Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 25 octobre 2016
lundi 24 octobre 2016
Boisset et Reverjac
Boisset et Gaujac
Au lendemain du Conseil Municipal du 30 août nous alertions sur les faits suivants :
Un incident grave vient de se passer en mairie. Une personne, employée municipale nouvellement réintégrée dans la commune, n’a pas attendu bien longtemps pour se distinguer à nouveau. En effet, elle a photocopié et sorti de la mairie des documents confidentiels, en fouillant, en son absence, les armoires de sa collègue responsable du personnel.
Ce qui lui est reproché :
- Sortie de l’arrêté d’avancement de la secrétaire générale des services.
- Sortie des 31 bulletins de traitement du mois de mars 2016 de l’ensemble du personnel communal.
- Sortie de la liste des traitements du mois de mai 2016 de l’ensemble du personnel et des indemnités des élus.
Cette personne a reconnu les faits et s’est vu infliger un blâme le 4 juillet 2016.
Le Maire, Gérard Reverget, a refusé d’en rendre compte au Conseil Municipal du 30 août, alors que la loi lui en fait obligation.
La personne en cause, amie de Monsieur Reverget, condamnée et déboutée à plusieurs reprises a été radiée des cadres de la mairie par l’ancien maire. Elle a fini par gagner son procès en appel, le maire actuel ayant délégation pour le faire n’a pas désigné d’avocat pour défendre la commune.
Ainsi donc, ce sont plusieurs dizaines de milliers d’euros qui devront être versés à cette employée indélicate par notre commune, donc par les Boissetains.
Ces méthodes ne sont pas acceptables. Le temps des copains et des coquins doit cesser.
Citoyen Boissetain – Courriel : boissetain@gmail.com
dimanche 23 octobre 2016
samedi 22 octobre 2016
Extrait de la Roustan' page Facebook du 14 octobre 2016
Depuis Saint Hilaire a voté non au projet de golf
Un beau camouflet pour Max
Suite aux diverses accusations et contre-vérités délivrées par le Maire de Saint Hilaire de Brethmas à l’occasion de la campagne en vue de la consultation qu’il a décidé d’organiser ce dimanche sur le Projet de "l'éco-site de Saint Hilaire", je me vois dans l’obligation de préciser certains faits et rétablir certaines vérités.
Car NON une campagne n’autorise pas tout.
Comme je l’avais annoncé, afin de ne pas influencer les électeurs de Saint Hilaire et dépassionner le débat, à aucun moment je n’ai pris de position publique dans le cadre de cette consultation et je continuerai dans ce sens. Comme je m’y étais engagé, j’ai chargé les techniciens de l’Agglomération de répondre "techniquement et juridiquement" aux légitimes questions de la population, sans polémiques, ni parti pris. C’est ce qui a été fait le 11 octobre dernier lors de la réunion publique.
Par contre je ne puis laisser plus longtemps Monsieur Perret et ses acolytes proférer autant de mensonges dans les communications officielles ou dans les nombreux tracts anonymes, mensongers, insultants ou pire diffamatoires qui fleurissent et ainsi induire en erreur les habitants. C’est indigne.
En effet, le Projet "Les Hauts de Saint Hilaire" nous a bien été confié par délibération du Conseil Municipal de la Commune de Saint Hilaire le 3 octobre 2005. Ensuite ce projet a été déclaré d’intérêt communautaire par les Conseillers Communautaires par délibération du 6 octobre 2005 et confirmé le 11 décembre 2014. Ce sont des faits indiscutables et facilement vérifiables. Dire le contraire c’est mentir. L’ignorer quand on est Maire et Conseiller Communautaire est une faute.
Pire, m’accuser de menacer les électeurs de Saint Hilaire, alors qu’interrogé par des concitoyens, je leur ai seulement rappelé le droit, après consultation de nos juristes, afin de ne pas les tromper sur les conséquences de leur choix, comme je l’avais d’ailleurs fait à plusieurs reprises en Conseil Communautaire, est scandaleux.
OUI dans un État de droit c’est le droit qui s’applique, n’en déplaise à Monsieur Perret, et le Droit Français prévoit dans les articles L 1321-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales que, l'ensemble des biens droits et obligations acquis ou contractés pour la mise en place de ce projet sera restitué à la commune initialement compétente.
La loi en décide ainsi, je n’y peux rien.
Donc il est tout à fait légal qu’en cas d’abandon de l’intérêt communautaire sur ce projet, la commune en reprenne la gestion. Elle retrouvera ainsi sa souveraineté, et pourra agir à sa guise. Elle disposera d'un actif rétrocédé par la Communauté d'Agglomération (une centaine d'hectares de terrains) et devra s'acquitter du passif auprès d'elle (3 400 000 €TTC), correspondant aux prix de ces terrains et des études engagées. D’ailleurs que diraient les contribuables des 49 autres communes d’Alès Agglomération, s’ils devaient demain payer dans leurs impôts les conséquences d’un tel abandon. Cela ne serait pas juste et ils seraient fondés à ne pas l’accepter. Il est juste de devoir assumer les conséquences de ses décisions. Il est irresponsable de vouloir faire payer par d’autres ses propres choix.
OUI Monsieur Perret, en droit, la délibération du 3 octobre 2005 vous oblige en tant que Maire de la Commune, que vous le vouliez ou non.
Dans cette campagne, les arguments fallacieux ont succédé aux propos mensongers, aux menaces et à la violence de certains tenants du NON. C’est indigne.�C’est la raison pour laquelle je n’ai pas souhaité mêler ma voix à ces calomnies, pensant que le débat politique valait mieux que cela.
Dimanche soir nous saurons enfin si ce projet se poursuit ou non. Je tiendrai mes engagements, j’espère qu’en cas de victoire du OUI, les élus et les opposants en feront de même.
�Dimanche il ne s’agit pas d’un référendum ROUSTAN contre PERRET, n’ayant strictement aucun intérêt à défendre.
Je crois fermement à la qualité et à l'intérêt du projet des Hauts de Saint Hilaire, sinon je ne l'aurais pas défendu.
Pour autant j'ai choisi en mon âme et conscience de laisser les habitants de la commune de Saint Hilaire faire leur choix et décider de l’avenir du territoire.
Je ne suis pas de ceux qui changent d'avis au gré du vent et des moments. Je l'ai déjà montré et je continuerai à le faire.
Max ROUSTAN
Car NON une campagne n’autorise pas tout.
Comme je l’avais annoncé, afin de ne pas influencer les électeurs de Saint Hilaire et dépassionner le débat, à aucun moment je n’ai pris de position publique dans le cadre de cette consultation et je continuerai dans ce sens. Comme je m’y étais engagé, j’ai chargé les techniciens de l’Agglomération de répondre "techniquement et juridiquement" aux légitimes questions de la population, sans polémiques, ni parti pris. C’est ce qui a été fait le 11 octobre dernier lors de la réunion publique.
Par contre je ne puis laisser plus longtemps Monsieur Perret et ses acolytes proférer autant de mensonges dans les communications officielles ou dans les nombreux tracts anonymes, mensongers, insultants ou pire diffamatoires qui fleurissent et ainsi induire en erreur les habitants. C’est indigne.
En effet, le Projet "Les Hauts de Saint Hilaire" nous a bien été confié par délibération du Conseil Municipal de la Commune de Saint Hilaire le 3 octobre 2005. Ensuite ce projet a été déclaré d’intérêt communautaire par les Conseillers Communautaires par délibération du 6 octobre 2005 et confirmé le 11 décembre 2014. Ce sont des faits indiscutables et facilement vérifiables. Dire le contraire c’est mentir. L’ignorer quand on est Maire et Conseiller Communautaire est une faute.
Pire, m’accuser de menacer les électeurs de Saint Hilaire, alors qu’interrogé par des concitoyens, je leur ai seulement rappelé le droit, après consultation de nos juristes, afin de ne pas les tromper sur les conséquences de leur choix, comme je l’avais d’ailleurs fait à plusieurs reprises en Conseil Communautaire, est scandaleux.
OUI dans un État de droit c’est le droit qui s’applique, n’en déplaise à Monsieur Perret, et le Droit Français prévoit dans les articles L 1321-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales que, l'ensemble des biens droits et obligations acquis ou contractés pour la mise en place de ce projet sera restitué à la commune initialement compétente.
La loi en décide ainsi, je n’y peux rien.
Donc il est tout à fait légal qu’en cas d’abandon de l’intérêt communautaire sur ce projet, la commune en reprenne la gestion. Elle retrouvera ainsi sa souveraineté, et pourra agir à sa guise. Elle disposera d'un actif rétrocédé par la Communauté d'Agglomération (une centaine d'hectares de terrains) et devra s'acquitter du passif auprès d'elle (3 400 000 €TTC), correspondant aux prix de ces terrains et des études engagées. D’ailleurs que diraient les contribuables des 49 autres communes d’Alès Agglomération, s’ils devaient demain payer dans leurs impôts les conséquences d’un tel abandon. Cela ne serait pas juste et ils seraient fondés à ne pas l’accepter. Il est juste de devoir assumer les conséquences de ses décisions. Il est irresponsable de vouloir faire payer par d’autres ses propres choix.
OUI Monsieur Perret, en droit, la délibération du 3 octobre 2005 vous oblige en tant que Maire de la Commune, que vous le vouliez ou non.
Dans cette campagne, les arguments fallacieux ont succédé aux propos mensongers, aux menaces et à la violence de certains tenants du NON. C’est indigne.�C’est la raison pour laquelle je n’ai pas souhaité mêler ma voix à ces calomnies, pensant que le débat politique valait mieux que cela.
Dimanche soir nous saurons enfin si ce projet se poursuit ou non. Je tiendrai mes engagements, j’espère qu’en cas de victoire du OUI, les élus et les opposants en feront de même.
�Dimanche il ne s’agit pas d’un référendum ROUSTAN contre PERRET, n’ayant strictement aucun intérêt à défendre.
Je crois fermement à la qualité et à l'intérêt du projet des Hauts de Saint Hilaire, sinon je ne l'aurais pas défendu.
Pour autant j'ai choisi en mon âme et conscience de laisser les habitants de la commune de Saint Hilaire faire leur choix et décider de l’avenir du territoire.
Je ne suis pas de ceux qui changent d'avis au gré du vent et des moments. Je l'ai déjà montré et je continuerai à le faire.
Max ROUSTAN
vendredi 21 octobre 2016
Qui est Rodolphe Schwartz, ce visage des policiers en colère... qui n'est pas policier ? - L'Obs
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20161021.OBS0147/qui-est-rodolphe-schwartz-ce-visage-des-policiers-en-colere-qui-n-est-pas-policier.html#xtor=EPR-3-[ObsDerMin]-20161021
Extrait:
Autre point soulevé par plusieurs médias, Rodolphe Schwartz a été sur la liste du Front national aux municipales de 2014, dans le 18e arrondissement de Paris, emmenée par Philippe Martel, alors chef de cabinet de Marine Le Pen, en 37e position (avec Wallerand de Saint Just). Ce qui n'est pas pour arranger les soupçons de collusion du mouvement avec le FN.!
Extrait:
Autre point soulevé par plusieurs médias, Rodolphe Schwartz a été sur la liste du Front national aux municipales de 2014, dans le 18e arrondissement de Paris, emmenée par Philippe Martel, alors chef de cabinet de Marine Le Pen, en 37e position (avec Wallerand de Saint Just). Ce qui n'est pas pour arranger les soupçons de collusion du mouvement avec le FN.!
Vous avez dit bizarre
Colère des policiers : l'un des leaders de la contestation n'est plus dans la police depuis quatre ans
http://www.francetvinfo.fr/societe/manifestation-des-policiers/colere-des-policiers-l-un-des-leaders-de-la-contestation-n-est-plus-dans-la-police-depuis-quatre-ans_1883103.html
Note du reboussier
Comment peut on être leader d' une profession sans y appartenir
Cela ne retire en rien le laxisme des politiques et l' horreur des dernières actions de ces meurtriers appelés trop gentiment "sauvageons" par notre ministre de l' intérieur
Mais voyons ca sent un peu trop la manipulation … mais par qui ?
Note du reboussier
Comment peut on être leader d' une profession sans y appartenir
Cela ne retire en rien le laxisme des politiques et l' horreur des dernières actions de ces meurtriers appelés trop gentiment "sauvageons" par notre ministre de l' intérieur
Mais voyons ca sent un peu trop la manipulation … mais par qui ?
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