jeudi 7 juillet 2022

il dénonce la communication d'influence de cette agence "fantôme" de lobbying.

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Elisabeth Borne n'apprécie pas Gérald Darmanin, mais Emmanuel Macron a plus que maintenu ce dernier à son poste | Atlantico.fr" :

LOBBYING, MANIPULATIONS DE L'INFO : RÉVÉLATIONS D'UN JOURNALISTE INDÉPENDANT
Blast, le souffle de l'info

https://youtu.be/fp7jDASP_bE

Pendant six ans, Julien Fomenta Rosat*, journaliste pigiste indépendant, a travaillé pour Avisa Partners. Aujourd'hui, dans une tribune publiée dans Fakir, il dénonce la communication d'influence de cette agence "fantôme" de lobbying.

Éloges des pesticides, dénigrement de la concurrence... Julien a reçu près de 600 commandes
d'articles, destinés à des clients mystères, qu'il retrouvait ensuite sur les sites de médias reconnus, publiés sous de fausses identités. Mais lorsqu'on lui demande d'écrire contre François Ruffin ainsi que son journal Fakir, c'est l'article de trop.

Pour Blast, Julien a accepté de témoigner et de nous raconter les méthodes de lobbying d'Avisa Partners. Cyril Pocréaux, le co-rédacteur en chef de Fakir, nous expose quant à lui les problèmes posés par la précarisation des médias face à ces grands groupes puissants.

*Pour des raisons personnelles et de sécurité, le nom et prénom ont été modifiés.

Journaliste : Emma Barrier
Montage : Léna Sainte-Marie
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Ca ressemble beaucoup à des élucubrations de complotistes, non ? Si ces soit-disant lobby font l'éloge des pesticides ? Ils sont vraiment pas efficaces ? Julien aurait des commandes d'articles qu'il dénonce mais qu'il publie quand-même puisqu'il dit les retrouver sur les sites de médias connus ? C'est ce post “anonyme” qui parait des plus foireux !

Anonyme a dit…

Si l'on met Olivia Grégoire dans le rayon "complotiste" où va t'on 17:12 ?


"La ministre déléguée aux PME affirme n’avoir été «en aucun cas responsable des contenus qui étaient rédigés» par l’entreprise d’intelligence économique. Une version contestée par d’anciens rédacteurs du cabinet, dont «CheckNews» a recueilli le témoignage."
(...)


https://www.liberation.fr/checknews/olivia-gregoire-aurait-supervise-la-production-darticles-sous-faux-profils-lorsquelle-etait-cadre-distrat-selon-danciens-salaries-20220708_CXEMZPWQHZGEFJTPJ6X2TGJXG4/

Anonyme a dit…

Encore de l'anonymat 17:21 pour dénoncer un système mafieux, ruineux et "foireux".
Mais pas pour tous, rassures toi !


Valeurs actuelles a enquêté sur le fonctionnement des Safer, institution créée en 1960 pour protéger l'agriculture française mais devenue au fil des ans le cauchemar des paysans. Ils pointent du doigt un système mafieux. Et ruineux.

"Menaces de préemption, promesses de vente antidatées, transactions bloquées, éviction... Les Safer toutes puissantes font pression sur les agriculteurs souvent démunis. Le pot de fer contre le pot de terre.

Dans le vaste paysage agricole français, c’est le premier maillon de la chaîne. Celui qui donne le feu vert à un agriculteur pour acheter un champ à cultiver, une parcelle pour élever ses poules ou ses canards, ou même un bâtiment agricole. Créées dans les années 1960, les Safer (sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural) avaient pour mission de réorganiser l’agriculture, de favoriser l’installation de nouveaux paysans et de maîtriser les prix des terres. Une mission « trop large, et largement dévoyée depuis », selon l’avocat Me Bernard Mandeville, qui place aujourd’hui les Safer au cœur d’un scandale de prise illégale d’intérêts et d’abus de pouvoir."
(...)


https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/economie/terres-agricoles-la-safer-au-coeur-du-scandale

Anonyme a dit…

Cochon qui s'en dédit !

"L’élevage en plein air semble donc déranger un système agro-industriel qui aimerait fermer l’exploitation de M. Raoul. Dernier épisode en date : un énième échange avec les gendarmes pour lui dire qu’ils espéraient ne pas revenir chez lui pour constater son suicide. Sans oublier un article de Ouest France du 25 mai qui publie son nom et liste ses condamnations. L’éleveur y apprend également que son pourvoi en cassation n’avait rien donné. À la suite de cela, il a rédigé un droit de réponse au quotidien pour se défendre, en vain. « Dans ce dossier, je perçois clairement un acharnement contre Antoine Raoul car il est constamment traîné au pénal alors que ses problèmes de voisinage sont à la base d’ordre administratif, notamment celle de la parcelle de maïs qui aurait dû se régler simplement par voie d’assurances », déplore Me Jérôme Bouquet-Elkaim. « Le fond du problème est qu’il pratique de l’élevage en plein air en Bretagne dans un contexte d’élevage intensif, avec une phobie des éleveurs conventionnels au sujet de la peste porcine. Mon client fait office de bouc émissaire, on peut même parler d’acharnement », conclut-il.

En acculant financièrement et moralement Antoine Raoul, l’agro-industrie du porc breton use de méthodes bien éloignées de l’image qu’elle tente de se donner. Ainsi depuis début mai, le Miam Tour sillonne la Bretagne pour l’été. Orchestrée par le comité régional porcin et avec de nombreuses collectivités publiques comme partenaires (et même un média public, France Bleu), cette opération de communication visite des villes avec comme but de « créer du lien entre éleveurs et citoyens pour ouvrir le dialogue sur l’élevage de porcs ». Aucune étape n’est prévue pour l’instant à Lanvellec...

Pour cet article, ni la FDSEA 22 ni la mairie de Lanvellec n’a donné suite à nos sollicitations."



https://reporterre.net/En-Bretagne-un-eleveur-de-cochons-persecute-par-l-agro-industrie