mardi 2 janvier 2024

Un journaliste d'extrême droite se fait laminer

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Voter Le Pen et Bardella, c'est voter 

Un journaliste d'extrême droite se fait laminer sur les violences faites aux femmes.
À gauche

https://youtu.be/Buj9-Ds48Lk?si=NOOgXE0EzOnVB_P_

Quand Amaury Brelet, rédacteur en chef de Valeurs Actuelles, se prend une branlée en direct sur BFM TV...

montage et sous-titrage @caissesdegreve6573

3 commentaires:

Anonyme a dit…

COMMENT SE RÉARMER FACE AU DANGER DE L’EXTRÊME DROITE ?
BLAST, Le souffle de l'info


https://youtu.be/wi8DQ9bPAws?si=xU3xf68xBAvUiaMP


Marine Le Pen, présidente en 2027. Cette hypothèse apparaît de plus en plus plausible aujourd’hui tandis que le barrage républicain s’effondre au fil des années. Comme si l’accession au pouvoir de l’extrême droite était devenue inéluctable alors que le Rassemblement national se normalise de plus en plus.. Selon le baromètre annuel sur l’image du Rassemblement national diffusé par « Le Monde » et Franceinfo, pour la première fois, les Français sont plus nombreux à considérer que le RN ne représente pas un danger pour la démocratie (45 %) que l’inverse (41 %). La proportion de la population qui se dit en désaccord avec les idées du RN est de seulement 54 %, le chiffre le plus bas depuis le début du baromètre, en 1984 ! L'extrême droite récolte donc aujourd’hui les fruits d'une décennie d'une stratégie de banalisation de son discours rendue possible par des médias et des politiques qui n’ont cessé de reprendre ses mots mais aussi ses thèmes comme l'immigration ou l'insécurité. Pourtant malgré un changement dans les apparences, le RN reste un parti xénophobe et autoritaire… L’extrême droite cible de faux boucs émissaires et propose de fausses solutions. Des réponses simples à des problèmes complexes. Pourtant rares sont ceux qui prennent la peine aujourd’hui de souligner la dangerosité du programme du Rassemblement national et de pointer ses incohérences. C’est face à ce constat, que Vincent Edin, spécialiste de la rhétorique politique, a écrit un livre pour donner à chacune et chacun les arguments nécessaires pour répondre aux fausses idées propagées par l’extrême droite. Il en est persuadé, il est nécessaire aujourd’hui de se réarmer politiquement et intellectuellement pour faire face à la montée de l’extrême droite.
Alors, comment en sommes-nous arrivés là ? En quoi l'exécutif macroniste joue au pompier pyromane ? Et comment répondre aux faux arguments avancés par l’extrême droite ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Vincent Edin.

Pour aller plus loin :
Le livre de Vincent Edin https://editionsatelier.com/boutique/...
Le documentaire La cravate https://boutique.arte.tv/detail/la_cr...
Le sujet Blast sur Crépol : récit d’une bataille médiatique

• 🦏 CRÉPOL : RÉCIT D’UNE...
Décryptage Blast sur le programme de Marine Le Pen

• DERRIÈRE LA DÉDIABOLIS...

Journaliste : Paloma Moritz
Montage : Camille Chalot
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Morgane Sabouret
Production : Hugo Bot Delpérié
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert

Anonyme a dit…

"L'extrême droite est antinomique de la solidarité", fustige mardi 2 janvier sur franceinfo Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité. Il réagit, notamment aux vœux de Marine Le Pen, présidente du groupe du Rassemblement national à l'Assemblée nationale, où elle promet de se battre pour "l'amélioration de [la] vie quotidienne" des Français."
(…)

"Si le président de la Fédération des acteurs de la solidarité reconnaît que "les difficultés sont très présentes" en France, par exemple "sur la question de la transformation écologique [...], du rapport au travail", pour autant, il regrette que le mouvement de Marine Le Pen représente "un système politique hors-sol, qui oppose des dogmes, qui alimente, qui instrumentalise". Face à la montée du Rassemblement national dans les sondages, notamment pour les prochaines élections européennes, il s'inquiète : "Il va falloir que les gens se réveillent dans ce pays"."


https://www.francetvinfo.fr/politique/front-national/l-extreme-droite-est-antinomique-de-la-solidarite-fustige-pascal-brice-president-de-la-federation-des-acteurs-de-la-solidarite_6278472.html

Anonyme a dit…

Dominique Venner fait chasse à Notre Dame de Paris

"Le 21 mai 2013, Dominique Venner, l’un des intellectuels les plus influents de l’extrême droite française, se suicidait au pied de l’autel de Notre-Dame de Paris « afin de réveiller les consciences assoupies » face au « crime visant au remplacement de nos populations [européennes] » par une ­immigration dont il dénonçait le « grouillement hostile » depuis les années 1960. Sur Twitter, Marine Le Pen écrivait : « Tout notre respect à Dominique Venner dont le dernier geste, éminemment politique, aura été de tenter de réveiller le peuple de France. » Editorialiste politique à Franceinfo, coanimateur de l’émission « 28 minutes » sur Arte, Renaud Dély consacre, sous le titre L’Assiégé, une enquête fouillée, rigoureusement documentée, à cette figure à la fois discrète et centrale, que le Rassemblement national, malgré sa stratégie de « dédiabolisation », n’a jamais reniée."
(…)


https://www.lemonde.fr/livres/article/2024/01/04/les-responsables-du-rassemblement-national-ont-retenu-la-lecon-de-dominique-venner_6209009_3260.html

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Dominique Venner et son parcours...

Les années de militantisme [extrait]

"[...] À son retour en Métropole, c'est en constatant le soutien du Parti communiste français au FLN qu'il s'engage en politique. Il entre au mouvement Jeune Nation[N 1] et prend part, à la suite de l'insurrection de Budapest, à la mise à sac du siège du PCF le 7 novembre 1956[4],[5]. En 1958, il participe avec Pierre Sidos à la fondation de l'éphémère Parti nationaliste, et adhère également au Mouvement populaire du 13-Mai du général Chassin. Pour son soutien au putsch des généraux[6], il passe par la suite dix-huit mois au quartier des détenus politiques de la prison de la Santé, d’où il ne sort que très peu en promenade du fait de sa participation à la structuration de l'OAS-Métropole.

À sa sortie de prison à l'automne 1962, il écrit un manifeste intitulé Pour une critique positive — parfois comparé au Que faire ? de Lénine[7] et « longtemps considéré comme un texte fondateur par toute une fraction de l'ultra-droite[8] »[N 2] —, dans lequel, prenant acte de l'échec du putsch d'avril 1961 et du fossé existant entre « nationaux » et « nationalistes »[N 3], il préconise la création d'une organisation « destinée au combat », « une, monolithique et hiérarchisée », « formée par le groupement de tous les militants acquis au nationalisme, dévoués et disciplinés ». Dominique Venner entend alors incarner la formule de Charles Maurras : « Nous devons être intellectuels et violents. » Très influencé par Karl Marx et Lénine, il analyse le communisme non seulement comme un programme politique, mais aussi comme un mode d'organisation et une approche stratégique et tactique efficaces que les militants nationalistes doivent adopter, en se structurant intellectuellement et en menant le combat sur les plans idéologique et culturel, reprenant ici les analyses d’Antonio Gramsci. Il s’inspire également des luttes anticolonialistes et développe rapidement l'idée que les mouvements nationalistes européens doivent adopter la rhétorique des mouvements d'indépendance nationale. Critique envers le christianisme, Dominique Venner prône une réhabilitation des traditions et des identités, une défense des cultures face au melting-pot, et une valorisation élitiste de la force et de l'héroïsme."

Source Wikipedia.