dimanche 23 juin 2024

Nordine TRIA candidat centre GAUCHE 5eme circonscription GARD
Aujourd’hui Dimanche à Anduze

 




9 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour rappel, l'ensemble des candidatures sur la 5e circonscription du Gard...

- 5e circonscription (Alès Ouest, Alzon, Anduze, Bessèges, Génolhac, La Grand-Combe, Lasalle, Lédignan, Quissac, Saint-André-de-Valborgne, Saint-Hippolyte-du-Fort, Saint-Jean-du-Gard, Saint-Mamert-du-Gard, Sauve, Sumène, Trèves, Valleraugue, Le Vigan) : Michel Sala, député sortant (LFI / NFP) ; Léa Boyer (LR) ; Alexandre Allegret-Pilot (LR / RN ) ; Agnès Olinet (LO) ; Nordine Tria (Société civile) ; Catherine Daufès-Roux (Renaissance)
(…)


https://www.midilibre.fr/2024/06/17/legislatives-2024-la-liste-complete-des-candidats-de-votre-circonscription-dans-le-gard-lherault-la-lozere-laveyron-laude-et-les-po-12020700.php

Anonyme a dit…

Je ne comprends pas bien a quoi rime cette candidature inattendue, sinon à bousiller celle de Michel Sala ....
M Tria serait il pompier pyromane ...

Bien amicalement a tous

Anonyme a dit…

Je ne crois pas que le RN soit majoritaire au premier tour
Posez vous les bonnes questions
Qu’a fait Sala pour vous , mise à part les manifs anti-retraite
Dans ces conditions un deuxième tour sera nécessaire
Et là que le meilleur gagne à condition de gérer intelligemment le report des voix

Anonyme a dit…

"C’est la plus vaste circonscription du Gard et certainement la plus reculée. D’Alès au Vigan, en passant par La Grand-Combe et le Piémont cévenol, la 5e circonscription englobe 136 communes et toutes les Cévennes gardoises.
Depuis 1988 (hormis 1993-1997, occupée par le RPR Alain Danilet), elle fait office de “bastion” pour la gauche, avec Alain Journet (1988-1993), Damien Alary (1997-2007) puis William Dumas (2007-2017). Un ancrage qui résonne avec un électorat historiquement populaire, issu pour une part des milieux agricoles et ouvriers.

En 2017, la vague macroniste change la donne et place Olivier Gaillard. Mais peu convaincu par la politique de LREM, il démissionne et laisse la place, en 2020, à sa suppléante, Catherine Daufès-Roux. Candidate en 2022, elle n’arrive pas à atteindre le second tour.

Marée montante du RN

La place est laissée, une nouvelle fois, au Rassemblement National. Jean-Marie Launay, frontiste gardois mais pas issu de la circonscription, arrive au second tour face au LFI Michel Sala. Le candidat de la Nupes est élu, mais le RN, à 47 %, enregistre ici le plus gros score de son histoire pour des législatives. Il confirme sa percée cévenole aux élections européennes du 9 juin.

Depuis son élection, Michel Sala veut mobiliser les forces de gauche. À Alès, il fait venir à plusieurs reprises des pontes de la Nupes (Clémentine Autain, Sandrine Rousseau…) lors de grandes manifestations, dont celles contre la réforme des retraites. Dans l’hémicycle, il tente d’intervenir sur des problématiques touchant ses électeurs. En affichant un soutien à La Grand-Combe, qui avait vu menacé son statut de quartier prioritaire de la Ville (QPV), ou en interpellant le gouvernement sur les polluants éternels qui toucherait le site industriel de Salindres, bien que la commune ne soit pas dans sa circonscription.

Après les incendies de Bordezac et Bessèges, en l’été 2022, il alerte Gérald Darmanin sur la tension des effectifs dans les services de prévention et de secours. Mais en circonscriptions, plusieurs élus regrettent cependant une absence du député à de nombreuses invitations, ou son inertie face aux problématiques locales : l’enclavement, la désertification médicale ou le chômage.

Une terre compliquée à conquérir ?

Le député repart en campagne en portant les valeurs du Nouveau Front Populaire. Mais il reste fragilisé par les positions clivantes de La France Insoumise depuis le début du conflit au Proche-Orient. Ses adversaires n’hésitent pas à en tirer profit, le RN et Renaissance en tête. Faute d’avoir, sans doute, un visage fort sur le territoire, mais aussi empêtré par les déboires judiciaires d’Emmanuel Espanol, leur premier candidat, le parti frontiste retente la stratégie du parachutage en soutenant le ciottiste Alexandre Allegret-Pilot, jeune énarque savoyard au CV bien chargé, actuellement haut fonctionnaire au ministère des Finances.

Les électeurs retrouveront aussi Catherine Daufès-Roux, toujours soutien d’Emmanuel Macron, et la LR Léa Boyer, qui réitère son "enracinement" en Cévennes. La surprise pourrait aussi venir de l’Alésien Nordine Tria, sans étiquette et dont la grande carrière d’avocat pourrait être un atout.

Le premier tour, le 30 juin, permettra ainsi de voir si les Cévennes votent, finalement, le RN par adhésion.

Michel Sala à l'Assemblée nationale

Ancien maire de Saint-Félix-de-Pallières, Michel Sala est à l’Assemblée nationale depuis 2022. En deux ans, le député LFI ne fait pas partie des parlementaires qui prennent le plus la parole. Membre de la commission des Finances, il est aussi auteur, avec nombre de ses pairs, de la proposition de loi visant de fixer dans la Constitution l’âge de départ à la retraite à 62 ans, ou à celle voulant imposer une nouvelle taxe sur les bénéfices des grandes entreprises. Il s’est inversement opposé à plusieurs projets de loi, dont celle visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires."
(…)


https://www.midilibre.fr/2024/06/24/legislatives-dans-le-gard-le-bastion-des-cevennes-va-t-il-finir-par-tomber-12027744.php

Anonyme a dit…

Oh ! Pas cette fois-ci mais peut-être dans 3 ans. Faut dire que Sala, à part passer son temps dans l'Hérault à Ganges et soutenir les producteurs de graines bio, on ne le voit pas entre Alès et Génolhac. Je sais que la circo est grande et diverse mais ses prédécesseurs le faisaient ! C'est bien joli de jouer au révolutionnaire bobo, mais comme représentant du peuple, il est nulas !

Anonyme a dit…

À la "nulas" de 20:37...

https://www.midilibre.fr/2024/06/24/les-syndicats-appellent-a-manifester-dans-le-gard-pour-faire-entendre-leurs-exigences-sociales-et-contre-lextreme-droite-12037709.php

Anonyme a dit…

L'ÉNARQUE QUI VIENT REMPLIR LES POUBELLES

"Cet ancien énarque savoyard de 35 ans, actuellement haut fonctionnaire au ministère des Finances, est candidat sur la 5e circonscription du Gard sous l’égide d’Éric Ciotti, avec le soutien du RN.

Vous êtes investi par Éric Ciotti et soutenu par le RN pour la 5e circonscription du Gard. Au vu de votre pedigree (ENA, Essec, Ministère des finances), pourquoi venir faire campagne sur cette circonscription ?

Éric Ciotti et Jordan Bardella m’ont demandé de venir aider à refaire passer la circo à droite. Il se trouve que c’est un territoire pour lequel j’ai beaucoup d’affection. J’ai été très heureux d’accepter leurs propositions.

Vous dites affectionner cette circonscription ?

J’ai eu l’occasion d’y vivre, j’y ai eu quelques amis. Ma suppléante la connaît très bien. Mais indépendamment de cela, je considère que c’est mon devoir d’aller défendre les habitants de la circonscription sur laquelle je présente, et surtout d’aller aider les personnes de droite et raisonnables face au risque de l’extrême-gauche.

Quels sont les besoins de cette circonscription ?

Elle a des besoins spécifiques à elle-même, notamment en termes d’enclaves, de desserte et aussi en termes d’alimentation en eau. Il y a aussi un taux de pauvreté particulièrement élevé. Elle porte aussi des problématiques qui englobent l’ensemble des Français : le pouvoir d’achat, la sécurité, la citoyenneté avec l’immigration et l’intégration.

N’en étant pas originaire, vous ne craignez pas que votre situation de “parachuté” plombe votre candidature ?

J’assume mon parachutage. Combien de générations mes ancêtres auraient dû vivre ici pour défendre les intérêts de ses habitants ? Je suis confiant dans mes capacités à défendre ses intérêts et ceux de tous les Français. Aujourd’hui, l’extrême-gauche incarnée par LFI ou par la Nupes (sic) ne défend plus les ouvriers. Moi, c’est ce que je fais au quotidien : en accompagnant au ministère des entreprises en difficulté, et en sauvant des emplois. C’est mon cœur de métier.

Donc une réélection de Michel Sala (député sortant, LFI/NFP) serait pour vous synonyme de déluge ?

Il y a plusieurs façons de voir les choses. Sur la dimension nationale, cela ne ferait que renforcer la position de l’extrême-gauche à l’Assemblée et on sait ce qu’il en découlerait : LFI, c’est la porte ouverte à l’antisémitisme et à l’homophobie. C’est la porte ouverte à des politiques budgétaires délétères.

À l’homophobie ? Les militants LFI sont homophobes ?

Je ne vais pas faire une généralité. Mais je peux vous envoyer un nombre de positions ouvertement homophobes. Parce que LFI drague un électorat fondamentaliste musulman. Ils comptent à la fois des personnes progressistes dans leurs rangs et fondamentalistes dans leurs rangs. À un moment, ça va être la guerre civile. C’est le seul parti qui investit des fichés S ! Vous vous rendez compte de la gravité ? Vous avez ici plusieurs fléaux potentiels : l’antisémitisme, l’homophobie, la catastrophe budgétaire et il y a, à la fin, la volonté systématique d’une destruction culturelle française.

Vous faites allusion à la théorie du grand remplacement ?

Je fais allusion à tout ce qui est français est vu de manière négative. Pour l’extrême-gauche, le Français est, par définition, mauvais. C’est une logique de la haine de soi. Moi, je suis désolé, je ne veux ni Pol Pot, ni Staline, ni Mao Zedong à la tête de la France."


https://www.midilibre.fr/2024/06/25/jassume-mon-parachutage-alexandre-allegret-pilot-candidat-deric-ciotti-soutenu-par-le-rn-sur-la-5e-circonscription-du-gard-12039117.php



Anonyme a dit…

Hier sur France 3 …

"Débat avant le premier tour des élections législatives 2024 dans la 5ème circonscription du Gard. Les personnalités invitées : Alexandre Allegret-Pilot (LR-RN); Léa Boyer, (LR); Catherine Daufès-Roux (Renaissance-Ensemble); Michel Sala (LFI/NFP); Nordine Tria, Divers (SE).Débat préparé et présenté par Alexandre Rozga et Tony Selliez. En partenariat avec France Bleu."



https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/programmes/france-3_occitanie_debats-legislatives-2024-languedoc-roussillon

Anonyme a dit…

Faire front contre l’extrême droite

"Depuis plus de 40 ans, le Festival Cinéma d’Alès – Itinérances partage sa passion pour le cinéma dans toute sa diversité.

Nous sommes convaincu·es que ce travail est essentiel pour la richesse de notre territoire, notre démocratie, pour la défense de nos valeurs républicaines, pour comprendre notre monde et faire front ensemble face aux idées ténébreuses. Les prochaines élections législatives du 30 juin et du 7 juillet seront déterminantes pour notre pays et pour la poursuite de notre travail auprès de vous et de notre jeunesse.

L’extrême droite au pouvoir pourrait entraîner un coup d’arrêt brutal au monde de la culture, à la création artistique et aux festivals. C’est la liberté d’inventer et d’imaginer, d’échanger avec le monde qui est mise en danger. Disparition de subventions ou soutiens déterminés par une mise au pas des acteur·ices de la culture, suppression du statut des intermittent·es…

Les exemples de libertés perdues sont nombreux en Italie ou en Hongrie, pays qui ont déjà fait ce choix de l’extrême droite et les reculs ne touchent pas uniquement le secteur culturel mais affectent également les acquis sociaux et démocratiques, les droits à la santé, les libertés individuelles.

Chaque année, nous accueillons plus de 40 000 spectateur·ices ainsi que plusieurs milliers de scolaires participant aux dispositifs que nous coordonnons à l’année et nous sommes plus que jamais conscient·es de l’impact direct que ces élections auraient sur les vies de nos publics.

C’est pour tout cela que le Festival Cinéma d’Alès – Itinérances appelle au vote, chaque bulletin compte pour faire front contre le Rassemblement National et contre les idées d’extrême droite, pour que jamais la lumière de nos salles de cinéma ne puisse s’éteindre."



https://itinerances.org/faire-front-contre-lextreme-droite/