Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 28 décembre 2021
«gestion non démocratique» de la crise sanitaire.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Covid19, l'étrange défaite ! - Le Blog de jlduret" :
Restrictions sanitaires : «Des lois totalement scélérates»
RT France
https://youtu.be/SN5ZZiyQNts
Notre éditorialiste Alexis Poulin réagit aux annonces gouvernementales du 27 décembre destinées à enrayer la hausse des cas de contamination au Covid-19. Il accuse l'exécutif de surfer sur la peur et pointe du doigt sa «gestion non démocratique» de la crise sanitaire..
Disparition de Desmond Tutu
Communiqué du Comité Solidarité Chagos La Réunion (CSCR)Disparition de Desmond Tutu
Une vie entière pour l'égalité entre les hommes
Desmond Tutu, archevêque anglican, compagnon de lutte de Nelson Mandela , prix Nobel de la paix et grand ami de la cause chagossienne s'en est allé en ce dimanche 26 décembre2021.
Chers amis de la cause chagossienne, c'est la triste nouvelle que nous venons d'apprendre. En Desmond Tutu disparaît un champion de la lutte anti-apartheid et pour la cohabitation pacifique des gens de son pays la République sud-africaine, ainsi qu'un ami sincère de la cause chagossienne.
C'est Desmond Tutu qui avait inventé l'expression 'peuple arc-en-ciel' lorsqu'il parlait des gens de son pays. En tant qu'ami de la cause chagossienne , avec six autres prix Nobel de la paix, il avait écrit une lettre à Obama - lui aussi prix Nobel de la paix - quelques jours avant la fin de son deuxième mandat de président des USA pour l'inciter à répondre positivement au droit de retour chez eux des Chagossiens (voir notre p.j.).
Bien entendu Obama n'en avait rien fait, tout comme Boris Johnson premier ministre britannique, alors que tous deux étaient bien placés pour faire droit à une revendication bien naturelle, bien légitime et bien justifiée d'un peuple.
En ce dimanche 26 décembre, le peuple chagossien a perdu un ami sincère en la personne de Mgr Desmond Tutu, mais il peut se féliciter qu'à un moment donné sept personnalités mondiales des plus brillantes - sept prix Nobel de la paix - se soient réunies pour écrire une lettre à l'homme alors le plus puissant du monde afin que le droit légitime du peuple chagossien lui soit reconnu.
Pour nous au Comité Solidarité Chagos La Réunion, la disparition de Desmond Tutu ne peut que nous encourager à continuer à aider les Chagossiens dans leur lutte en sachant que le seul combat perdu d'avance est celui que l'on ne mène pas et que la lutte finit tôt ou tard par payer.
Georges Gauvin, président du Comité Solidarité Chagos La Réunion
Alain Dreneau, secrétaire du CSCR
lundi 27 décembre 2021
dimanche 26 décembre 2021
Chasse à courre : ils tirent sur un cerf en plein village et entre des maisons près de Compiègne, l'animal est mort | Actu Oise
samedi 25 décembre 2021
Mais à quoi ça sert ?
Mais à quoi ça sert ?
vendredi 24 décembre 2021
Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "EXCLU – "C'est facile de faire peur" : le Dr Gérald Kierzek rassure face à "l'hystérie mondiale" - Gala" :
"Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017."
(...)
Logique comptable
"A l'arrivée, le cumul du développement de l'ambulatoire, du manque de personnel, auxquels il faut ajouter les circonstances particulières liées à la pandémie de Covid-19, a donc joué pour une grande part dans les fermetures de lits. Reste que les établissements de santé sont aussi confrontés à des problèmes de financement.
Financés à 90% par la sécurité sociale, via le système de tarification à l'acte généralisé en 2004, ces établissements dépendent pour fonctionner du budget qui leur est attribué à la branche maladie. Or, son montant résulte lui-même, et en partie, de choix politiques opérés par les pouvoirs publics.
CheckNews a épluché les études d'impact réalisées en amont de l'examen des projets de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) de ces dernières années. Aucune ne fait référence à un objectif en termes de fermetures ou au contraire de maintiens de lits d'hospitalisation complète. En revanche, un objectif de réduction des dépenses dans les hôpitaux à hauteur de plusieurs millions d'euros était systématiquement fixé dans les PLFSS de ces dernières années, ainsi que dans ceux adoptés sous les présidences de François Hollande et Nicolas Sarkozy. En 2019, le texte prévoyait même un milliard d'euros d'économies. Seuls les projets adoptés après le début de la crise sanitaire font exception.
«On demande à l'hôpital de réduire ses dépenses, de réduire son budget alors que la population augmente et vieillit», regrettait en avril Nathalie Coutinet, économiste de la santé interrogée par France culture. Pressés par les plans d'économies, les établissements de santé procèdent inévitablement à des suppressions de lits. Or, comme l'exprimait en septembre Marc Leone, chef du service d'anesthésie et de réanimation à l'hôpital Nord de Marseille, auprès de Marianne, lorsque «les fermetures se font sur une simple logique comptable, c'est là qu'elles sont problématiques pour les patients»."