L'affaire Clot Ferrier , c'est une secrétaire qui, pendant 30 ans a eu des relations conflictuelles
avec tous les maires successifs de Boisset et Gaujac
En 2012 , après un congé pour maladie , selon son principe permanent,
elle ne reprend pas le travail à la date prévue sur son arrêt maladie
Le Maire de l'époque saute sur l'opportunité , constate l'absence injustifiée et prend un arrêté de radiation des cadres,
puisque l'abandon de poste est sanctionné dans la fonction publique par la radiation
( c'est un des rares cas où un fonctionnaire peut être licencié)
Mireille Clot Ferrier ( que l'on appelle Ferrier depuis son divorce) a fait 6 procès à la commune de Boisset et Gaujac
Elle est déboutée dans tous les procès
En 2014 , Gérard Reverget ( son ami personnel) est élu Maire de Boisset et Gaujac
Mireille Ferrier profite de l'occasion et fait appel du dernier jugement
Gérard Reverget explique à son Conseil Municipal que Mireille Ferrier a été injustement licenciée ,
et que dans cette affaire le plus simple, c'est de ne pas désigner d'avocat pour défendre la Commune
Effectivement, sans avocat pour défendre la Commune , l'affaire se solde par la condamnation de la Commune de Boisset et Gaujac
Le jugement prévoit :
que la Commune doit lui verser 2.000€ pour ses frais de justice
que la Commune doit la réintégrer
que la Commune doit lui régler ses arrièrés de salaires depuis 2012
Reverget présente le jugement à son Conseil Municipal en expliquant que la Commune doit 2.000€ à Mireille Ferrier
et qu'après l'affaire Ferrier est terminée , et donc il n'y a pas lieu d'aller en cassation .
Certains Conseillers demandent à voir le dossier Ferrier , mais se voient opposer un refus.
L'argument clé de Reverget , c'est de dire que cette affaire a assez durée et qu'il faut arrêter les procédures .
Mais il oublie de dire qu'il a reçu des courriers de Mireille Ferrier dans lesquels elle réclame plus de 60.000€ d'arriéré .
Et que 60.000€ d'arriérés , avec les charges sociales cela fait 120.000€ au moins à payer par la Commune
( cela est confirmé par l'avocat de Mireille Ferrier dans son entretien avec le journaliste de Midi Libre)
Nombre de Conseillers refusent de voter sur ce sujet , considérant qu'ils n'ont pas tous les éléments utiles à leur appréciation .
Néanmoins , Reverget décide de ne pas aller en cassation
BILAN :
La Commune va devoir régler environ 120.000€ de salaires et charges
La commune la réintégrera et aura une charge salariale supplémentaire d'environ 60.000€ par an jusqu'à la retraite de Mme Ferrier
La Commune ne pourra pas faire face , dans son budget , à ces dépenses
Les Boissetains vont être lourdement mis à contribution financière
MERCI QUI ?
MERCI REVERGET
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 19 octobre 2015
C' est quoi l'affaire Ferrier ?
Boisset et Reverjac
c'est quoi, l'affaire Clot Ferrier ?"
samedi 17 octobre 2015
REGARDER LA SOUFFRANCE DES ANIMAUX DANS LES ABATTOIRS
Extrait:
En mai 2015, l'association L214 avait sollicité l'abattoir pour effectuer une visite. Le maire Max Roustan avait alors refusé la visite affirmant que :
« L'abattoir municipal d'Alès a à coeur de respecter de façon rigoureuse les dispositifs limitant au maximum la souffrance des animaux, sous le contrôle strict et quotidien des services de l'État. »
« L'abattoir municipal d'Alès a à coeur de respecter de façon rigoureuse les dispositifs limitant au maximum la souffrance des animaux, sous le contrôle strict et quotidien des services de l'État. »
Nouveau commentaire sur Boisset et Gaujac le Midi Libre.
Retranscription d'après enregistrement audio
de la lettre d'Albert Ravier, à l'adresse du conseil municipal
Au conseil municipal de 12 novembre 2014, Albert Ravier, adjoint absent, donne procuration à Mme Leslie Roussel.
A la demande de M. Ravier, Mme Christel Chaabihi a accepté de faire lecture d'une lettre qu'il a écrite à l'ensemble des élus et des Boissetains présents :
(…)
Mme Chaabihi :
-Avant d'attaquer l'ordre du jour, Monsieur Albert Ravier qui est absent m'a demandé de lire une lettre de sa part.
M. Reverget :
-Allez-y, Madame Christel Chaabihi.
Mme Chaabihi :
-Merci,
M
« Lors de la séance du conseil municipal du 29 juillet 2014, à l'unanimité nous avons voté la réintégration de Mme Ferrier à son poste, avec reconstitution de carrière depuis 2012.
Mais ceci ne figure pas sur le registre des délibérations, en désaccord avec les notes de la secrétaire de séance.
Oubli ? Erreur ? Nous sommes tous responsables. Qui vérifie le registre avec les notes prises par la secrétaire de séance ?
Puisqu'il est trop tard pour que le vote soit transcrit convenablement dans son intégralité, je demande que soit mise à l'ordre du jour et votée la décision qui avait été prise à l'unanimité et que soit désigné un responsable pour vérifier que nos décisions et le compte-rendu final soient identiques.
Signé : Albert Ravier »
Après un silence, le maire lâche un « voilà », qui met un terme à cette intervention.
(...)
Puis une conseillère (Mme Isabelle Rousselle) prend la parole pour aborder un autre sujet…
Aucun commentaire des élus sur ce courrier.
Aucune modification de l'ordre du jour comme souhaité par M. Ravier.
Aucun vote du conseil sur ce sujet.
vendredi 16 octobre 2015
Communiqué sur l'abattoir municipal d'Alès
Communiqué sur l'abattoir municipal d'Alès
Abattoir d’Alès : de multiples alertes avaient été lancées
MAX s' est réveillé ....Mais en retard !!
Extrait:
Si le maire d'Alès, Max Roustan, a annoncé quelques heures après la diffusion de ces images la fermeture à titre conservatoire de l'abattoir municipal, les alertes ont été nombreuses ces dernières années autour de l'établissement, le plus important du Languedoc-Roussillon, qui traite tous types d'animaux, bovins, ovins, porcins, équidés.
LA PENSÉE DU JOUR
NOS POLITIQUES NE SONT QUE DES COMMERCIAUX QUI N' ONT RIEN À VENDRE
À PART LEURS GESTICULATIONS INUTILES EN VUE DE SE MAINTENIR À LEUR POSTE
jeudi 15 octobre 2015
mercredi 14 octobre 2015
Boisset et Gaujac
Le maire se targue de régler lui même les frais d'avocats à charge de la commune, alors qu'il n'en a pas le droit, mais refuse de montrer les documents qui l'attestent.
Dans un courrier du mois de juillet, le Préfet lui rappelle pourtant les règles :
Dans un courrier du mois de juillet, le Préfet lui rappelle pourtant les règles :
« Je souhaite attirer votre attention sur quelquespoints relatifs à l'administration générale d'une commune.La transparence des activités communales participe à ladémocratie locale. Les membres du conseil municipaltiennent de leur qualité de membres de l'assembléemunicipale appelés à délibérer sur les affaires de lacommune, le droit d'être informés de tout ce qui touche àces affaires, dans des conditions leur permettant deremplir normalement leur mandat.
L'article L. 2121-13 du Code Général desCollectivités Territoriales dispose que tout membre duconseil municipal a le droit, dans le cadre de sa fonction,d'être informé des affaires de la commune qui font l'objetd'une délibération. Cet article confirme une jurisprudenceadministrative établie (Conseil d'Etat, 29 juin 1990Commune de Guitrancourt).
Pour que les conseillers municipaux puissent remplirnormalement leur mandat, il convient que leur soientcommuniqués non seulement les projets de délibérations,mais également tous les documents nécessaires pour apprécier le sens, la portée et la validité de çes projets.
Je vous invite donc à veiller à l'observation de l'ensemble de ces préconisations et à me faire part detoutes observations qu'il vous paraîtrait utile de porter àma connaissance. »
Le maire n'en tient aucun compte, continue de mentir et de faire de la rétention de documents qu'il refuse de communiquer aux élus du conseil municipal.
Voilà une vidéo explicite :
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