dimanche 7 mars 2010

QUAND L’HISTOIRE SE REPETE…

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Alès vient de vivre une « Semaine Cévenole » riche en expos, conférences et animations diverses. Le tout en rappel de « l’Edit de Grâce d’Alais » de 1629 par lequel Louis XIII daignait pardonner aux protestants leur révolte religieuse et militaire, sous condition de leur soumission absolue et de la destruction de leurs murailles. Une seule ville n’avait pas été prise par les armées du Roi, c’était Anduze.

Trois siècles et demi plus tard la commémoration de cet évènement a permis à Maxou premier, Roi des Cévennes, Président d’innombrables structures, Général des mousquetaires, de se souvenir de la résistance d’Anduze.

Voir les photos ci-dessous :

« On les attaque, on les aura facilement ! »
























« Finalement il vaut mieux laisser tomber… »



























Unréboussieramidelhistoireancienneetcontemporaine

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Crebleu Réboussier ! Vos photos du Roi des Cévennes sont plutôt bonnes et se prêtent bien à la facétie que vous nous proposez ! Permettez-moi simplement d'apporter une précision qui a son importance dans le parallèle que vous tentez d'établir : si Anduze n'a jamais été prise par les armées du Roi, c'est qu'elle n'a jamais été assiégée ; ce qui ne l'a pas empêchée, finalement, de perdre ses murailles… Et dans cette comparaison avec la situation d'aujourd'hui, il aurait été plus complet, pour constituer une galerie de portraits, de rajouter notre président de la 2C2A en chef des rebelles ; sauf que celui de 1629 (Rohan) a réussi à négocier son amnistie personnelle de façon très confortable ; avant de filer en Italie… en laissant tomber sans complexes ses camarades de combat. Ah !? ça vous paraît moins amusant ? C'est pourtant l'Histoire.
Allez, ne vous inquiétez pas, ce commentaire n'est qu'une facétie de plus…
Le Diable boiteux

Anonyme a dit…

Je vois que le diable boiteux connait bien son Histoire d'Anduze, toutefois il faudrait préciser qu'au début nous avions choisi un autre chef que nous avait proposé le consul d'Anduze. Ce dernier a laissé tomber ses amis et nous avec (sans complexes ?) pour négocier sans doute une position alésienne de façon très confortable ? L'Histoire ne repasse pas toujours les mêmes plats, mais les trahisons sont toujours des affaires d'hommes (ou de femmes). Quoiqu'il en soit, Anduze n'a pas (encore ?) son Rohan d'aujourd'hui !
Saint-Just

Anonyme a dit…

Notre Président de la 2C2A en chef des rebelles, pourquoi pas, ça lui va comme un gant.
Mais alors ceux qui le connaissent bien, ce qui ne semble pas le cas du diable bancal,savent qu'il est plutôt du genre à mourir debout qu'à rendre les armes. Quitte à le comparer à un chef rebelle ce serait plutôt François VIVENT qui a mené le combat contre les dragons du roi et qui est mort les armes à la main dans une grotte de ...Saint Sébastien d'Aigrefeuille.

Anonyme a dit…

L'auteur de ces photos précise qu'il ne s'agit pas d'un montage (désormais on n'est plus sûr de rien en termes d'images). Maxou 1er était vraiment déguisé hier en mousquetaire, comme des centaines d'alésiens. Prestation remarquable du grand bateleur qu'il est, bises à toutes, petit mot rigolo à chacun, chapeau l'artiste !

Anonyme a dit…

pourquoi ne parle-t-on pas de la prestation des chorales et des danseurs qui se sont dévoués pour se produire salle Jules Cazot?
Pas un mot dans midi libre non plus!
un choriste

Anonyme a dit…

Alès vaincu, Alès meurtri, Alès asservi ! Mais alors pourquoi 400 ans après cette reddition alésienne aux armées du Roi, Maxou 1er endosse-t'il l'uniforme de l'occupant ? Il s'est mélangé les pinceaux, il a choisi son camps ou c'est le temps qui efface tout ?

Anonyme a dit…

ou il n'a vu que le beau panache comme un vieux petit garçon.