dimanche 13 février 2022

Une réactions du pouvoir à la mesure de la crainte qu'avait le gouvernement de voir la capitale bloquée


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Convoi de la liberté - Des CRS sont bloqués par les manifestants sous le..." :

LE CONVOI DE LA LIBERTÉ FAIT ESCALE AUX CHAMPS-ÉLYSÉES
Blast, le souffle de l'info

https://youtu.be/huynbpy2UCc

Samedi à Paris les rangs de l'habituel rassemblement des gilets jaunes étaient plus fournis que d'ordinaire. Depuis la veille des convois de la liberté convergent vers la capitale pour protester contre le pass vaccinal. Pendant près de 10 heures, la police a chargé tous les groupes de convoyeurs présents sur les Champs-Elysées. Une réactions du pouvoir à la mesure de la crainte qu'avait le gouvernement de voir la capitale bloquée.

Journaliste : Emma Barrier, Serge Faubert, Antoine Etcheto
Montage : Antoine Etcheto
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa

2 commentaires:

Anonyme a dit…

IMPORTANT: Comment faire sauter les contraventions du convoi des libertés
Juan Branco




https://youtu.be/UH847ORRMRA



A tous ceux qui ont été verbalisés ce week-end pour participation à une manifestation interdite alors qu'ils n'étaient pas dans une véhicule: Cette contravention est sans fondement juridique et doit être contestée.

L'ordonnance du Conseil d'Etat "ODOBERT" du 12 février 2022 indique au sujet de l'arrêté d'interdiction des convois de la liberté:

11. "L'ARRÊTÉ (...) N'INTERDIT QUE LA MANIFESTATION SOUS FORME DE CONVOI DE VEHICULES" SE REVENDIQUANT EXPRESSEMENT DU "CONVOI DE LA LIBERTÉ""

Le Conseil d'Etat a donc, de façon très claire, limité l'interdiction aux "convois de véhicules se revendiquant expressément du convoi de la liberté"Cela exclue tous les manifestants à pied, mais aussi tous les véhicules individuels qui n'avaient pas de signes distinctifs.

Dès réception de la contravention de 135e, il vous faudra immédiatement faire une requête (les modalités sont expliquées dans le courrier) citant précisément l'ordonnance du Conseil d'Etat, en renvoyant à son paragraphe 11.

Cela veut aussi dire que tous ceux qui souhaitent manifester en dehors des convois, peuvent le faire en toute légalité malgré l'interdiction.

Courage et fierté.

La décision: https://t.co/IkWHT3Hjga

Juan Branco

Anonyme a dit…

Aujourd’hui, en voulez-vous au gouvernement et à la police ? Vous dites subir du harcèlement de leur part.

"C'est simple : ils m’ont détruit. Macron se présente comme un marcheur et, quand il a été élu, il a surtout voulu sprinter. Alors nous, les gilets jaunes, on est devenu le petit caillou dans sa chaussure et depuis, la République en Marche veut nous le faire payer. Et à moi particulièrement. Ils veulent me faire taire, comme si j’étais un leader alors que je ne le suis pas, j'ai juste beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux. Socialement, ils veulent me déglinguer : j’ai eu des contrôles surprises de l’URSSAF, on me colle des amendes, on vient me chercher 400 euros d’un coup… Je détiens le record de huit interpellations en deux heures.

Et cette violence de l’État, elle ne me touche pas que moi. Je connais d’autres figures des Gilets jaunes qui ont dû envoyer près de 200 CV avant de pouvoir trouver un travail."

Si c’était à refaire aujourd’hui, vous engageriez-vous dans les gilets jaunes ? Que feriez-vous différemment ?

"Si c’était à refaire, je le referais. J’y mettrais moins de cœur et plus de cerveau. Vous savez, je n’en ai rien à faire des médias, je ne prétends pas devenir une star, je ne sais même pas chanter. En revanche je veux continuer le mouvement pour tous ces gens qui m’ont apporté du soutien. Je pense notamment à ces petits vieux qui viennent manifester avec vous, c’est aussi pour eux que je le fais. Je me sens un peu le garant de la belle image des gilets jaunes, j’essaie d’en conserver la mémoire, qui n’a rien à voir avec la propagande médiatique et la caricature qui en a été faite."



https://www.marianne.net/societe/police-et-justice/socialement-ils-veulent-me-deglinguer-le-gilet-jaune-jerome-rodrigues-vide-son-sac