vendredi 1 juin 2012

Dédicace le 9 juin 2012 : Bernard de Fréminville



Bonjour !

A l'occasion de la parution de son dernier livre "LE ROMAN DE CORCONAC", nous aurons le plaisir de recevoir, le samedi 9 juin à 16h à la Librairie :

Bernard de Fréminville

Cet ouvrage a été co-édité par La Porte des Mots et l'association SMAC qui anime tout en musique la superbe église romane de St Martin de Corconac (près de l'Estréchure). Inspiré par ce très beau site, l'auteur nous raconte en 11 tableaux commençant à la préhistoire, le destin de ce lieu et de ses occupants jusqu'au XIXème siècle. Le 12ème tableau vous est entièrement réservé, il vous restera à l'écrire...

Bernard de Fréminville est l'auteur de plusieurs ouvrages dont, sur notre région :
- Les remparts d'Anduze
- Le mammouth de Durfort

Des festivités sont prévues dans l'église à l'occasion des journées du patrimoine, nous vous en tiendrons informés dès que possible.

Au plaisir de vous voir bientôt,
Bien cordialement
Nicole de Fréminville
LA PORTE DES MOTS
4, rue Neuve
30140 ANDUZE
04 66 54 44 51



La corrida garde droit de “citer” dans Alès

http://www.midilibre.fr/2012/05/31/la-corrida-garde-droit-de-citer-dans-ales,509243.php

Humanite

http://www.humanite.fr/m

Communiqué de presse du CRAC

Communiqué de presse du CRAC
24 mai 2012

Abolition de la corrida à Alès : le bras de fer est engagé !

Par ses interventions dans les médias pendant la feria d'Alès, M. Max Roustan nous a fait comprendre qu'il était bien conscient que la torture tauromachique
posait problème. Que la mobilisation citoyenne en direction de la mairie commençait à perturber certains services, et qu'une forte opposition contre ces
pratiques barbares était peu compatible avec un esprit de la feria qu'il voulait « festif ». Nous sommes tout à fait d'accord avec M. Roustan : torturer
des animaux pour le plaisir, ce n'est pas « festif ». Qu'il s'agisse d'un cheval traînant ses tripes sur le sable, ou d'un taureau terrorisé vomissant
son sang. Il est temps d'appeler les choses par leur nom : ces supposées traditions (la corrida n'existe en France que depuis 1853) relèvent de « sévices
graves » et « d'actes de cruauté » (article 521.1 du Code pénal). L'auteur de ces actes est un tortionnaire, ceux qui s'en réjouissent dans les gradins
sont des sadiques, voire des pervers (le lynchage des militants à Rodilhan le 8 octobre 2011 en a été une preuve supplémentaire – dossier en cours d'instruction
– 70 plaintes déposées contre une trentaine d'agresseurs). Nous n'accepterons plus la barbarie dans la capitale des Cévennes. La corrida du 20 mai 2012,
avec ce provocant « concours de picadors » et cette « pluie d'oreilles » accordées par l'instigateur de ces horreurs, l'adjoint au maire François Gilles,
aura été la dernière à Alès. Notre mobilisation citoyenne va s'intensifier au fil des semaines et des mois jusqu'à obtenir gain de cause : la mise en place
de la démocratie et la consultation du peuple. Une toute petite minorité ne peut plus imposer ces séances de torture. Par une lettre ouverte (ci-jointe),
nous informons M. Roustan que nous appellerons à voter contre lui lors de toutes les échéances électorales si nous n'obtenons pas gain de cause. Il peut
consulter la population sur le sujet par voie référendaire, mais il peut aussi tout simplement ne pas faire d'appel d'offres pour 2013 et ne plus financer
la corrida par des subventions directes ou indirectes. La règle est immuable : sans soutien de la mairie, il n'y a jamais de corrida dans une ville ! Nous
lançons à M. Roustan un ultimatum pour le 4 juin. En fonction de son positionnement, nous appellerons à voter pour ou contre lui dès le mardi 5 juin au
matin. Et nous lui demandons un rendez-vous dans les plus brefs délais.

Plus rien n'arrêtera la vague abolitionniste dans la capitale des Cévennes. Les 11 et 12 mai 2013, nous annonçons dès à présent un rassemblement unitaire
abolitionniste sans précédent. Notre objectif : plus de 5 000 militants pour empêcher les séances de barbarie ou pour fêter « Alès, ville de l'abolition
! ». Et la première feria alésienne sans corrida sera enfin « festive », comme le souhaite Max Roustan. Fréjus a montré l'exemple en 2010. Ce n'est pas
si difficile !

Pour l'ensemble des associations

Jean-Pierre Garrigues
Président du CRAC d'Alès
Vice-président du CRAC Europe pour la protection de l'enfance

Tél. 06 75 90 11 93