jeudi 11 juillet 2024

 


3 commentaires:

Anonyme a dit…

"Via cette "caisse de péréquation", une telle mesure sera possible, selon Mathilde Panot. "Les grandes entreprises aident les petites entreprises", a-t-elle expliqué, suggérant par ailleurs de réorienter "les plus de 200 milliards d'aides publiques aux entreprises qui sont donnés chaque année sans contrepartie". "Lorsque vous redonner les moyens aux gens pour qu'ils puissent vivre dignement, vous relancez aussi la consommation populaire et donc le carnet de commande des très petites et moyennes entreprises", a plaidé l'élue Insoumise. "Non seulement ça crée de l'emploi, mais ça crée de l'attractivité sur les emplois", selon elle.

"Je n'accepte pas qu'on nous explique à chaque fois, qu'il serait impossible de vivre mieux dans ce pays, qu'il serait impossible de partager les richesses", a-t-elle ajouté. La France insoumise avait déjà tenté de proposer l'augmentation du Smic à 1 600 euros et la mise en place d'une caisse de péréquation dans une proposition de texte dans le cadre de sa journée d'initiative parlementaire en novembre 2022. Le texte a été rejeté par la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale."


https://www.francetvinfo.fr/economie/smic-a-1-600-euros-nous-proposons-une-caisse-de-perequation-pour-que-les-grandes-entreprises-aident-les-petites-entreprises-explique-mathilde-panot_6659913.html

Anonyme a dit…

Un coup de pression bienvenu...!

"Pour obtenir d’Emmanuel Macron le respect du résultat des urnes et la nomination d’un gouvernement qui mettra en œuvre des mesures de progrès social, les syndicats (hors CFTC, qui revendique de ne pas faire de commentaire politique) montent au front, et ils ont bien raison. Ils font partie de cette société civile qui a œuvré de façon déterminante à la constitution d’un puissant front républicain contre l’extrême droite et qui appelle de ses vœux un retour de la gauche au pouvoir, après sept ans de macronisme pendant lesquels les droits des travailleurs comme des chômeurs, mais aussi le dialogue social, ont été piétinés. En 1936, au moment du Front populaire originel, de larges mobilisations avaient accompagné la victoire, comme l’exercice du pouvoir, du gouvernement Blum.

L’appel de certains (notamment la CGT) à se rassembler devant les préfectures et aux abords de l’Assemblée nationale le 18 juillet – date du début de la nouvelle session parlementaire – ou la menace de grèves au moment des Jeux olympiques" (…)


https://www.liberation.fr/politique/mieux-vaut-une-mobilisation-syndicale-quune-marche-vers-matignon-20240712_7PAHEBIFKFFTBBZCEHHQNQDI7Q/

Anonyme a dit…

"Alors que nombre de projets de fusions et acquisitions sont à l’arrêt en France depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, Sanofi est bien décidé à ne pas ralentir le rythme de son désengagement de sa division grand public, annoncé en octobre 2023. Regroupant ses médicaments sans ordonnance et ses compléments alimentaires, Opella (5,18 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit 12 % de l’activité du groupe), la filiale du géant français de la pharmacie est surtout connue pour le Doliprane, Maalox et Lysopaïne."
(…)


https://www.lefigaro.fr/societes/sanofi-fait-fi-de-la-dissolution-de-l-assemblee-nationale-pour-ceder-doliprane-au-plus-offrant-20240715