Pour une Francophonie respectueuse des droits humains : agissons maintenant ! Si vous ne parvenez pas à lire cet e-mail, cliquez ici
Pour une Francophonie respectueuse des droits humains : agissons maintenant !
Le 19ᵉ Sommet de la Francophonie se tient en ce moment même à Villers-Cotterêts et à Paris. À cette occasion, le président de l'ACAT-France, Yves Rolland, lance un appel urgent aux 88 chefs d'État et de gouvernement de l'espace francophone. L'ACAT-France demande à chaque État membre de replacer les droits humains au cœur de ses priorités.
En effet, dans plusieurs pays membres de l'OIF, nous assistons à une recrudescence des arrestations arbitraires, des violences policières, des répressions contre les journalistes et des condamnations à mort.
Les libertés fondamentales sont attaquées, et il est temps de dire STOP !
Dans notre lettre ouverte, nous leur rappelons ainsi les engagements pris dans le cadre de la charte de Bamako qui les exhorte au respect d'un certain nombre de droits humains, et dont ils sont tous les signataires.
Dans ce plaidoyer, nous réclamons une Francophonie plus respectueuse des droits humains, en demandant notamment la fin des exécutions capitales, la lutte contre la torture et le renforcement de la justice.
Je lis la lettre ouverte du président de l'ACAT-France
Vous avez le pouvoir d'agir avec l'ACAT-France et de porter avec elle ce message essentiel : la Francophonie rayonnera avec d'autant plus d'éclat qu'elle aura les droits humains comme priorité !
Grâce à votre mobilisation, nous pouvons décupler l'impact de notre interpellation et obliger les chefs d'État et de gouvernement à aborder la question des droits de l'Homme dans le cadre de leurs discussions. Agissons maintenant !
Je partage le tweet d'interpellation sur X (ancien twitter)
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Nous suivre, c'est aussi agir.
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 4 octobre 2024
Pour une Francophonie respectueuse des droits humains : agissons maintenant !
Impôts, retraites : Barnier assume ses « décisions difficiles », quitte à brusquer (encore) les macronistes
jeudi 3 octobre 2024
Scandale des crèches privées : des documents démontrent "l'entente" entre Aurore Bergé et la Fédération française des entreprises de crèches
https://www.francetvinfo.fr/societe/info-franceinfo-dysfonctionnements-dans-les-creches-privees-des-documents-demontrent-l-entente-entre-aurore-berge-et-la-federation-francaise-des-entreprises-de-creches_6815789.html#xtor=CS2-765-%5Bautres%5D-
Ce soir sur France 2, suivez L'Événement avec Manuel Bompard
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Ce soir sur France 2, suivez l'émission L'Événement avec Manuel Bompard
Ce soir, jeudi 3 octobre, Manuel Bompard, coordinateur de la France insoumise, sera l'invité de l'émission L'Événement sur France 2 face à Olivier Faure, Aurore Bergé, Laure Lavalette, Éric Ciotti et Marc Fesneau pour un débat suite à l'interview du Premier ministre, Michel Barnier.
Nous vous invitons à suivre l'émission et à régair sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Levenement.
L'Événement avec Manuel Bompard
Jeudi 3 octobre à 21h20
Sur France 2
#Levenement
Amitiés,La France insoumise
⚡️ Avis de tempête
Les nuages noirs menaçant l'industrie automobile s'épaississent pour 2025 : malus alourdi, aides réduites et un avenir électrique qui ne tient qu'à un fil.
⚡️ Le ciel s'assombrit sur l'industrie automobile
Des nuages noirs couvrent l'horizon de l'industrie automobile, et nul besoin d'être météorologue pour comprendre que cela n'augure rien de bon. Que l'on regarde à l'échelle nationale, européenne ou internationale, il n'y a pas une once de ciel bleu en vue, y compris en Chine. Pourtant, il va falloir composer avec cette météo menaçante. Si seulement les décisions politiques ne venaient pas empirer une situation déjà mal engagée…
Rien qu'au niveau de la France, les premières rumeurs concernant les décisions politiques de 2025 ont tendance à plomber le moral. Il n'y a pas de fumée sans feu, les fuites d'informations servent souvent à tester l'acceptabilité des mesures. On espère juste que le gouvernement est conscient que le jaune à l'horizon n'est sans doute pas celui du soleil, mais celui de gilets de sécurité.
Une chape de plomb côté malus
Le malus pénalise fiscalement les voitures thermiques émettant le plus de CO2. Il sanctionne de plus en plus de modèles chaque année. Théoriquement, cela devrait être un bon argument pour la voiture électrique (ou au moins électrifiée). Mais c'est un raccourci bien trompeur. Un durcissement du malus incite surtout les clients à reporter ou abandonner l'achat d'un véhicule neuf. Si l'on souhaite que les constructeurs aient les moyens de développer des voitures électriques, malgré un marché en berne, il faut qu'ils vendent et produisent des voitures neuves, toutes motorisations confondues. La réglementation CAFE va déjà lourdement pénaliser les constructeurs, ils n'ont pas besoin de subir une pénalité supplémentaire au niveau local.
Même de petits moteurs vont se retrouver taxés en 2025 par un seuil de déclenchement des émissions à 113 g/km de CO2. Et la douloureuse pour tous les autres augmente mécaniquement. Pour les modèles à fortes émissions de CO2, le malus maximal passerait de 60 000 € à 70 000 €. Selon les premières estimations, le malus devrait augmenter en moyenne de 45 % en 2025. Et le pire, c'est qu'on ne sait même pas s'il profitera à un quelconque bonus, car lui aussi est sur la sellette.
Chute du bonus et leasing social coulé ?
Habituellement, quand il y a bâton, il y a carotte. À ce niveau-là, les premiers signaux de fumée sont également contradictoires. Fin août, l'ancien premier ministre, Gabriel Attal, a laissé des instructions pour réduire l'enveloppe budgétaire liée à la transition écologique automobile. Il se disait alors que le bonus serait raboté, mais le leasing social conservé.
Depuis, le vent semble avoir tourné : le leasing social serait potentiellement balayé ou restreint, et le bonus conservé. Dans tous les cas, il y a une constante : le budget alloué aux aides à l'achat des voitures électriques va baisser.
Vers un plan épargne logement pour la voiture électrique ?
À moins qu'il ne se trame encore autre chose. Un lecteur m'a fait part d'une étrange enquête d'opinion pour laquelle il a été interrogé. L'étude portait sur la mobilité et les politiques publiques. Mais, c'est surtout le volet sur les aides publiques qui l'a interpellé dans le contexte actuel. Difficile de savoir quel crédit donner à cette enquête, mais plusieurs éléments suggèrent qu'elle a été diligentée par un ministère (ou un cabinet de conseils proche).
Parmi les questions posées, plusieurs étaient orientées sur les intentions d'achat d'une voiture électrique dans l'hypothèse d'un bonus à 5 000 €, à 2 000 € ou sans bonus. Dans d'autres questions, l'étude demandait si ces aides lui semblaient nécessaires, si elles ne profitaient pas qu'aux personnes aisées et si ces fonds ne seraient pas mieux investis dans d'autres secteurs.
Un scénario surprenant était aussi proposé aux sondés concernant la mise en place d'un plan d'épargne spécifique à l'acquisition d'une voiture électriques. À la manière d'un plan épargne logement (PEL), l'intéressé verserait tous les mois de l'argent en vue d'acheter une voiture électrique. L'État participerait, mais l'épargnant ne pourrait en bénéficier que s'il utilise les fonds pour acheter une voiture électrique (neuve, en leasing ou d'occasion). Cette hypothèse m'apparait bien trop élaborée pour n'être qu'un hasard. Reste à déterminer si une telle alternative pourrait être une réponse intéressante pour l'industrie automobile, à suivre.
Il parait que les prix des voitures électriques sont artificiellement gonflés par les aides à l'achat et que les supprimer ferait baisser les prix. Et si l'on allait vraiment observer les prix pratiqués en Europe, y compris dans des pays qui n'ont plus de bonus, pour vérifier cette affirmation quelque peu hâtive ? C'est le dossier que j'ai réalisé cette semaine sur Numerama.
L'image de la semaine 📸
La Renault 5 est parée au lancement ! Les parkings de l'usine de Douai sont remplis de modèles prêts à être livrés. Cet extrait d'une vidéo de drone donne le ton, on devrait rapidement croiser des R5 jaunes dans les rues. Les essais presse ont lieu cette fin de semaine. Je vous donne rendez-vous le 7 octobre pour découvrir mes impressions !
Ce qu'il ne fallait pas manquer 👍
⚡ Drôle de mois de septembre pour la voiture électrique
Le classement des immatriculations est tombé le 1er octobre. Résultat ? Un étrange mélange entre du positif, du négatif et une dose d'inattendu.
⚡ Vinfast a un problème avec des bornes rapides
Le jeune constructeur vietnamien a commencé à livrer ses premiers modèles en France avec plus d'un an de retard. Pourtant, des problèmes subsistent, dont un de taille pour un SUV familial : le VF8 n'arrive pas se charger sur plusieurs réseaux de charge rapide, dont Ionity et Engie. C'est gênant !
⚡ L'ancien importateur français de Leapmotor affronte Stellantis
Quand David défie Goliath... Se sentant trahi après plusieurs années d'investissement, l'ancien importateur français de Leapmotor se lance dans une procédure judiciaire. Mais dans cette bataille inégale, qui aura le dernier mot ?
⚡ Que devient le Tesla de l'hydrogène ?
Tous les projecteurs étaient pointés sur la marque Hopium lors du Mondial de l'Auto 2022. Que s'est-il passé depuis ? Et, surtout, d'autres marques vont-elles subir le même sort ?
⚡ Baisse des prix de la Volkswagen ID.3
Le prix de la Volkswagen ID.3 est tombé sous les 30 000 € en Allemagne, et cela devrait s'étendre à d'autres pays. De quoi faire trembler quelques concurrents.
Le produit de la semaine 🚗
Les batteries de voiture (12V) sont de plus en plus sollicitées par l'électronique. Elles sont devenues la première source de panne. Alors pour palier à ce problème, surtout si vous n'utilisez pas votre voiture tous les jours, on ne peut que recommander une solution de maintien de charge pour vous épargner bien des soucis.
À partir de 79,99 €
L'augmentation des pensions prévue en janvier décalée à juillet
mercredi 2 octobre 2024
2 millions de seniors vivent sous le seuil de pauvreté – Silence de Michel Barnier
"Seniors. À l'occasion de la journée internationale des personnes âgées, le 1ᵉʳ octobre, Les Petits Frères Des Pauvres ont publié leur rapport concernant la pauvreté des personnes de 60 ans et plus. On y apprend que 2 millions de seniors vivent sous le seuil de pauvreté, c'est-à-dire avec moins de 1 216 euros par mois. Cela correspond à 60 % du niveau de vie médian.
En cinq ans, le taux de pauvreté est passé de 7,5 % à 10,6 % chez les 65-74 ans. Une progression inquiétante qui résulte des politiques néolibérales menées par Emmanuel Macron et ses gouvernements successifs. À l'instar des 10 millions de pauvres et des 8 millions de Français contraints de recourir à l'aide alimentaire, le sujet de la pauvreté des seniors a été complètement ignoré dans le discours de politique générale de Michel Barnier.
Subissant plus souvent le sous-emploi, le temps partiel et les ruptures de carrière, les femmes sont les plus touchées par la pauvreté. Cela affecte également leur retraite. Parmi les plus de 75 ans, le taux de pauvreté est de 6,6 % pour les hommes et atteint 10,1 % chez les femmes. Déjà exposées à l'isolement en raison d'une meilleure espérance de vie, les femmes sont donc les plus susceptibles de se priver de vie sociale pour des raisons économiques."
https://linsoumission.fr/2024/10/01/seniors-2-millions-pauvres/