Et si le mot COVID n' était qu' un terme générique intégrant toutes les maladies des voies respiratoires
Nous vivons un monde forminable !
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
"La Sfil, une discrète banque publique qui assure les financements des bateaux achetés en
France par le groupe MSC, s'est réjouie en 2020 de bénéficier du « soutien » du secrétaire général de l'Élysée. Ce dernier a des liens familiaux avec les Aponte, les principaux actionnaires de MSC."
https://www.mediapart.fr/journal/economie/231121/la-note-qui-relance-l-affaire-kohler
"SFIL, anciennement Société de financement local, est une banque publique de développement française, fondée en février 2013, active dans le domaine du financement au secteur public local et dans le refinancement des grands contrats de crédits à l'exportation.
Créée à la suite de la faillite du groupe bancaire franco-belge Dexia, la SFIL est une banque 100 % publique, ayant reçu l'agrément de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, et dont l'État est l'actionnaire de référence, à hauteur de 75 %, aux côtés de la Caisse des dépôts (20 %) et de La Banque postale (5 %).
La SFIL refinance, via sa société de crédit foncier la Caisse Française de Financement Local (Caffil), des prêts à moyen et long termes que La Banque Postale propose, en partenariat avec la Caisse des dépôts, aux collectivités territoriales et aux établissements publics de santé.
En mai 2015, afin de renforcer la capacité d'exportation des entreprises établies en France, la SFIL a également reçu pour mission par l'État, la création d'un dispositif de place dédié au refinancement des grands contrats de crédits à l'exportation, assurés par BPI France Assurance Export."
Gérald Kierzek, son cri du cœur face à la détresse des hôpitaux
"Régulièrement invité sur les plateaux de télévision pour commenter la crise sanitaire, le docteur Gérald Kierzek a accepté de répondre aux questions de Gala, l'été dernier. L'occasion pour lui d'évoquer comment la crise sanitaire a mis en lumière le mal-être des centres hospitaliers français : "Nos directeurs ne sont pas des médecins, mais des financiers. Il faut rouvrir des hôpitaux, des maternités, rouvrir des lits, et pas qu'en réanimation. Arrêtons les technocrates à la tête des hôpitaux et du système de santé." Un cri du cœur qu'il réitère aujourd'hui, alors que la cinquième vague s'apprête à frapper l'Europe."
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