mardi 16 janvier 2024

FwDes vœux combatifs et déjà RV pour MARCHER POUR LA LIBERTÉ, L'ÉGALITÉ ET LA FRATERNITÉ, le 21 janvier


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Un « tournant dangereux de notre République »

"Avec quelque 200 autres personnalités, les deux artistes avaient effectivement signé une tribune publiée début janvier par l’Humanité et Mediapart dénonçant un « tournant dangereux de notre République » après le vote du texte immigration.

Parmi les signataires de ce texte figurent aussi l’actrice Julie Gayet, les écrivains Nicolas Mathieu et Alice Zeniter, l’humoriste Guillaume Meurice, les syndicalistes Marylise Léon (CFDT) et Sophie Binet (CGT). Ils fustigent un texte de loi « rédigé sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de ’préférence nationale’ ».

« Soucieux de rassemblement et de solidarité plutôt que de division sans fin de notre société, nous demandons au président de la République de ne pas promulguer cette loi », conclut le texte.

Adopté au forceps par le Parlement, le projet de loi immigration restreint notamment le versement des prestations sociales pour les étrangers, instaure des quotas migratoires, remet en question l’automaticité du droit du sol et rétablit un « délit de séjour irrégulier »."


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/immigration-josiane-balasko-et-bruno-solo-appellent-dans-c-a-vous-a-manifester-contre-une-loi-presque-illegitime_228483.html

Anonyme a dit…

La préfecture prend les devants.
Le maire acquiesce pour la fournée.
Peut-être est-ce l'inverse ?
À vous de juger !

"Des bus ont été affrétés ce lundi matin vers 7h au squat de Valdegour, à Nîmes, selon les informations de France Bleu Gard Lozère. Une centaine de migrants y vivent depuis des mois. Une opération sans forces de l'ordre, apparemment. Le Conseil Départemental du Gard a pris en charge 27 personnes qui "se prétendent mineures" : elles sont relogées dans l'urgence dans les hôtels César et Abalone, ainsi qu'au foyer Maurice Albaric à Nîmes.

Les 70 autres ont été emmenées en bus par les services de la Préfecture dans un autre hôtel.
Les migrants occupaient un ancien hammam désaffecté. Le propriétaire n'avait pas demandé l'évacuation des lieux."


https://www.francebleu.fr/infos/societe/la-centaine-de-migrants-du-squat-de-nimes-valdegour-mis-a-l-abri-et-reloges-4863339