mercredi 18 décembre 2019

PAS DE TRÊVE À LA GRÈVE SINON ON CRÈVE !!




 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "" :

TOUS ENSEMBLE, EN GRÈVE RECONDUCTIBLE

JUSQU'AU RETRAIT DU PROJET

ALÈS LUNDI 23 DÉCEMBRE 10 h GARE SNCF !

PAS DE TRÊVE À LA GRÈVE SINON ON CRÈVE !!


http://cgt.ales.over-blog.com/2019/12/toujours-plus-nombreuses-et-nombreux-lundi-23-decembre-10-h-gare-sncf.html 

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand une député LREM arrache le micro des mains de son interlocuteur pendant un débat sur la réforme des retraites...


https://www.google.com/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/checknews/2019/12/18/une-deputee-lrem-a-t-elle-arrache-le-micro-des-mains-d-un-gilet-jaune-pendant-un-debat-sur-les-retra_1769917

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Retraites des cadres supérieurs :

l'Ugict-CGT dévoile le coût du cadeau de Noël de Macron à Black Rock.

Le Premier ministre a confirmé les orientations du rapport Delevoye concernant la retraite des cadres supérieurs :

* Alors qu’aujourd’hui ils cotisent sur l’ensemble de leur salaire jusqu’à 8 plafonds de la sécurité sociale (soit 27 016 € brut/mensuels), ils ne cotiseraient plus que jusqu’à 3 fois le plafond de la sécurité sociale.

* Les cotisations de solidarité, d’un montant total de 9,94 % (2,30 % à la Sécurité sociale + 7,64 % à l’AGIRC-ARRCO) seraient ramenées à 2,8 %.

* Ceci fait suite à la réforme de l’épargne retraite de la loi Pacte, qui organise la transférabilité des produits d’épargne retraite, renforce leur défiscalisation et assouplit les modalités de versement.

Voilà qui est de nature à créer un marché juteux pour les fonds d’épargne retraite qui lorgnent sur l’épargne des français·e·s et coûtera très cher à nos systèmes de retraite solidaires.

* Les cadres sup' seraient renvoyés vers l’épargne retraite et la capitalisation pour tenter de maintenir leur niveau de vie.

* Ils ne cotiseraient plus sur la totalité de leur salaire dans notre système solidaire.

* Leur épargne retraite sera défiscalisée, mais ils n’auraient aucune garantie de la récupérer, les assureurs transférant sur les épargnants le risque de volatilité des marchés financiers.

Les services de l’AGIRC-ARRCO ont établi un chiffrage de la perte de ressource pour les retraites par répartition. L’étude démontre que le manque à gagner en terme de cotisations serait de près de 4,8 milliards en moyenne annuelle, soit en cumulé de 2025 à 2040 de plus de 71 milliards d’euros. Ceci s’ajoutera au manque à gagner pour les finances publiques résultant de la défiscalisation de l’épargne, évaluée de façon minimaliste dans l’exposé des motifs de la loi PACTE à 1,2 milliard par an. Le déficit global pour la solidarité serait donc de 6 milliards par an et 90 milliards en cumulé jusqu’à 2040.

Contrairement au discours populiste entretenu par le gouvernement, sortir 10 % des cadres du système par répartition est tout sauf une mesure de justice sociale. C’est un cadeau aux entreprises, qui en 15 ans feront une économie de 43 milliards sur la part dite patronale des cotisations et à la finance. Le tout sera cher payé par l’ensemble des salarié·es.»

Montreuil, le 18 décembre 2019



http://www.cielvoile.fr/2019/12/cadeau-de-noel-a-black-rock.html

Anonyme a dit…

Ces financiers qui dirigent le monde - BlackRock, ARTE.
CHEMS tv news.


https://youtu.be/fWu-NOMw_m8


BlackRock (le "Rocher Noir") la prochaine bulle responsable d'une crise financière mondiale?

Anonyme a dit…

«Une nouvelle manifestation, plus locale et modeste, avec départ des Jardins de la Fontaine, est annoncée avec une grève jeudi 19 décembre.»


https://www.google.com/amp/s/www.midilibre.fr/amp/2019/12/17/nimes-15-000-manifestants-dans-la-rue-contre-la-reforme-des-retraites,8610967.php

Anonyme a dit…

«Dans toute la France, des manifestations ont eu lieu mardi 17 décembre : un franc succès, avec 1,8 millions de manifestants selon la CGT, soit plus que le 5 décembre, mais un peu plus de 600.000 selon le gouvernement. Dans les cortèges, on contestait la réforme des retraites mais plus largement « Macron et son monde ». Reporterre était à Paris, Toulouse et Alès. Récit.»
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À Alès : « Ici, si t’as pas de voiture, t’as rien »

Alès (Gard), reportage
À Alès, les retraités ouvraient la manifestation. Un peu par hasard, assuraient-ils. « Il fallait bien des gens pour tenir la banderole ! », lançaient deux porteuses au milieu des drapeaux rouge CGT et Force ouvrière. Eric, Daniel et Robert étaient venus manifester pour leurs enfants et petits-enfants : « Pour une histoire de deux trimestres, j’ai travaillé jusqu’à 62 ans au lieu de 60, racontait Robert, ex-réparateur et installateur de télévision. Vous vous voyez, vous, poser une antenne sur un toit à cet âge là ? » « Même pour nous, rien n’est acté, se méfiait Daniel, autrefois cheminot. Ils peuvent nous annoncer une révision de nos retraites en fonction du point dans trois ans ! » Les cheveux gris étaient nombreux dans la manifestation, peut-être parce que les anciens ont ici la mémoire des fortes mobilisations des mineurs. La fermeture des mines et le départ de nombreuses industries métallurgiques ont fait exploser le taux de chômage dans la cité gardoise et ses alentours cévenols. Les façades rénovées des HLM au pieds desquels s’élançait la manifestation matinale cachent mal le manque d’emplois.

Le rendez-vous donné sur un rond-point étaient un clin d’œil aux Gilets jaunes, bien représentés et partageant la tête de cortège avec les syndicats. Parmi eux Margaux, tout juste 25 ans : « J’ai tout mis de côté pour les Gilets jaunes depuis sept mois, expliquait-elle. À Alès, on fait partie de ceux qui ont le plus tenu en France. Cela fait un an que je suis dans la rue, c’est un tout. Ici, si t’as pas de voiture, t’as rien. Et niveau boulot faut être surqualifié et accepter des salaires très bas, la seule chose qui marche c’est l’intérim.

Quelques banderoles d’usines désormais privées — portées par des ouvriers encore aux trois huit — étaient tout de même présentes, et notamment la CFDT de l’usine de roulements à bille SNR, dont les drapeaux oranges signalaient la fin de cortège. Les cheminots avaient de leur côté amené la sono et les fumigènes pour l’ambiance, les pompiers faisaient sonner les sirènes des camions, les hospitaliers étaient venus avec les blouses blanches et les bleues pour le bloc opératoire. « Nous sommes 100 % de grévistes parmi les infirmiers anesthésistes, seules les opérations urgentes sont assurées », indiquaient Thierry et Véronique. « On veut des moyens humains et matériels, et le retrait de la réforme », demandait la seconde.

Ils enchaînent les gardes de nuit et les permanences de week-end en plus des journées de boulot. « Quand on est jeune ça va, mais quand on commence à vieillir ça devient dur de récupérer, constate Thierry. Quand on a commencé à travailler, la retraite était à 55 ans pour nous, maintenant c’est 62 et peut-être 64 ans... » Balayant la foule du regard, ils estimaient être plus d’hospitaliers ce 17 décembre que le 5 décembre dernier. Constat identique à quelques dizaines de mètres chez les professeurs du lycée Jean-Baptiste Dumas, qui étaient au moins 30 % de grévistes le matin à 9 heures. Même la police – sans avoir encore de chiffrage précis – estimait à la mi-journée, alors que le défilé se dispersait, que les manifestants étaient cette fois-ci plus nombreux.»

Notre reportage photo sur la manifestation à Alès
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https://m.reporterre.net/Dans-les-villes-de-France-une-colere-qui-va-bien-au-dela-des-retraites

Anonyme a dit…

#grève19décembre - Bérenger Cernon (CGT Cheminots) réagit au sujet des enfants privés de vacances.
Là Bas Si j'y Suis


https://youtu.be/TAQKLy9nR3Q


"La SNCF a remis ces billets en vente pour faire du fric et faire passer les cheminots pour des salauds!"

Anonyme a dit…

Béziers, Olargues, Agde, Pézenas, Nîmes, Alès, Albi, Castres, Rodez, Narbonne… : l’Occitanie en lutte !
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15 000 manifestants à Nîmes

«Direction le Gard maintenant. Sans surprise, le plus gros cortège de mardi dans le département se trouvait à Nîmes. C’est environ 15 000 personnes qui ont manifesté. Notons la présence du comité de libération de Roland Veuillet, gilet jaune et syndicaliste incarcéré à la maison d’arrêt de Nîmes. Le cortège du personnel de radiologie du CHU de Nîmes, en grève une heure par jour jusqu’au retrait de la réforme, a fait une apparition très applaudie. Tôt le matin, une centaine de manifestants, cheminots, salariés d’Ennedis et des usines Haribo, avaient bloqué le dépôt de bus du réseau Tango. Une nouvelle manifestation est prévue pour ce jeudi 19 décembre à 14h30 au départ des jardins de la fontaine. Et l’intersyndicale promet une vague d’actions revendicatives pendant la période des fêtes !»
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Alès, Bagnols-sur-Cèze, Villeneuve-les-Avignon

«Les villes gardoises plus petites ne sont pas en reste : 6000 gilets jaunes et syndicalistes à Alès le 17 décembre, 800 à Bagnols-sur-Cèze où une nouvelle manifestation est programmée pour ce jeudi à 14h30 au départ de la place Mallet. Les grévistes de Villeneuve-lez-Avignon, réunis en assemblée générale mercredi, invitent aussi les habitants des communes voisines à une nouvelle journée de manifestation ce mercredi à 18h au rond-point Jacques Chirac. La consigne est de ramener des casseroles !»
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https://lepoing.net/beziers-olargues-agde-pezenas-nimes-ales-albi-castres-rodez-narbonne-loccitanie-en-lutte/