mardi 30 janvier 2024

Un peu de philo… De comptoir !

Un peu de philo… De comptoir !


Nos dirigeants ont tous beaucoup d’ ambition

Une ambition dévorante, ils courent vers plus de pouvoirs

Afin d’ obtenir une amélioration permanente de leur mode de vie

(Il faut oublier l’ abnégation)


POURQUOI ne pensent ils pas que le reste de la population

A les mêmes ambitions ?

Et souhaite ardemment une amélioration de leur mode de vie


Alors POURQUOI nous imposer des lois et des règles qui nous font régresser ?


On pense tous que l’ avenir devrait aller vers le mieux 



9 commentaires:

Anonyme a dit…

UN REVERS MAIS UNE TENDANCE LOIN D'ÊTRE INVERSÉE !...

"Un revers pour Airbnb, qui avait bataillé dur, en coulisses, contre le texte : ce lundi, l’Assemblée nationale a adopté en première lecture, par 100 voix contre 25, une proposition de loi transpartisane (Renaissance et PS) «visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue». Le texte, qui espère mettre un coup d’arrêt à la prolifération des locations de type Airbnb, au détriment des baux classiques de plus longue durée, prévoit notamment d’abaisser la niche fiscale sur ce type de logements, de leur imposer des diagnostics de performance énergétique, mais aussi de donner de nouveaux outils de régulation aux maires, comme la possibilité d’abaisser de 120 jours à 90 jours par an la durée maximale de location d’une résidence principale.

Vue d’un mauvais œil par Bercy, divisant la majorité présidentielle, la proposition de loi, soutenue par de nombreux élus de communes touristiques, aura connu bien des péripéties : mis à l’agenda législatif au printemps, puis repoussé à la rentrée, son examen avait été interrompu en décembre à cause de la stratégie d’obstruction de la droite et du Rassemblement national. Sans surprise, s’érigeant en défenseurs de petits propriétaires déjà victimes, selon eux, d’un véritable matraquage fiscal, les députés à droite de l’hémicycle ont voté contre. Mais l’article 3 qui prévoit d’abaisser à 30% le taux d’abattement sur les revenus des meublés de tourisme – contre 71% pour la location meublée classée et 50% pour la location meublée non classée aujourd’hui –, a été adopté haut la main – grâce aux voix de l’ensemble des députés de gauche, des indépendants de Liot, et de l’essentiel des députés de la majorité. Reste à savoir ce qu’il en restera après avoir été passé à la moulinette du Sénat, où la droite est majoritaire."


https://www.liberation.fr/societe/logement/la-loi-anti-airbnb-enfin-adoptee-a-lassemblee-nationale-20240129_KCCOCJEGSRAZ7JZ74OO5AL4T2U/

Anonyme a dit…

Glucksman : du hors-sol à la prime avec solde...

Glucksmann, candidat des « nostalgiques de la trahison » pour LFI

"Quid des Insoumis, qui défendaient corps et âme une liste unique à gauche ? Alors que François Hollande puis Daniel Cohn Bendit ont dit soutenir la candidature de Glucksmann, sa rivale Manon Aubry ironise sur « le rassemblement de nostalgiques de la trahison de 2012. » Et, en pleine crise agricole, ne perd pas une occasion de souligner les prises de position de son groupe (The Left) sur les accords de libre-échange, à rebours de celles d’autres groupes du Parlement, dont celui de Raphaël Glucksmann.

Plus largement, les insoumis ont été nombreux à relayer les mots de François Ruffin qui, le 19 janvier, faisait part de son « franc désaccord » à Raphaël Glucksmann, jugeant ses propos «hors sol».

Quant au PCF, qui a annoncé sa tête de liste avant même que la liste commune ne soit enterrée, la question d’une alliance ne se pose même pas. Léon Deffontaines revendique de représenter « une gauche capable de parler de souveraineté industrielle, de souveraineté énergétique et de faire baisser les factures ». Sous entendu : pas sur la même ligne que la gauche de Raphaël Glucksmann.

Néanmoins, « je trouve ça très bien qu’à gauche il y ait un candidat qui aille jouer sur les plates-bandes de la Macronie », estimait-il le 10 janvier devant la presse. « Glucksmann s’inscrit dans cette étiquette qui consiste à aller chercher la gauche de la Macronie. Très bien. Nous nous adressons à la gauche aujourd’hui orpheline (...) et aussi aux électeurs d’extrême droite », ajoute-t-il.

Dans une interview à Ouest-France ce 29 janvier, Raphaël Glucksmann a aussi exclu toute alliance avec « des partis avec lesquels nous ne sommes pas d’accord, sur le fond, concernant l’Europe », citant nommément La France insoumise et le PCF. D’accord pour ne pas être d’accord."


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/pourquoi-les-rivaux-de-glucksmann-ne-veulent-pas-se-ranger-derriere-lui-pour-les-europeennes_229024.html

Anonyme a dit…

Quand on parle de philosophie de comptoir...

https://www.sports.fr/medias/qui-est-la-nouvelle-compagne-de-pascal-praud-801458.html

Anonyme a dit…

PERRIER, C'EST FOU(TU) !?

Activité suspendue dans les Vosges

"L’arrêt du recours à ces dispositifs de traitement et de filtration a obligé Nestlé Waters à suspendre l’activité de certains de ses puits dans les Vosges, engendrant un important plan social. Le groupe explique que ces puits ont été fermés en raison de « leur sensibilité aux aléas climatiques ». Cet arrêt d’activité a conduit à une réduction des volumes de production d’Hépar et de Contrex.

Le Perrier a aussi été touché, puisque deux des huit puits dans le Gard ne peuvent plus tirer d’eau considérée comme minérale, notent Les Échos. Nestlé utilise cette eau dans une nouvelle gamme d’eaux aromatisées baptisée « Maison Perrier ».

Sur d’autres puits, les filtres à charbon ont été retirés, laissant place à des microfiltres réglementaires. Les marques concernées par la désinfection non réglementaire avant 2021 sont désormais « pleinement conformes au cadre réglementaire applicable en France », promet l’entreprise."


https://www.huffingtonpost.fr/life/article/perrier-vittel-hepar-ce-que-l-on-sait-des-traitements-interdits-utilises-sur-ces-eaux-minerales-de-nestle_229021.html

Anonyme a dit…

Un rendez-vous secret à Bercy

"Car dans le cadre de son enquête de 2020, la répression des fraudes fait une autre découverte. Le groupe Alma serait loin d’être le seul à avoir recours à des traitements interdits. L’exploitation des listings clients du groupe révèle qu’une part importante des industriels du secteur achètent des filtres non autorisés. Et en analysant les fichiers des fournisseurs de filtres, les enquêteurs découvrent, parmi les noms des clients, celui d’un géant de l’agro-industrie : Nestlé Waters, la division mondiale pour l’eau embouteillée du groupe Nestlé, qui dispose de deux sites de conditionnement d’eau minérale naturelle en France : dans les Vosges (Vittel, Contrex, Hépar), et dans le Gard, à Vergèze (Perrier).

La multinationale suisse Nestlé, qui détient à elle seule plus d’un tiers du marché des eaux en bouteille en France, sollicite alors un rendez-vous auprès du cabinet de la ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. Une rencontre est organisée à Bercy, en toute confidentialité, fin août 2021. Dans une sorte d’étrange et totalement informelle procédure de plaider-coupable, Nestlé reconnaît avoir recours à des traitements non conformes. Et les représentants de la multinationale expliquent au ministère de l’Economie que sans ces traitements, il ne leur serait plus possible de poursuivre l’exploitation de leurs usines d’eaux minérales. Car les sources d’eau exploitées par le groupe Nestlé sont régulièrement contaminées.

Selon l’article 40 du code de procédure pénale, tout officier public "ayant acquis la connaissance d’un crime ou d’un délit" doit immédiatement saisir le procureur de la République. Pourtant, à ce stade de l’affaire, le gouvernement décide de ne pas informer la justice ni les autorités européennes. Selon l’article 11 de la directive 2009/54/CE sur les eaux minérales naturelles, si un État membre a des raisons d’estimer qu’une eau ne respecte pas la réglementation, il doit pourtant en informer immédiatement la Commission et les autres Etats membres. Mais là encore, aucune information n’est transmise par la France, comme nous l’a confirmé la commission.

En attendant, lors du rendez-vous organisé à Bercy, Nestlé ne fait pas qu’informer le gouvernement. Il sollicite la possibilité de pouvoir continuer à avoir recours à ces traitements interdits. La multinationale lui demande même d’étudier la possibilité d’une évolution de la réglementation en sa faveur, en lui accordant la possibilité de purifier ses eaux grâce à des filtres ayant une capacité de filtration inférieure à 0,8 micron, c’est-à-dire une plus grande capacité de filtration. Cette stratégie va s’avérer payante, puisque le gouvernement va accepter de jouer le jeu de la négociation."
(…)


https://www.francetvinfo.fr/enquetes-franceinfo/enquete-franceinfo-plusieurs-producteurs-d-eau-en-bouteille-ont-filtre-illegalement-leur-eau-pour-masquer-une-contamination_6333046.html

Anonyme a dit…

Gaspard Proust : "Ce silence depuis une semaine à l'Élysée, c'est la prairie de Bambi"
Europe 1


https://youtu.be/U6rC3oJx0nc?si=jb0CeLU_BHiiKMZH


Le Mahatma Macron en tournée vous souhaite une joyeuse pagaille dans le pays des feux de paille et de paillettes...
Restez zen et adoptez la position lotus !

Anonyme a dit…

JEUNISME ET ADOLESCENTRISME AU SÉNAT 😆

"Alors qu’il lisait, devant les Sénateurs, le discours de politique générale prononcé au même moment par Gabriel Attal à l’Assemblée, Bruno Le Maire a été contraint de se rajeunir de 20 ans : «Je suis né en 1989», a donc lancé le ministre de l’Économie aux sénateurs en commençant son discours, provoquant l’hilarité au sein de l’hémicycle de la chambre haute. «Moi non, mais allez-y», lui a alors rétorqué un Gérard Larcher goguenard, avant que le ministre de l’Économie ne réplique, «Si seulement...».

Volonté de se rajeunir ? «La règle» veut que la «déclaration de politique générale du premier ministre devant l'Assemblée nationale» soit lue dans le même temps «à la tribune du Sénat par un autre membre» de l'exécutif, selon le site du gouvernement.

Lors de sa prise de parole, qui n'a pas manqué de faire réagir dans les oppositions, Gabriel Attal a défini «sa feuille de route et les priorités du gouvernement», mais n'a pas engagé la responsabilité du gouvernement."


https://www.lefigaro.fr/politique/je-suis-ne-en-1989-bruno-le-maire-provoque-l-hilarite-au-senat-en-lisant-le-discours-de-gabriel-attal-20240130

Anonyme a dit…

Rajoutez-y de la philo de gouvernance...

"En Premier ministre pressé de dégager des économies budgétaires sur le système social tricolore, Gabriel Attal s’attaque à la principale allocation du régime de solidarité financé par l’État : l’Allocation spéciale de solidarité (ASS), allouée à plus de 261 000 chômeurs en fin de droits en août 2023, selon les chiffres de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Le nouveau locataire de Matignon a asséné en effet que la retraite devait toujours être « le fruit du travail », ce qui est loin d’être le cas puisqu’une part notable des pensions est socialisée. Puis il a martelé : « Nous proposerons la bascule de l’Allocation de solidarité spécifique au RSA et la suppression de cette allocation. » Cela sans étude d’impact publique préalable, et sans même attendre que la négociation sur l’emploi des seniors engagées entre les syndicats et les patronats porte ses fruits."
(…)


https://www.marianne.net/economie/protection-sociale/avec-supprimant-l-ass-au-profit-du-rsa-gabriel-attal-penalise-encore-les-seniors

Anonyme a dit…

ATTAL ET LA DEUXIÈME PAIRE OFFERTE

"On a l'impression que Sarko a tenu le stylo plume", sourit un député Les Républicains, après la déclaration de politique générale de Gabriel Attal. Lors de son discours à l'Assemblée nationale, mardi 30 janvier, le chef du gouvernement a décliné ses priorités en reprenant plusieurs thématiques chères à la droite. Comme l'avait fait Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse, le 16 janvier.

"Réarmement civique", fermeté sur les domaines régaliens, dénonciation de "l'écologie punitive" ou défense de la "valeur travail" : le nouveau locataire de Matignon a multiplié les appels du pied sur sa droite. "On aurait pu croire en l'écoutant qu'il s'agissait d'un Premier ministre de feu l'UMP [l'ancien nom de LR], confirme une députée de droite. Autorité, limitation de l'assistanat, défense des classes moyennes, baisse d'impôts... Sa feuille de route reprend plusieurs thématiques propres à la droite."
(…)


https://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-de-gabriel-attal/le-premier-ministre-ratisse-a-droite-chez-lr-de-nombreux-deputes-ont-ete-seduits-par-le-discours-de-politique-generale-de-gabriel-attal_6335500.html