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Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
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Inflation, déficit et cure d'austérité minent l'hôpital public
"Surtout, ce milliard pèse peu face au déficit des hôpitaux qui s'amplifie d'année en année (près de 3,5 milliards en 2024). D'abord, il y a l'inflation, qui pèse dans toutes les dimensions des hôpitaux : achat de matériel, coût des traitements, maintenance des locaux… La Fédération hospitalière de France estime le sous-financement cumulé de l'inflation à 1,3 milliard. « Même les employeurs du secteur revendiquent au minimum 6 % d'augmentation pour passer l'année sans fermer de lits, pouvoir payer les factures énergétiques, des fournisseurs dans des délais raisonnables, et avoir surtout un début de politique dynamique pour fidéliser les agents et embaucher ceux qui nous manquent pour réouvrir des lits qui nous manquent cruellement », rappelait le syndicat FO personnels des services de santé, dans un communiqué fin janvier.
Ensuite, les hôpitaux sont déjà sommés d'éponger le déficit de la CNRACL, la Caisse nationale de retraite des agents collectivités locales, à laquelle sont rattachés les fonctionnaires hospitaliers. Celle-ci atteint un déficit de près de 3,8 milliards fin 2024. Idem pour les primes liées au Ségur de la santé ou la revalorisation des heures de nuit. Des revalorisations « certes attendues et certes nécessaires, mais qui, hélas, n'ont pas été compensées ni financées dans leur intégralité », souligne Zaynab Riet, déléguée générale de la Fédération hospitalière de France au micro de France Info. Là encore, les administrations des hôpitaux sont sommées de les éponger. Le milliard supplémentaire se réduit donc à peau de chagrin."
https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/hopital-le-budget-de-bayrou-insuffisant-face-au-quotidien-devaste-des-soignants-020723159
Hadrien Mathoux
Directeur adjoint de la rédaction
Richard Ferrand au Conseil constitutionnel, le symbole d'une institution en déliquescence
C'est devenu un secret de polichinelle : Richard Ferrand devrait être le candidat choisi par Emmanuel Macron pour présider le Conseil constitutionnel. Si les députés et sénateurs membres des commissions des lois des deux chambres ne rejettent pas son nom, ce très proche du chef de l'Etat prendra la tête de cette instance au rôle décisif… et controversé. On ne peut pas dire que le profil de M. Ferrand, ancien journaliste et dirigeant d'une agence de graphisme, dépourvu de compétences particulières en matière de droit, qui doit essentiellement sa nomination à sa fidélité à Emmanuel Macron, aide à dissiper les soupçons de partialité qui entourent le Conseil constitutionnel.
Méfiant à l'égard du « gouvernement des juges », et de la tendance des grands clercs à vouloir limiter la souveraineté du peuple, le général de Gaulle avait consenti à la création de cette cour suprême à la française, mais en limitant fortement son influence. Tout a changé le 16 juillet 1971, lorsque les « sages » du Conseil constitutionnel décidèrent d'étendre considérablement leurs pouvoirs, en s'octroyant dans une décision le droit d'interpréter le « bloc de constitutionnalité » pour faire et défaire les lois à leur guise. Bien sûr, les défenseurs sourcilleux d'un « Etat de droit » subrepticement redéfini en droit des juges de contrecarrer toute mesure qui déplairait au consensus des élites pousseront de hauts cris. Mais il y a bien longtemps que le Conseil constitutionnel ne joue plus ce rôle essentiel de garant des droits fondamentaux contre d'éventuelles velléités autoritaires du législateur.
D'éminents juristes, allant de la professeure à la Sorbonne Lauréline Fontaine à l'ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel Jean-Éric Schoettl, ont pointé les biais et les insuffisances des « sages ». Leur partialité, qui les amène à systématiquement prendre des décisions dans le sens du libéralisme, qu'il s'agisse d'immigration ou d'économie. Leur soumission au pouvoir en place, intimement liée à leur mode de désignation qui écarte les experts au profit des proches des gouvernants. La presse bruisse ces jours-ci d'analyses liant la possibilité pour Marine Le Pen de se présenter à la prochaine présidentielle aux humeurs de Laurent Fabius, actuel président du Conseil nommé par François Hollande, et à celles de son successeur pressenti pour être choisi par Emmanuel Macron, Richard Ferrand. Est-ce vraiment digne d'une démocratie moderne ?Twitter @hadrienmathoux
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