Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 24 mai 2016
GARD Pénurie : découvrez les stations sans essence dans le département ! - Objectif Gard
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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Gerard Filoche , loi travail projet scélérat !" :
Le moins disant social est une spirale infernale.
On sait où elle commence mais on ne sait jamais où elle s'arrête. Le petit patronat et la petite bourgeoisie ferait bien de s'en rendre compte avant d'êtres emportés à leur tour.
Vous en voulez une preuve ?
Quand ils arrêtent de travailler toute l'économie est bloquée
.
Et alors les réactionnaires qui agonisent les salariés le reste du temps viennent geindre dans les médias complaisants qu'ils sont pris en otage.
Une entreprise emploie des salariés non pas pour créer de l'emploi mais parce qu'ils lui rapportent de l'argent.
Et en période de chômage de masse, c'est à dire tout le temps, le rapport de force est largement en faveur de l'employeur.
C'est pourquoi le code du travail existe outre le fait que le contrat de travail contient un lien de subordination entre l'employé et l'employeur.
Ce qui fait de'ailleurs dire à certains que la démocratie s'arrête aux portes de l'entreprise. Encore faudrait il qu'elle ait commencé quelque part.
Or les salariés représentent 90% de la population active et la consommation des ménages représente 70% du PIB. Donc les ménages salariés engendrent peut être la moitié voire plus du PIB.
Je vous laisse imaginer les conséquences sur l'économie quand les salaires baissent au profit des actionnaires ou quand les conditions de travail empirent au profit du patronat.
Même le capitaliste Ford l'avait compris en son temps, c'est dire.
Vous êtes une victime de leur propagande.
lundi 23 mai 2016
Eh oh
Eh oh les mecs et les nanas
Vous critiquez un peu facilement le combat de la CGT
mais tous les avantages acquis durant ces années
Au prix de luttes déséquilibrées
Les avez vous refusé ?
Un peu facile de laisser les autres se battre et même les critiquer pour excès et intransigeance
Pour récolter les fruits sans risque !
Gerard Filoche , loi travail projet scélérat !
Note du REBOUSSIER
Quand je pense que ce gouvernement a supprimé la loi de Sarko travailler plus pour gagner plus
Et qu'il refait la même chose avec la loi travail , mais Avec plus de restrictions pour les travailleurs !
Pourtant au départ l' idée était que la simplification du code du travail …Le dépoussiérage !
Et j' ai voté pour Hollande ! Quel C.. Suis-je
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Blocage du train à vapeur d 'ANDUZE" :
Voici les raisons du blocage expliqués sur un tract distribué ce matin
Contre la loi travail, on renverse la vapeur !
Tchou tchou c'est nous !
On vient bloquer le traintrain quotidien, mais pourquoi gâcher ainsi ce qui aurait pu être une belle promenade touristique en ce joli jour de mai ?
Parce que le tourisme représente une part absolument pas négligeable de l'économie locale (le Train à Vapeur des Cévennes est la ''véritable locomotive de l’économie touristique'', dixit la Région), et cette économie, eh ben nous on veut la bloquer.
Mais pourquoi ?
Parce que ça fait partie des moyens que nous avons pour renforcer le rapport de force, face aux patrons et à l'État, contre la foutue Loi Travail qu'ils cherchent à nous imposer (et t'inquiètes que de toute façon ça fait un bail qu'on avait des comptes à régler avec eux).
Eh oui, pas encore rassasiés avec la généralisation du travail du dimanche, notamment dans les zones touristiques,
les licenciements qui pleuvent dans tous les sens (comme à la si paisible Bambouseraie qu'on vient voir de si loin),
ce coup-ci, pour la faire courte,
ils vont baisser les salaires,
allonger le temps de travail hebdomadaire,
faire galérer encore plus les chômeurs,
j'en passe et des meilleures !
Et puis pour ce qui est du tourisme, tu sais, on a pas vraiment envie d'être les gentils autochtones bons vivants et accueillants des cartes postales quand on en vit les ravages !
Ici on coupe des arbres centenaires pour faire un parking de musée,
là on balance des millions d'argent public pour qu'une entreprise comme la Citev, qui gère ce petit train, puisse continuer à faire du profit,
alors que
vouscomprenezy'aplusd'argentpourl'écolemaisvousavezqu'àvendredes-gâteauxàlafêteduvillage !
On grince un peu des dents dans nos apparts pourris et inchauffables à côté des villas bien exposées occupées deux semaines dans l'année.
Et on devrait se réjouir parce qu'on a une chance de trouver un taf saisonnier payé au lance-pierre trois mois dans l'année, dans des conditions encore plus nazes si on laisse passer cette nouvelle loi ?
Alors voilà, on bloque.
Tchoutchou
francetv info : voici un message extrait de "L'actu en continu"
BAYER MONSANTO
> http://www.francetvinfo.fr/live/message/574/299/726/674/762/9ab/e90/200.html
>
>
> Envoyé par HS
dimanche 22 mai 2016
Jean-Luc Mélenchon à la rencontre des socialistes déçus le 28 mai
Jean-Luc Mélenchon à la rencontre des socialistes déçus le 28 mai
Inscrivez-vous pour participer à cet événement !
Dépités par les choix du gouvernement, les électeurs de gauche et, parmi eux, les sympathisants socialistes, sont de plus en plus nombreux à se déclarer favorables à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l'élection présidentielle. Les enquêtes d'opinion indiquent qu'elle est désormais susceptible de devancer le président sortant en 2017.
La Nouvelle Gauche Socialiste a soutenu cette proposition de candidature, la mieux placée pour incarner l'alternative progressiste à un PS discrédité, afin d'affronter la droite et l'extrême droite. L'exposé des motifs de ce soutien a été développé dans la tribune publiée le 23 mars dernier dans Libération par nos anciens responsables fédéraux et nationaux démissionnaires du PS (voir ci-dessous).
Parce que cette candidature suscite curiosité, engouement et questionnements, NGS organise une rencontre où les socialistes déçus pourront dialoguer sans tabous avec Jean-Luc Mélenchon le samedi 28 mai, de 14h à 17h, Confluences, 190 Bd de Charonne, 75020 Paris.
Jean-Luc Mélenchon : le candidat de la Raison
Libération, 23 mars 2016
par : Liêm Hoang-Ngoc (ex-membre du Bureau national du PS), Julien Jusforgues (ex-membre du Conseil National), Daniel Bonnot (ex-membre de la Commission nationale des conflits), Roger Tropéano (ex-Délégué national), Catherine Renaud-Mayer (ex-Première secrétaire fédérale de la Manche), Laurent Beaud (ex-membre du Bureau fédéral de l'Hérault), Alain Bourgeade (ex-membre du Bureau fédéral de Haute-Garonne), Jean-Claude Bridon (ex-membre du Bureau fédéral du Cher), Fabienne Chiche (ex-membre du Bureau fédéral du Val de Marne), Annie Darrieux (ex-membre du Bureau fédéral du Gers), Sabrina Ghallal (ex-membre du Bureau fédéral de la Marne), Denis Gouteux (ex-membre du Bureau fédéral du Cantal), Nicolas Grondin (ex-membre du Bureau fédéral de l'Essonne), Laurent Hecquet (ex-membre du Bureau fédéral du Puy de Dôme), Catherine Laur (ex-membre du Bureau fédéral de l'Aveyron), Frédéric Martin-Delvincourt (ex-membre du Bureau fédéral des adhésions de Paris), Jean-Claude Maurin (ex-membre du Bureau fédéral du Gard), Anas Moutabarrik (ex-membre du Bureau fédéral de la Marne), Daniel Orts (ex-membre du Conseil fédéral de l'Aveyron), Franck Rey (ex-membre du Bureau fédéral du Cantal), Olivier Spinelli (ex-membre du Bureau fédéral de la Somme)
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Anciens cadres nationaux et fédéraux du PS, aujourd'hui membres de la Nouvelle Gauche Socialiste, nous avons quitté le parti d'Epinay, en crise profonde, et comptons parmi les déçus du quinquennat de François Hollande.
Le bilan décevant du quinquennat
La loi bancaire devait être proclamée pour arraisonner la finance. Elle fut en deçà des recommandations du rapport Liikanen en faveur d'une directive bancaire européenne. La France ne pressa d'ailleurs aucunement son représentant en charge du dossier à la Commission européenne d'en achever l'élaboration. La taxation des transactions financière, qui devait être mise sur pieds en coopération renforcée, ne fait toujours pas l'objet d'un appui ferme de l'exécutif.
La réforme fiscale a été enterrée. Bercy s'est-il arrangé avec le Conseil constitutionnel pour « retoquer » le projet de CSG progressive défendu par les « frondeurs » ? Ce dernier n'en répondait pas moins points par points aux objections faites en 1999 au Premier ministre de l'époque, dépositaire du projet et aujourd'hui membre du conseil des « sages ».
La lutte contre le chômage est en passe d'échouer, alors que la Commission et le Conseil ont autorisé la France à déroger au pacte de stabilité pendant toute la durée du mandat. Ces importantes marges de manœuvre ont été affectées en pure perte au redressement de la part des profits dans la richesse nationale. Leur octroi auraient pu être conditionné à de l'investissement utile. Elles auraient encore pu être consacrées à la transition énergétique, aux services publics et à la redistribution.
Enfin, la loi Travail et la réforme constitutionnelle sont aussi symptomatiques du virage conservateur de l'exécutif, qu'inaptes à inverser la courbe du chômage et à lutter contre le terrorisme. Elles affaibliront inévitablement le salariat et la démocratie.
Le piège de la Primaire
Certaines voix en appellent à une Primaire de toute la gauche pour désigner un candidat susceptible de se « qualifier » pour le second tour afin de faire barrage à l'extrême-droite. Nous n'y participerons pas. Pour mobiliser les déçus du quinquennat, ce candidat devrait en effet, au minimum, défendre le programme du Bourget. Or rien n'est moins sûr. Les expériences de 2007 et 2012 indiquent que des Primaires, pourtant ultra-médiatisées, ne mobilisent que partiellement l'électorat populaire et qu'elles finissent par désigner le candidat le mieux placé dans les sondages. Elles musèleront pour le reste du débat électoral toutes les forces qui auraient choisi d'y participer dans le but de réorienter la gauche. En participant à cette primaire, celles-ci seraient inévitablement perçues comme les forces d'appoint du candidat social-libéral qu'elles auront contribué à légitimer, mais qui aura peu de chance de franchir le premier tour de l'élection présidentielle.
Seule une candidature « hors système », c'est-à-dire dépassant les frontières et jeux des « appareils » existants, est de nature à enclencher une nouvelle dynamique populaire susceptible d'atteindre à un score proche ou égal au seuil de qualification pour le second tour. Son espace politique, au carrefour de la République, du socialisme et de la planification écologique est, à l'évidence, identifiable.
Le candidat de la Raison
Plusieurs personnalités pensent que leur tour est venu pour incarner un tel destin. Les traits de caractère sont parfois mis en avant pour comparer les impétrants. Personne n'a, à cet égard, le monopole de la passion et de la grandiloquence, ni de l'égocentricité et de l'autoritarisme. A l'aune de ces critères, nombre de prétendant(e)s susceptibles de faire le choix de s'enfermer dans le piège de la primaire sont relativement bien classés. Pour les progressistes, seule la Raison doit guider l'action et considérer les personnalités qui, par le symbole de leurs engagements, sont aujourd'hui en position d'incarner l'espoir d'une Résistance au mouvement de balancier vers la droite, en passe d'emporter notre pays.
C'est pourquoi nous apportons notre soutien à la proposition de candidature faite par Jean-Luc Mélenchon, la mieux placée pour incarner, auprès de ceux qui souffrent, la France insoumise à l'ordre établi. L'élection présidentielle est l'élection majeure à l'occasion de laquelle de nouvelles générations de citoyens s'engagent collectivement en politique, pour peu qu'une perspective s'ouvre. Elle est l'occasion d'expérimenter de nouvelles pratiques susceptibles de jeter les bases d'un futur rassemblement citoyen à la française. Le moment est venu d'en bâtir les fondations.
Retrouvez NGS sur : http://ngs.ouvaton.org