Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 16 février 2013
vendredi 15 février 2013
l 'HISTOIRE qui aide à comprendre le présent ...
Envoyé par JML
Troublant non ??? à moins que ce soit une filière de recyclage !! toujours est-il que les faits sont là ...
... l'HISTOIRE qui aide à comprendre le présent ...Le billet de Robert MASCARELL, militant CGT aveyronnais ...
Après les responsabilités CFDT, la carrière est juteuse !!!!
Depuis quelques semaines, la CFDT se signale à l'attention de l'opinion publique, par :
- le départ de son secrétaire général François Chérèque et sa transformation immédiate en agent prébendé de l'État,
- sa signature d'un accord national minoritaire, dit de sécurisation de l'emploi, avec le MEDEF,
- la déclaration de son nouveau secrétaire général, Laurent Berger, accusant la CGT d'être coresponsable, avec l'employeur, du projet de fermeture de l'usine Goodyear d'Amiens.
Tant d'actualité aussi négative pour les salariés, à mes yeux, m'a incité à aller voir ce qui pouvait expliquer que cette centrale syndicale signe régulièrement des accords dans le dos des salariés et se livre de plus en plus à des attaques frontales contre la CGT.
Pour ce faire, j'ai cherché à savoir quel avait été le parcours des secrétaires généraux des organisations syndicales représentatives (CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO) depuis les années 60 jusqu'à aujourd'hui, après qu'ils aient quitté leurs fonctions à la tête de leur centrale syndicale.
Là, je suis allé de stupeur en stupeur. Hormis ceux de la CFDT, tous les ex-secrétaires généraux ou présidents des autres confédérations syndicales sont restés dans leur organisation ou dans des associations qui leur sont proches. Bref, ils n'ont pas fait carrière.
A l'inverse, tous les ex dirigeants de la CFDT, à l'exception d'Eugène Descamps, qui fut secrétaire général de la CFDT jusqu'en 1971, se sont retrouvés à la tête d'entreprises privées ou ont été nommés à des postes de hautes responsabilités dans des organismes publics.
A noter qu'Eugène Descamps a été, et de loin, le secrétaire général de la CFDT le plus unitaire. Il n'y a donc pas de hasard à ce que cet homme soit demeuré fidèle à ses engagements syndicaux, une fois déchargé de responsabilité.
Mais voyons quel fut le parcours de ses successeurs, dans les mêmes circonstances.
Commençons par le premier, Edmond Maire. Il fut secrétaire général de la CFDT de 1971 à 1988. Par la suite, il a été président de Villages Vacances Familles, devenu Belambra Clubs après avoir été privatisé en juillet 2006, puis président de la société d'investissement solidaire France Active (association d'insertion et d'aide à la création d'entreprise).
Edmond Maire a été remplacé, de 1988 jusqu'en 1992, par Jean Kaspar. De 1993 à 1996, celui-ci a été conseiller social à l'ambassade de France à Washington. Il est, depuis 10 ans, consultant en stratégies sociales et gérant de « J.K consultant » à Paris. Il est par ailleurs vice-président de l'Observatoire social international et lié à Entreprise et Personnel, un club RH (ressources humaines) regroupant plusieurs grandes entreprises françaises. Il est aussi intervenant expert pour Entreprise & Personnel, APM (Association Progrès du Management) et GERME (Groupes d'Entraînement et de Réflexion au Management des Entreprises). Il est conseiller de la Fondation pour l'innovation politique. La Fondapol est un cercle de réflexion libéral, fondé par l'UMP, dirigé par Dominique Reynié (un des habitués de l'émission de la 5 « C dans l'air »). Jean Kaspar a aussi été membre de la Commission Attali mise en place par Nicolas Sarkozy. Le 19 mars 2012, il a été nommé président de la Commission du Grand Dialogue de La Poste par Jean-Paul Bailly, le P D-G.
J'en arrive maintenant à Nicole Notat. Elle fut secrétaire générale de la CFDT de 1992 à 2002. Dès 2002, elle a été portée à la tête de Vigeo, société européenne d'évaluation des performances sociales et environnementales des entreprises. Parmi les actionnaires on y trouve toutes les grandes banques françaises, de grandes sociétés, des fonds de pension.
Depuis le 1er janvier 2011, elle préside le célèbre club Le Siècle, dont font partie tous les dirigeants des grandes sociétés françaises. Elle est membre du groupe de réflexion sur l'avenir de l'Europe, nommée par le Conseil européen. Elle est membre du conseil d'administration de la Coface (Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur) et du conseil de surveillance du Monde SA. Bref, tout va bien pour elle. Et, il ne s'agit-là que d'un résumé de ses fonctions.
Passons maintenant au petit dernier, François Chérèque, secrétaire général de la CFDT jusqu'en décembre 2012.
Rassurez-vous, ça commence bien pour lui. Le 3 janvier 2013, il a été nommé inspecteur général des Affaires sociales.
Il est également président du think-tank social-libéral Terra Nova. N'en doutons pas, ce n'est qu'un début. Le jeune homme ira bien plus haut et plus loin. Comme ses prédécesseurs, il a bien préparé le terrain, du temps où il était secrétaire général de la CFDT.
M'est avis que son successeur, Laurent Berger, a bien compris la leçon. Je dirais même plus, il l'a vite apprise.
En l'espace d'un mois, il a trouvé le moyen d'accepter de signer un accord scélérat dans le dos des salariés, alors qu'il sait parfaitement que son organisation même avec l'apport de la CFTC et de la CGC, ne représentent que 38,70 % des voix des salariés, alors que les deux syndicats non signataires, la CGT et FO, pèsent 49,79 %. Et que si on y ajoute les voix des syndicats Sud-Solidaires et FSU, non conviés à la négociation, mais résolument contre l'accord, nous arrivons à 55,67 % des voix des salariés contre.
A la CFDT, on appelle ça, respecter la démocratie.Mais Laurent Berger ne s'en n'est pas tenu là. Cette semaine, il a donné un coup de poignard dans le dos de la CGT, l'accusant d'être corresponsable, avec l'employeur, de la décision de fermeture de l'entreprise Goodyear àAmiens.On ne m'ôtera pas de l'idée que, alors qu'ils sont en poste à la tête de leur confédération, les secrétaires généraux, depuis Edmond Maire, mais surtout depuis Jean Kaspar, pensent à la meilleure manière d'atterrir lorsqu'ils ne le seront plus. Il s'agit, pour eux, de donner des gages à leurs futurs employeurs. Ce sont des carriéristes. C'est la raison pour laquelle, systématiquement et de plus en plus, la CFDT accepte de signer l'inacceptable, sans tenir compte de l'avis de la majorité des salariés.
Ainsi va la vie
jeudi 14 février 2013
Rappel viande de cheval et Spanghero
CLIQUEZ :Article du reboussier du 9 février 2013
Extrait:
« Lorsqu’il était Ministre de l’Agriculture roumaine, Gheorghe Flutur a été contacté par le patron du « complexe de viande de Bordeaux ». En date du 22 mai 2006 ce patron a même écrit au Ministre, précisant que, « suite à ses nombreux voyages en Roumanie, je vous réitère ma proposition d’acheter tous les chevaux malades (atteints par l’AIE, anémie infectieuse équine) soit environ 14 à 15.000 chevaux ».
« L’offre de ce français (qui répond à un nom basque bien connu du côté de Bayonne)* présentait une cotation, soit 200 euros la tonne, et une proposition de lieu d’abattage, à savoir dans les locaux de la Société Européenne de Sibiu, Strada Ecaterina Teodoroiu nr. 39, société créée en 1994, avec une longue expérience dans le domaine de la commercialisation de viande de bovins, ovins et chevaux.
Il semble que cette offre ait été suivie d’effet puisqu’une grande quantité de chevaux roumains sont venus compléter la demande de l’Union Européenne de 2,3 millions de chevaux par an. Initialement le Ministre avait annoté le courrier en provenance de France d’un « rog analiz » (je demande une analyse), en date du 25 mai 2006. A cette époque la consommation de viande de cheval ne faisait pas l’objet d’une loi européenne. C’est seulement en 2009 que l’UE a fait ses premiers pas notamment dans le but d’interdire l’abattage des chevaux en vue de la consommation, pour des raisons sanitaires, puisque les médicaments pouvaient pénétrer l’organisme des consommateurs.
Extrait:
« Lorsqu’il était Ministre de l’Agriculture roumaine, Gheorghe Flutur a été contacté par le patron du « complexe de viande de Bordeaux ». En date du 22 mai 2006 ce patron a même écrit au Ministre, précisant que, « suite à ses nombreux voyages en Roumanie, je vous réitère ma proposition d’acheter tous les chevaux malades (atteints par l’AIE, anémie infectieuse équine) soit environ 14 à 15.000 chevaux ».
« L’offre de ce français (qui répond à un nom basque bien connu du côté de Bayonne)* présentait une cotation, soit 200 euros la tonne, et une proposition de lieu d’abattage, à savoir dans les locaux de la Société Européenne de Sibiu, Strada Ecaterina Teodoroiu nr. 39, société créée en 1994, avec une longue expérience dans le domaine de la commercialisation de viande de bovins, ovins et chevaux.
Il semble que cette offre ait été suivie d’effet puisqu’une grande quantité de chevaux roumains sont venus compléter la demande de l’Union Européenne de 2,3 millions de chevaux par an. Initialement le Ministre avait annoté le courrier en provenance de France d’un « rog analiz » (je demande une analyse), en date du 25 mai 2006. A cette époque la consommation de viande de cheval ne faisait pas l’objet d’une loi européenne. C’est seulement en 2009 que l’UE a fait ses premiers pas notamment dans le but d’interdire l’abattage des chevaux en vue de la consommation, pour des raisons sanitaires, puisque les médicaments pouvaient pénétrer l’organisme des consommateurs.
Quand les campagnes s’éveilleront
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lagazettefr a publié:"Réunis, le mardi 12 février 2013 sous l'égide de l'Assemblée des départements de France, les conseils généraux séduits par le manifeste des nouvelles ruralités veulent avoir voix au chapitre lors de l'examen du projet de loi de décentralisation. « On a"
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Nouvelle publication sur Le millefeuille sur le grill
Quand les campagnes s'éveilleront
by lagazettefrRéunis, le mardi 12 février 2013 sous l'égide de l'Assemblée des départements de France, les conseils généraux séduits par le manifeste des nouvelles ruralités veulent avoir voix au chapitre lors de l'examen du projet de loi de décentralisation.« On arrête de raser les murs et on redresse la tête ! » : ainsi, le président (PCF) du conseil général de l'Allier, Jean-Paul Dufreigne résume le credo des conseils généraux à prédominance rurale. Alors que les régions et les métropoles se taillent la part du lion dans l'avant-projet de loi de décentralisation, ces départements s'organisent en « groupe d'influence ».A l'origine de ce mini-lobby, quatre présidents de territoires du nord du Massif Central : Jean-Paul Dufreigne, Alain Rafesthain (PS., Creuse), Jean-Jacques Lozach (PS., Creuse) et Patrice Joly (PS., Nièvre). Issus de « régions administratives différentes », ils ont publié un manifeste des « nouvelles ruralités » le 12 juillet 2012. Le quatuor y promeut « des bassins de vie à échelle humaine, favorisant une vie plus simple et des rapports humains apaisés ».Services « planchers »Son mot d'ordre ? « Luttons contre la double peine ! » « Déréglementation et libéralisation de certains services publics ou d'intérêt général ont souvent transformé un accès universel gratuit en une dépense publique contrainte de compenser. C'est inéquitable, alors même que les opérateurs réalisent gratuitement les infrastructures nécessaires dans les grandes aires urbaines (réseau de fibre optique par exemple) », cinglent ces édiles arrimés à gauche. Tous militent pour « le principe de services planchers, véritable bouclier rural indispensable au maintien de la vie de proximité ».C'est, à leurs yeux, la condition sine qua non pour relancer l'économie de leur territoire, c'est-à-dire notamment favoriser « la structuration de filières (agroalimentaire, industrie, biotechnologies, économie verte…) ».Financement pérenne de l'APAUn discours qui porte. 14 autres conseils généraux se sont montrés intéressés par l'initiative des « quatre mousquetaires de la ruralité », ainsi que les a baptisés le président de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton (PS). Tous se sont retrouvés au siège de l'ADF, ce 12 février.A l'issue de leur réunion de travail, Claudy Lebreton a souligné « le désir d'aller vivre dans les territoires ruraux » qui se manifeste « depuis la fin du siècle dernier ». « Ces départements qui sont assez organisés, portent de l'urbanité tout en assurant l'harmonie entre l'homme et la nature », a vanté le président du conseil général des Côtes d'Armor.Jean-Paul Dufreigne, le pionnier de l'Allier, pose un préalable à l'acte III de la décentralisation : le financement pérenne des allocations de solidarité. « Nos territoires sont plus impactés que d'autres par la hausse du nombre de bénéficiaires l'allocation personnalisée d'autonomie du fait du vieillissement de la population », a-t-il rappelé.Stratégie d'influencePour Jean-Jacques Lozach, son collègue de la Creuse, on a assez « écrit, parlé et colloqué ». « Un mouvement d'impatience » gagne les campagnes. Loin de se poser en ennemis des métropoles européennes dessinées par le gouvernement, les porte-voix des « nouvelles ruralités » se font, avant tout, les chantres de l'équilibre des territoires.Depuis la rentrée, ils ont pris leur bâton de pèlerin. Le 12 septembre, ils sont allés à la rencontre de la ministre en charge de la Décentralisation, Marylise Lebranchu. Fin janvier, ils ont pris la route de l'Elysée. Bernard Combes, maire (PS) de Tulle et conseiller « relation avec les élus » de François Hollande les a reçus. « L'ancien président du conseil général de la Corrèze doit avoir des schémas de pensée proche des nôtres », jaugent les patrons de départements. Les inventeurs du concept de nouvelles ruralités remettront en septembre un rapport à l'ADF. Un moment idéal pour eux : c'est à la rentrée 2013 que devrait débuter la deuxième lecture du projet de loi de décentralisation.Jean-Baptiste Forraylagazettefr | 13 février 2013 à 15:18 | URL: http://wp.me/pJcie-eg
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mercredi 13 février 2013
Hommage à un grand homme
Repas Sétois
Voilà une bonne nouvelle.
"Chez Mialet" a dans ses fourneaux un repas Sétois à vous proposer pour le :
MERCREDI 20 FÉVRIER à midi.
Avec, pour la somme de 15€ (vin et café non compris) un menu préparé aux petits oignons.
- Tielle artisanale (de Sète), servie avec salade (en entrée)
- Moules farcies (grand format, élevées dans l'étang de Thau) et encornet farci, à la sauce sétoise, et son riz (en plat principal)
- Gâteau "Pim's" (orange/chocolat) pour clôre le festin.
Vous pouvez réserver dès à présent au 04 66 54 18 90.
Au plaisir de vous retrouver prochainement.
L'équipe Paul, fred et Patrick
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