dimanche 20 janvier 2013

Audience du tribunal administratif de Nîmes du 16 janvier 2013, référé suspension concernant l' arrêté de fusion préfectoral .

Audience du tribunal administratif de Nîmes du 16 janvier 2013, référé suspension concernant l' arrêté de fusion préfectoral .


Le référé présenté par l'association ARDIECE et une dizaine de citoyens a été rejeté par le tribunal administratif de Nîmes .
Il visait à suspendre avant jugement sur le fond l'arrêté préfectoral de fusion de la 2C2A avec l'agglomération du Grand Alès.
Comme le 21 janvier 2011 , la voix des citoyens n'a pas pesé bien lourd .
L'association ARDIECE demeure très inquiète sur les conséquences d'autant de mépris pour les attentes des citoyens.

Les présidents Dominique Senecal et Huguette Scardapane

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Même si on s'y attendait, on est effectivement très inquiets. La politique de gestion du territoire qui va être menée risque fort de nous amener dans le mur.
C'est la même que celle qui a été menée en Espagne. De grands travaux qui dopent provisoirement le marché du travail, des constructions à tout va qui alourdissent les dettes et à la fin pas de preneurs.
Comment peut-on vouloir que la population appauvrie achète quoi que ce soit ?
Quels investisseurs viendraient utiliser les structures ainsi crées ?
On résume le tout par des aéroports neufs qui n'ont jamais ouvert, des villes entières invendables,.... Il faut reconstruire le tissu d'activités à la base, commencer par de petites entreprises locales...
C'est une vision périmée de la situation qui va guider les actions.

Cassandre a dit…

C'était la philosophie du New Deal de Roosevelt. Ça a marché un temps, mais...
A l'époque, la Famille Kellogs avit dit à Roosevelt que la seule solution pour sortir de la crise était de ramener le temps de travail à 30 HEURES !!! (battue, Martine !).
Roosevelt avait été convaincu, mais pas le Sénat US. On sait la suite !
Et on remet le couvert : refus des 35 heures, aéroports aux pistes sans doute désertes, grands chantiers non productifs...
Le politique ne sait pas s'inspirer des leçons du passé. Dommage !

Anonyme a dit…

Malheureusement les référés sont très souvent perdus. Il faut continuer le juge des référés ne juge que l'URGENCE... et oui visiblement il n'y avait pas urgence

Anonyme a dit…

Non mais, qui a osé attaquer Max Roustan ???? Des faquins! On n'attaque pas le Prince de céans. Pardonnez, monsieur le bourgmestre, ces geux qui ne savent pas apprécier votre grandeur. Tout ceci n'est pas grave. Excusez-les d'avoir troublé vos festes; vous pourrez, céance tenante vous retrouver à la même table avec vos amis et opposants et festoyer comme cela se doit. (ou ce doigt, c'est au choix)

Anonyme a dit…

Anonyme de 13:00: le juge des référés juge sur deux points:l'urgence et le doute sérieux. Il faut donc deux conditions. Le juge a considéré qu'il n'y avait pas de doute sérieux sur la légalité de l'Arrêté Préfectoral. Ce qui ne veux pas dire que l'Association ARDIECE perdra sur le fond dans ....... deux ans environ.

Anonyme a dit…

Anonyme de 13:00: le juge des référés juge sur deux points:l'urgence et le doute sérieux. Il faut donc deux conditions. Le juge a considéré qu'il n'y avait pas de doute sérieux sur la légalité de l'Arrêté Préfectoral. Ce qui ne veux pas dire que l'Association ARDIECE perdra sur le fond dans ....... deux ans environ.