Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 28 août 2014
Monsieur Philippe DURON, membre du PARTI SOCIALISTE
CUMULARD
mercredi 27 août 2014
Les cinq déclarations de Valls qui vont droit au cœur des patrons
Objet: Les cinq déclarations de Valls qui vont droit au cœur des patrons
"J'aime l'entreprise !"
"Absurde de parler de cadeaux faits aux patrons"
"Le droit actuel (...) freine les initiatives"
La question "légitime" des seuils sociaux
"Nous devons baisser notre dépense publique"
SARKO y a pensé, Valls le fera
http://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-valls-2/valls-aux-patrons-j-aime-l-entreprise_679127.html
Mon véritable adversaire [...] c'est le monde de la finance". François Hollande, le 22 janvier 2012 au Bourget.
Objet: Mon véritable adversaire [...] c'est le monde de la finance". François Hollande, le 22 janvier 2012 au Bourget.
Vive Emmanuel Macron ! En quelques secondes, mardi soir, la France s'est divisée en deux : macronolâtres, contre macronophobes. Tout le monde connait désormais le nouveau ministre de l'Economie Emmanuel Macron. Tout le monde a un avis sur Macron, ses 36 ans, et ses zigzags du secrétariat du philosophe Paul Ricoeur à la banque Rothschild, en passant par on ne sait plus quelle commission Attali sur les taxis.
Principal titre d'infâmie (ou de gloire) de Macron, donc, son passage par la banque Rothschild, où il a notamment piloté le rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile de Pfizer (neuf milliards d'euros, dont il a touché une partie, personne ne sait combien, mais « assez pour être à l'abri du besoin jusqu'à la fin de ses jours »).
Pas populaire Francois Hollande ?
Le canard enchaîné de ce mercredi
mardi 26 août 2014
lundi 25 août 2014
UNE CONSTITUANTE VITE !
Une Constituante, vite !
Les prises de position d'Arnaud Montebourg et Benoit Hamon, suivies par la démission du gouvernement, les luttes de pouvoir au sein de l'UMP, la démission de Jean-Luc Mélenchon de la présidence du Parti de Gauche marquent cette rentrée politique. Nombreuses sont déjà les déclarations qui parlent d'une crise politique, feignant d'ignorer que la crise dure depuis longtemps déjà.
Car, si le système politique semble doté depuis des décennies d'une grande stabilité, c'est tout simplement parce que la légitimité de l'exécutif ne résulte que d'une élection particulière –la présidentielle-, donnant un pouvoir sans contrôle à une sorte de monarque électif. C'est aussi parce que le système européen détruit toute souveraineté populaire, ne laissant aux autorités nationales que le droit d'appliquer les orientations de Bruxelles, aux citoyens et à leurs élus que le droit de se soumettre à des obligations définies en dehors d'eux. Le phénomène est encore accentué, comme l'élection de Jean-Claude Junker à la tête de la Commission européenne l'a prouvé, par la tendance des groupes politiques européens à rechercher le consensus au détriment d'affrontements politiques pourtant bien normaux en démocratie. Où est alors la légitimité des élus ?
La vraie question politique aujourd'hui est celle de la démocratie. Dans un vrai système démocratique, les pouvoirs exécutif et législatif sont séparés et s'il y a solidarité gouvernementale, il y a aussi responsabilité de l'exécutif vis-à-vis du Parlement. Certes, si ce dernier principe est théoriquement en vigueur, chacun sait que les parlementaires de la majorité sont soumis aux diktats du Président, du gouvernement et du parti -l'ensemble des acteurs politiques l'étant par ailleurs désormais à une économie financiarisée sans contrôle - sans possibilité de contester sous peine d'être sanctionnés comme traitres.
La crise est donc bien celle du système politique et non celle créée par les agitations de tel ou tel. Les évènements économiques et sociaux lui donnent simplement plus de visibilité qu'auparavant. La sortie de crise demande de redonner sens à la liberté des citoyens et à la souveraineté populaire. C'est pourquoi nous demandons, depuis 2007, l'élection au suffrage universel d'une Assemblée Constituante en France. Celle-ci doit être l'expression de la dynamique collective des citoyens et non l'expression d'un parti ou d'un individu, quelle que soit sa valeur. Elle doit rassembler les démocrates autour d'un projet qui permet l'expression des aspirations sociales des citoyens. La survie même du pays et de nos libertés est à ce prix.
Lundi 25 août 2014
par Association pour une Constituante