, et au-delà. D’ailleurs nous avons le soutien de syndicats de la magistrature ou encore d’avocats“, continue le syndicaliste. Actant que le dialogue social avec la direction de la PJJ (DPJJ) est “arrivé à son terme“, les syndicats souhaitent cette fois être reçus par le Premier ministre.

Du côté de la DPJJ, les annonces restent maigres : 3 millions d’euros devraient être débloqués pour réembaucher 239 contractuels pendant deux mois à partir du 15 octobre. “On n’est même pas sûrs que ces salariés accepteront de revenir. Rendez-vous compte, c’est une profession qui souffre déjà d’un déficit d’attractivité et on découvre que des agents peuvent être jetés du jour au lendemain alors que certains avaient reçu des promesses d’embauche“, soutient Marc Hernandez, de la FSU. L’intersyndicale considère également que les moyens annoncés sont insuffisants. “Ils ne permettent même pas de retrouver un fonctionnement habituel. Or, habituellement, il y a déjà des postes vacants. L’an dernier, nous avions estimé que la PJJ avait 2777 mesures (ndlr : suivis éducatifs, contrôles judiciaires, placements etc) en attente. Il aurait fallu 111 équivalents temps plein pour les assurer.“

Ce 19 septembre, les grévistes demandent donc “un plan de titularisation et de recrutement sur l’intégralité des postes vacants et des formations en conséquence”. Autre revendication au long cours, que les syndicats essaient de remettre sur le devant de la scène : l’abaissement des normes de prise en charge. “Actuellement, un éducateur au pénal peut avoir 25 mineurs à sa charge. C’est beaucoup trop“, affirme Marc Hernandez. Ils souhaitent que leur direction, dépendante du ministère de la justice, respecte tout simplement la loi en publiant les chiffres demandés et associe l’intersyndicale aux décisions budgétaires."


https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/pjj-en-greve-casser-notre-metier-est-un-signe-de-lextreme-droitisation-de-la-societe-091822003

Anonyme a dit…

Mobilisation de la jeunesse !...

"À l’initiative des associations et des organisations de jeunesse, une manifestation nationale s’organise le 21 septembre pour lutter contre le coup de force d’Emmanuel Macron. Une date qui résonne puisqu’en 1792, la Convention nationale décrète un 21 septembre l’abolition de la royauté et la naissance de la République Française : un seul homme ne peut avoir les pleins pouvoirs.

Suite à la réussite de la dernière manifestation nationale avec plus 300 000 personnes dans les rues, les associations (Union étudiante, union syndicale lycéenne, Attac, La jeune garde, Greenpeace, Nous Toutes, Les amis de la Terre, Le planning familial…) ont décidé de remettre le couvert.

Les revendications sont claires, comme elles l’ont rappelé le 19 septembre lors d’une conférence de presse à Paris : abroger la réforme des retraites, redistribuer les richesses, augmenter le Smic, obtenir un revenu d’autonomie à hauteur du seuil de pauvreté pour les étudiants, en plus de reconstruire les services publics – à commencer par l’école et l’université."
(…)


https://www.humanite.fr/politique/emmanuel-macron/pourquoi-les-organisations-de-jeunesse-et-associations-appellent-a-la-mobilisation-nationale-le-21-septembre

Anonyme a dit…

"Avant sa sortie sur les écrans français le 6 novembre, Cinéplanet accueillait, ce lundi soir à Alès, une projection du film Louise Violet réalisé par Éric Besnard, avec les comédiens Alexandra Lamy et Grégory Gadebois. Inutile de le faire remarquer, mais pour les Alésiens qui avaient rempli la salle, c’est Alexandra qui était la première à être attendue. Ce film à la dramaturgie avérée renvoie dans les dernières années du XIXe siècle où une femme, encore jeune, vient enseigner dans un village de paysans de la France profonde.

C’est la laïcité républicaine et la gratuité de cette école qui en sont les vecteurs. Hussarde noire de la République, l’institutrice va se heurter aux ostracismes locaux, elle qui a déjà été marquée par un passé dramatique. Alexandra Lamy y est remarquable d’expression. Après la projection, elle rappellera son passé et son engouement pour le théâtre suscité par Michel Boissier, son professeur au collège Racine."


https://www.midilibre.fr/2024/09/24/alexandra-lamy-remarquable-dans-le-film-louise-violet-presente-a-ales-12217571.php