Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 2 août 2023
Tweeté par Groupe parlementaire La France Insoumise - NUPES sur Twitter
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mardi 1 août 2023
Caricaturiste patenté du Droit !...
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983" :
Ce débat sur la police a tourné au clash...
LFI-NUPES 🇫🇷
https://youtu.be/VBr4NMDCs_k
Antoine Léaument face à Rudy Mana (syndicat Alliance) et Bruno Pomart (Ancien CRS et ancien du RAID...)
Et accessoirement maire de Belflou (11), et caricaturiste patenté du Droit !...
Uniquement du malt artisanal
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "OCCITANIE Retrait "Sud de France" : "une décision à contre-courant" pour Carole Delga" :
Uniquement du malt artisanal
"Les restaurateurs sont un peu archaïques vis-à-vis de la bière. Alors, comme c'est difficile de
proposer de la bière artisanale dans les bars et restaurants, cela permet d'avoir son propre bar et de servir des produits qu'on ne trouve pas ailleurs, à des prix intéressants", commente-t-il.
Pour ce brasseur, qui travaille uniquement avec du malt artisanal, c'est le début d'une nouvelle aventure. Et même s'il se veut prudent, il confie sans détour que "c'est un format qui est amené à se dupliquer, dans le Gard."
Le "bAAAr", 12 place des Martyrs. Ouvert du jeudi au lundi de 17 h 30 à 23 h. Prix entre 1,30 et 8,50 € selon les bières."
https://www.midilibre.fr/2023/07/30/a-ales-un-nouveau-baaar-a-bieres-100-artisanal-vient-a-recemment-ouvert-ses-portes-11370396.php
lundi 31 juillet 2023
Tweeté par François Ruffin sur Twitter
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Quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Propos de Frédéric Veaux, patron de la police : et le devoir de réserve ? – Libération" :
Fronde des policiers : quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983
LeHuffPost
https://youtu.be/089DIxYamvw
En juin 1983, près de 2000 policiers se répandent dans Paris pour demander la démission du ministre de la Justice Robert Badinter. La réponse du président de la République ne se fait pas attendre.
POLITIQUE - C'est une situation qui en rappelle une autre, mais le dénouement est bien différent. La mise en détention provisoire d'un policier marseillais soupçonné de violences policières suscite une levée de boucliers d'une partie des policiers, soutenus par leur chef, Frédéric Veaux. Pour le directeur général de la police nationale, un policier n'a « pas sa place en prison, même s'il a pu commettre des erreurs graves ».
Face à cette déclaration provocatrice et polémique, l'exécutif répond « nul n'est au-dessus des lois »… mais la réaction s'arrête là. Confronté à une fronde des policiers s'attaquant à l'institution judiciaire, le président de la République François Mitterrand, choisit, lui, la sévérité, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article.
Le 3 juin 1983, dans la cour d'honneur de la préfecture de police de Paris, près de 1500 policiers sont venus rendre hommage à deux de leurs collègues, Émile Gondry et Claude Caiola tués par des cambrioleurs, membres du groupuscule d'extrême gauche Action directe, avenue Trudaine, quelques jours plus tôt.
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