dimanche 14 janvier 2024

Mais son audition, comme celles de plusieurs autres collègues de l’IGPN qui ont défilé à la barre, mardi 10 et jeudi 11 janvier, est finalement largement favorable à la défense.

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "David Guiraud : "Le macronisme transforme l'or en plomb"" :

VALENTI A LA LÉGITIMITÉ SANGL(OT)ANTE !

"La voix est tremblotante, fuyante.
«Si la conséquence est aussi dramatique qu'improbable, le geste est tout à fait légitime», dit la commandante Fabienne Valenti à propos du coup de matraque qui a perforé les chairs de Théo
Luhaka, le laissant handicapé à vie. Cette officière de police, qui a travaillé plusieurs années à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), est appelée à témoigner pour détailler les charges qui composent l'enquête qui a mené Tony H., Jérémie D., et Marc-Antoine C., trois agents du commissariat d'Aulnay-sous-Bois, devant la cour d'assises de Seine-Saint-Denis. Mais son audition, comme celles de plusieurs autres collègues de l'IGPN qui ont défilé à la barre, mardi 10 et jeudi 11 janvier, est finalement largement favorable à la défense. C'est pourtant sur la base de leur enquête qu'une juge d'instruction a décidée du renvoi devant la justice des trois accusés."

https://www.liberation.fr/societe/police-justice/au-proces-de-laffaire-theo-luhaka-le-malaise-des-enqueteurs-de-ligpn-appeles-a-temoigner-20240112_QE42HOHZF5HPXIUFFPUOUNRGJY/

3 commentaires:

Anonyme a dit…

"La résistance continue !..."

"Le tribunal correctionnel de Niort a prononcé ce mercredi des peines de prison avec sursis à l'encontre de trois des neuf acteurs des manifestations interdites contre les "bassines", seize réserves d'eau contestées pour l'irrigation agricole, à Sainte-Soline (Deux-Sèvres). La manifestation du 25 mars 2023 avait donné lieu à de violents affrontements avec les forces de l'ordre, faisant de nombreux blessés.

Dans le détail, voici les peines prononcées :

* Julien Le Guet, porte-parole du collectif "Bassines non merci" : un an de prison avec sursis, interdiction de paraitre à Sainte-Soline et Mauzé-sur-le-Mignon pendant trois ans, amendes et dommages et intérêts pour les parties civiles de plus de 20.000 euros

* Joan Monga alias Basile Dutertre, des Soulèvements de la terre : neuf mois de prison avec sursis et interdiction de paraître dans les Deux-Sèvres pendant trois ans

* Nicolas Garrigues, alias Benoît Feuillu, des Soulèvements de la terre : six mois de prison avec sursis et interdiction de paraître dans les Deux-Sevres pendant trois ans

* Benoit Jaunet et Nicolas Girod de la Confédération paysanne : 1.000 euros d’amende et interdiction de paraître en Deux-Sèvres pendant 3 ans pour Nicolas Girod

* David Bodin de la CGT 79 et Hervé Auguin de Solidaires 79 : 500 euros d’amende

* Sébastien Wyon, militant : 60 jours d’amendes à 10 euros pour vol aggravé, ainsi que 300 euros d’amende interdiction de paraître dans les Deux-Sèvres pendant trois ans

* Nicolas Beauvillain, militant : 60 jours d’amendes à 10 euros pour vol aggravé et 300 euros d’amende"
(…)


https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/proces-des-militants-anti-bassines-de-sainte-soline-trois-personnes-condamnees-a-de-la-prison-avec-sursis-6694419

Anonyme a dit…

"La résistance continue !..."

"Le tribunal correctionnel de Niort a prononcé ce mercredi des peines de prison avec sursis à l'encontre de trois des neuf acteurs des manifestations interdites contre les "bassines", seize réserves d'eau contestées pour l'irrigation agricole, à Sainte-Soline (Deux-Sèvres). La manifestation du 25 mars 2023 avait donné lieu à de violents affrontements avec les forces de l'ordre, faisant de nombreux blessés.

Dans le détail, voici les peines prononcées :

* Julien Le Guet, porte-parole du collectif "Bassines non merci" : un an de prison avec sursis, interdiction de paraitre à Sainte-Soline et Mauzé-sur-le-Mignon pendant trois ans, amendes et dommages et intérêts pour les parties civiles de plus de 20.000 euros

* Joan Monga alias Basile Dutertre, des Soulèvements de la terre : neuf mois de prison avec sursis et interdiction de paraître dans les Deux-Sèvres pendant trois ans

* Nicolas Garrigues, alias Benoît Feuillu, des Soulèvements de la terre : six mois de prison avec sursis et interdiction de paraître dans les Deux-Sevres pendant trois ans

* Benoit Jaunet et Nicolas Girod de la Confédération paysanne : 1.000 euros d’amende et interdiction de paraître en Deux-Sèvres pendant 3 ans pour Nicolas Girod

* David Bodin de la CGT 79 et Hervé Auguin de Solidaires 79 : 500 euros d’amende

* Sébastien Wyon, militant : 60 jours d’amendes à 10 euros pour vol aggravé, ainsi que 300 euros d’amende interdiction de paraître dans les Deux-Sèvres pendant trois ans

* Nicolas Beauvillain, militant : 60 jours d’amendes à 10 euros pour vol aggravé et 300 euros d’amende"
(…)


https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/proces-des-militants-anti-bassines-de-sainte-soline-trois-personnes-condamnees-a-de-la-prison-avec-sursis-6694419

Anonyme a dit…

« Le message envoyé à la police c’est “vous pouvez mutiler, tuer, vous aurez du sursis” »

"L’avocat du gardien de la paix de M. Castelain a, lui, déclaré à la sortie de la salle d’audience : « C’est l’immense soulagement. Pour la première fois aux yeux de la France entière, il est établi le fait, comme il le dit depuis le premier jour, qu’il n’est pas un criminel. »

« Du ferme pour la police ! » ont scandé des militants luttant contre les violences policières, dénonçant « des mascarades ». Ils tenaient en main des affiches représentant les visages de personnes mortes à la suite d’interventions policières. « Le message envoyé à la police c’est “vous pouvez mutiler, tuer, vous aurez du sursis” », a tancé Amal Bentounsi, fondatrice du collectif « Urgence la police assassine ».

Les trois policiers étaient accusés d’avoir commis plusieurs gestes brutaux sur la victime, 22 ans à l’époque, lors d’un contrôle d’identité ayant mal tourné, le 2 février 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La scène avait été captée par les caméras de vidéosurveillance de la ville. Il en garde des séquelles à vie.

« Je maintiens mes déclarations, je n’ai rien à rajouter », avait déclaré plus tôt le principal accusé, Marc-Antoine Castelain, 34 ans. Ce dernier était poursuivi pour des violences volontaires ayant entraîné « une mutilation ou infirmité permanente » sur la victime, avec les circonstances aggravantes de sa qualité de personne dépositaire de l’autorité publique, avec arme et en réunion. Il risquait jusqu’à quinze ans de prison."
(…)


https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/19/affaire-theo-les-trois-policiers-condamnes-a-des-peines-de-trois-a-douze-mois-de-prison-avec-sursis_6211856_3224.html