Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 17 avril 2021
Action Non Essentielle - Acte II Occupation Cratère Alès
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Les communes de Mialet et Saint-Jean-du-Gard seron..." :
Chers clients, chères clientes, bientôt les promotions sur les indemnisations du chômage!
À qui le (mauvais) tour ?
Action Non Essentielle - Acte II
Occupation Cratère Alès
https://youtu.be/KbsH92m575A
Les vendredis de la colère...
par...
Les occupants du Cratère à Alès (30) 09/04/2021
vendredi 16 avril 2021
jeudi 15 avril 2021
Les communes de Mialet et Saint-Jean-du-Gard seront notamment mises à l'honneur lors de la diffusion.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "FAIT DU JOUR Report des Départementales et Régiona..." :
BIQUETTE ET PÉLARDON AU PROGRAMME
"Depuis le début de la semaine et jusqu'au 20 avril, l'équipe de l'émission Échappées belles diffusée sur France 5 a posé ses caméras en terres cévenoles. Les communes de Mialet et Saint-Jean-du-Gard seront notamment mises à l'honneur lors de la diffusion."
(...)
https://www.objectifgard.com/2021/04/14/limage-du-jour-france-televisions-en-tournage-dans-les-cevennes/
Des journalistes se sont infiltrés dans des visioconférences interministérielles : "Déjà que l'ambiance n'est pas top..."
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-politique/des-journalistes-se-sont-infiltres-dans-des-visioconferences-interministerielles-ce-qui-est-sur-cest-quon-na-pas-pris-la-solution-la-plus-securisee_4355289.html
ZOOM ET LES TÉLÉCROCHETS MINISTÉRIELS
"L’histoire est hallucinante. A deux reprises, des journalistes se sont invités à des réunions interministérielles, des "RIM" dans le jargon politique. C’est lors de ces réunions que le Premier ministre ou ses conseillers arbitrent des décisions qui concernent plusieurs administrations. Sur la loi Climat par exemple, pour trancher un sujet technique entre l'Écologie et l'Économie. Comment se fait-il que des journalistes aient pu assister à ces conclaves sans se faire remarquer ? Et bien tout simplement parce que crise sanitaire oblige, les réunions du gouvernement, qui peuvent rassembler plus d’une soixantaine de personnes, se tiennent désormais en visioconférence. Une fois connecté, il suffit de ne pas allumer la caméra de son ordinateur, ni son micro. Impossible ou presque de savoir qui est là. Et le tour est joué.
N’importe qui ne peut pas pour autant s'infiltrer dans une réunion du gouvernement. Il faut avoir des codes pour se connecter, générés par Matignon qui les envoie aux seuls conseillers concernés par le thème de la réunion. Mais manifestement, ces codes circulent plutôt aisément. Ce qui crée une atmosphère délétère entre cabinets ministériels. "Déjà que l’ambiance n’est pas top avec le télétravail, si en plus on doit se suspecter les uns les autres, ça ne va pas aller", souffle un conseiller. Un autre s’agace "de ne plus avoir d’espace de confidentialité pour travailler sereinement".
ZOOM ET LES TÉLÉCROCHETS MINISTÉRIELS
"L’histoire est hallucinante. A deux reprises, des journalistes se sont invités à des réunions interministérielles, des "RIM" dans le jargon politique. C’est lors de ces réunions que le Premier ministre ou ses conseillers arbitrent des décisions qui concernent plusieurs administrations. Sur la loi Climat par exemple, pour trancher un sujet technique entre l'Écologie et l'Économie. Comment se fait-il que des journalistes aient pu assister à ces conclaves sans se faire remarquer ? Et bien tout simplement parce que crise sanitaire oblige, les réunions du gouvernement, qui peuvent rassembler plus d’une soixantaine de personnes, se tiennent désormais en visioconférence. Une fois connecté, il suffit de ne pas allumer la caméra de son ordinateur, ni son micro. Impossible ou presque de savoir qui est là. Et le tour est joué.
N’importe qui ne peut pas pour autant s'infiltrer dans une réunion du gouvernement. Il faut avoir des codes pour se connecter, générés par Matignon qui les envoie aux seuls conseillers concernés par le thème de la réunion. Mais manifestement, ces codes circulent plutôt aisément. Ce qui crée une atmosphère délétère entre cabinets ministériels. "Déjà que l’ambiance n’est pas top avec le télétravail, si en plus on doit se suspecter les uns les autres, ça ne va pas aller", souffle un conseiller. Un autre s’agace "de ne plus avoir d’espace de confidentialité pour travailler sereinement".
Inscription à :
Articles (Atom)