dimanche 20 janvier 2019

Le maire René Revol (FI) dévoile la grande mascarade de Macron à Souillac! La Luciole.



Envoyé par anonyme
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Gilets jaunes : l'exécutif mise sur 200 débats ce ..." : 

Le maire René Revol (FI) dévoile la grande mascarade de Macron à Souillac!
La Luciole.


René Revol, maire de Grabels (34) dévoile la teneur de la mascarade du #GrandDébat à #Souillac 


2 commentaires:

Anonyme a dit…

(...) «L'encadrement du Grand débat ne doit pas en faire oublier le fond ni s'apparenter à « SOS Fraternité républicaine » au risque d'être assimilé à un grand déballage ou de voir le fond remonter à la surface. La liste du président n'est pas celle du père Noël, elle est encadrée : limitation et regroupement du nombre de sujets - questions fermées - délimitation des réponses - question par une question (pratique jésuitique). Le président ne cherche pas à « séduire » ni avoir pris un certain recul par rapport à la fonction, signe d'une (im)maturité présidentielle qui lui permettrait de comprendre les contradictions et les désirs de changements d'une partie de la population laborieuse. Il incarne un rôle « imaginé », son air hautain, voire dédaigneux reste son pire ennemi. Le : « qu'Ils viennent me chercher » fut l'épée de Damoclés dont « Bibi » a tranché la corde lui même.

L'apparence bravache n'est peut-être qu'un écran émotionnel, son allure altière une fragilité, son arrogance dissimuler la peur de l'autre, et son parler cash celui d'un "adulescent". L'homme qui nous dit qu'il n'y a pas de « Tabou ni de Totem » fait-il référence à Totem & Tabou de Sigmund Freud (paru en 1913) ou fusse un lapsus ? Le profil œdipien intrigue. Que penser d'un « quadra » qui n'a pas connu les joies de la paternité et marié à une femme appartenant à la génération précédente ? Veut-il rester le petit garçon choyé ?» (...)

https://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/grand-debat-ou-catharsis-211747

Anonyme a dit…

.../...
«Macron a donc appelé au "débat" avec une lettre dans laquelle il fait savoir qu’il n’est pas question de changer le cap dont, justement, les gilets-jaunes lui disent depuis des semaines qu’il n’est pas le bon. Il veut bien parler, certes, bien sûr, évidemment, certainement, mais pas du motif qui met les gens dans la rue. Qu’est-ce qu’un dialogue à l’entrée duquel on dit, d’une part, qu’il ne permettra pas de tout dire parce qu’il sera orienté dans le sens voulu par l’Elysée, puis, d’autre part, qu’il ne changera rien de ce qui motive le mécontentement populaire -que les journalistes préfèrent nommer une "grogne" pour laisser entendre que les gilets-jaunes sont des chiens prêts à mordre ou des loups possédés par la rage.» .../...

https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/le-monologue-de-la-pipe