#PASDEREPRISESANSTESTSETMASQUES Derrière la réouverture des écoles, Macron veut imposer la reprise à marche forcée de l’économie
Le 11 mai, ce ne sera pas seulement la réouverture des écoles. Reprise d'activité dans les entreprises, les magasins, les commerces et services jusqu'aux salons de coiffure sont au programme. Alors que l’épidémie a fait plus de 18600 morts et qu’il y a encore 6000 patients en réanimation, le gouvernement veut remettre l’économie en route, sans garanties sanitaires, sans dépistages massifs, ni masques réellement efficaces.
"La crise sanitaire n’en a pas fini de faire éclater au grand jour les contradictions du capitalisme. Cette semaine, le ministre de l’Economie Bruno Lemaire a encore revu la récession à la hausse, désormais estimée à 8% du PIB en 2020. A titre de comparaison, après la crise financière de 2008, l’économie française avait déjà connu un recul de 2,9%, ce qui équivalait déjà à la pire récession depuis la Seconde Guerre Mondiale. Les conséquences de l’arrêt brutal de la production consécutive aux mesures prises pour enrayer la propagation du coronavirus sont donc sans précédent, l’INSEE estimant la récession à au moins 3% par mois de plus par mois de confinement et à 36% la perte d’activité depuis le début de la crise sanitaire en France. S’ensuit donc la fameuse question : qui va payer la crise ?" .../...
Le patronat prêt à « relancer la machine économique sans attendre »
"Le grand patronat, tant par la voix MEDEF que par celle des éditorialistes des grands médias, réclame à cor et à cri le déconfinement à marche forcée pour « relancer la machine économique sans attendre », quitte à « accepter les morts qui vont avec ». Interrogé sur « qui devra payer la note » dans Le Figaro la semaine dernière, Geoffroy Roux de Bézieux, le président de l’organisation patronale, a expliqué vouloir poser la question « du temps de travail, des jours fériés et des congés payés » et demander aux salariés de « travailler un peu plus ».
En pleine crise sanitaire, ces propos ont provoqué un tollé, poussant le dirigeant du MEDEF à se revenir sur ses déclarations. Mais toujours est-il que le projet est ainsi clairement exposé : faire payer la crise aux « petites mains invisibles » qui font tourner la société, à l’instar des soignantes ou des caissières, et à l’ensemble des travailleurs en rognant sur les acquis sociaux déjà mis à mal par plusieurs décennies de politiques néolibérales." .../...
"Cependant ces éléments de discours plus contestataires restent déliés d’un véritable plan de bataille, et restent subordonnés à la politique de la main tendue vers le gouvernement pour « faire avec les organisations syndicales, un bilan sur les changements radicaux de politique à opérer dans de nombreux domaines économiques et sociaux » tel que le demande le dirigeant confédéral dans la lettre du 7 avril. En témoigne l’absence de moyens mis pour coordonner nationalement les initiatives locales ppour organiser les droits de retraits, ou encore populariser et étendre les préavis de grève et en particulier l’appel à la grève dans la distribution le 8 avril de la CGT Commerce.
La réalité est que face au patronat et au gouvernement bien déterminés à faire payer la crise économique et sanitaire aux salariés, comme en témoignent la volonté de déconfiner sans garantie sanitaires le pays dès le 11 mai et les attaques antisociales contre le monde du travail, il faut rompre avec l’illusion du dialogue social et arracher par la lutte des garanties sanitaires préalables à toute mesure de déconfinement, pour imposer la fermeture des usines non essentielles, des dépistages massifs et des masques efficace pour tous, l’interdiction des licenciements et la nationalisation sous contrôle ouvrier des entreprises en faillite et la reconversion de la production pour participer à produire du matériel médical et pallier à la pénurie dans les hôpitaux."
Et celui-ci avec sa tronche de confiné (et de con fini) qui sert une bouillie bien épaisse et nauséeuse d'une bouche mal dessinée, se prend pour un "commandant"... Et ce genre de parasitisme avec l'appellation ronflante de "Business Bourse" en appelle à votre contribution sonnante et trébuchante... Des escrocs sur la ligne du "Krach"!
Commandant AUBENAS: « A y est c’est parti, le Krach Immobilier du siècle est là ! »
"L’effondrement des transactions immobilières va entraîner la chute des prix. C’est doublement une bonne nouvelle : pour le pouvoir d’achat et pour la disparition du soutien de la parasitocratie social-démocrate par la bourgeoisie. Les promoteurs immobiliers en faillite exigent des gouvernements (qui s’empressent d’accepter) de racheter leurs biens invendable pour y installer des clochards et autres migrants. Nous ne sommes qu’au début d’un phénomène qui va prendre de l’ampleur et finir en révolution." (...)
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#PASDEREPRISESANSTESTSETMASQUES
Derrière la réouverture des écoles, Macron veut imposer la reprise à marche forcée de l’économie
Le 11 mai, ce ne sera pas seulement la réouverture des écoles. Reprise d'activité dans les entreprises, les magasins, les commerces et services jusqu'aux salons de coiffure sont au programme. Alors que l’épidémie a fait plus de 18600 morts et qu’il y a encore 6000 patients en réanimation, le gouvernement veut remettre l’économie en route, sans garanties sanitaires, sans dépistages massifs, ni masques réellement efficaces.
"La crise sanitaire n’en a pas fini de faire éclater au grand jour les contradictions du capitalisme. Cette semaine, le ministre de l’Economie Bruno Lemaire a encore revu la récession à la hausse, désormais estimée à 8% du PIB en 2020. A titre de comparaison, après la crise financière de 2008, l’économie française avait déjà connu un recul de 2,9%, ce qui équivalait déjà à la pire récession depuis la Seconde Guerre Mondiale. Les conséquences de l’arrêt brutal de la production consécutive aux mesures prises pour enrayer la propagation du coronavirus sont donc sans précédent, l’INSEE estimant la récession à au moins 3% par mois de plus par mois de confinement et à 36% la perte d’activité depuis le début de la crise sanitaire en France. S’ensuit donc la fameuse question : qui va payer la crise ?"
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Le patronat prêt à « relancer la machine économique sans attendre »
"Le grand patronat, tant par la voix MEDEF que par celle des éditorialistes des grands médias, réclame à cor et à cri le déconfinement à marche forcée pour « relancer la machine économique sans attendre », quitte à « accepter les morts qui vont avec ». Interrogé sur « qui devra payer la note » dans Le Figaro la semaine dernière, Geoffroy Roux de Bézieux, le président de l’organisation patronale, a expliqué vouloir poser la question « du temps de travail, des jours fériés et des congés payés » et demander aux salariés de « travailler un peu plus ».
En pleine crise sanitaire, ces propos ont provoqué un tollé, poussant le dirigeant du MEDEF à se revenir sur ses déclarations. Mais toujours est-il que le projet est ainsi clairement exposé : faire payer la crise aux « petites mains invisibles » qui font tourner la société, à l’instar des soignantes ou des caissières, et à l’ensemble des travailleurs en rognant sur les acquis sociaux déjà mis à mal par plusieurs décennies de politiques néolibérales."
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"Cependant ces éléments de discours plus contestataires restent déliés d’un véritable plan de bataille, et restent subordonnés à la politique de la main tendue vers le gouvernement pour « faire avec les organisations syndicales, un bilan sur les changements radicaux de politique à opérer dans de nombreux domaines économiques et sociaux » tel que le demande le dirigeant confédéral dans la lettre du 7 avril. En témoigne l’absence de moyens mis pour coordonner nationalement les initiatives locales ppour organiser les droits de retraits, ou encore populariser et étendre les préavis de grève et en particulier l’appel à la grève dans la distribution le 8 avril de la CGT Commerce.
La réalité est que face au patronat et au gouvernement bien déterminés à faire payer la crise économique et sanitaire aux salariés, comme en témoignent la volonté de déconfiner sans garantie sanitaires le pays dès le 11 mai et les attaques antisociales contre le monde du travail, il faut rompre avec l’illusion du dialogue social et arracher par la lutte des garanties sanitaires préalables à toute mesure de déconfinement, pour imposer la fermeture des usines non essentielles, des dépistages massifs et des masques efficace pour tous, l’interdiction des licenciements et la nationalisation sous contrôle ouvrier des entreprises en faillite et la reconversion de la production pour participer à produire du matériel médical et pallier à la pénurie dans les hôpitaux."
https://www.revolutionpermanente.fr/Derriere-la-reouverture-des-ecoles-Macron-veut-imposer-la-reprise-a-marche-forcee-de-l-economie
Et celui-ci avec sa tronche de confiné (et de con fini) qui sert une bouillie bien épaisse et nauséeuse d'une bouche mal dessinée, se prend pour un "commandant"...
Et ce genre de parasitisme avec l'appellation
ronflante de "Business Bourse" en appelle à votre contribution sonnante et trébuchante...
Des escrocs sur la ligne du "Krach"!
Commandant AUBENAS: « A y est c’est parti, le Krach Immobilier du siècle est là ! »
"L’effondrement des transactions immobilières va entraîner la chute des prix. C’est doublement une bonne nouvelle : pour le pouvoir d’achat et pour la disparition du soutien de la parasitocratie social-démocrate par la bourgeoisie. Les promoteurs immobiliers en faillite exigent des gouvernements (qui s’empressent d’accepter) de racheter leurs biens invendable pour y installer des clochards et autres migrants. Nous ne sommes qu’au début d’un phénomène qui va prendre de l’ampleur et finir en révolution."
(...)
https://www.businessbourse.com/2020/04/19/commandant-aubenas-a-y-est-cest-parti-le-krach-immobilier-du-siecle-est-la/
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