Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 10 octobre 2011
Unesco hold up alesien
Pas de doute ! Cet avis est partagé par un grand nombre d'élus cévenols et du Causse ! Surtout ceux qui se sont réellement impliqués dans le projet.
Un de la vrai Porte des Cévennes
Qui sont les indignés ?
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Le vents des évènements a tracé la bissectrice qui sépare les indignés des indignes. D’un côté des nantis, des privilégiés, des notables en charge d’une mission sociale et bénéficiant à ce titre d’un rang, d’avantages et de la confiance a priori de leur concitoyens.
Ces missions sont diverses dans leur expression, mais toutes concordent au fonctionnement de la société. C’est tantôt un industriel qui fabrique des médicaments pour garantir ou améliorer la santé publique. En contrepartie, la société l’enrichit. C’est parfois un banquier qui draine l’épargne et doit la redistribuer sous forme de prêts. Au passage, ses clients acceptent qu’il prenne une commission pour rémunérer ses services. C’est également un homme (ou plus rarement une femme) politique qui décide de représenter ses homologues et d’investir son temps et son énergie pour le bien de la communauté. Celle-ci en retour lui accorde un statut privilégié.
C’est comme cela que le monde fonctionne depuis la nuit des temps et qu’il continuera à le faire. Mais alors qu’est-ce qui coince actuellement ?
Deux dérives majeures grippent la belle mécanique sociale.
D’une part, les dirigeants n’apportent qu’une faible valeur ajoutée au groupe. Au contraire, par une série calamiteuse de mauvaises décisions ils ont tissé la trame de la crise profonde et létale qui menace notre monde au plan financier certes, mais aussi économique, mais encore social et surtout écologique. Ils nous ont précipité dans le gouffre. Et ils sont incapables, pour l’instant, de nous en sortir. Cette situation déjà très préoccupante est aggravée par l’effet de cliquet mis en place par les élites gouvernantes.
En effet et d’autre part, ces élites ont créé une société parallèle constituée de clubs, d’amicales, de fraternités qui doublent la société civile et paralyse ses institutions et ses procédures de contrôle et de régulation. A quoi sert la législation sur l’achat public si les opérateurs sensés être anonymes, se retrouvent le soir à dîner au club des anciens élèves d’une grande école, pour discuter des contrats? A quoi servent les organes de régulation si les régulateurs sont rémunérés par les entreprises qu’ils sont censés réguler ? A quoi sert la diversité politique si les opposants à la tribune se retrouvent bras dessus bras dessous en vacances dans la villa ou sur le yacht de tel milliardaire levantin.
Cette dérive des mœurs a été favorisée et amplifiée par l’abandon des valeurs sociales au profit du libertinage ploutocratique. Depuis plusieurs dizaines d’années au sein des plus grandes universités mondiales et des grandes écoles, la recherche pure et simple du lucre est devenu le paradigme de nos élites. Le progrès de l’humanité se mesure aux indices boursiers et à l’évolution du PIB. Toute analyse se concentre sur le quantitatif. Nul ne considère plus le bien-être des populations et le bonheur vécu des peuples. De nos jours, FLEMING passe pour un crétin pour avoir refusé de breveter la pénicilline et nous assistons à l’apothéose de Steve Jobbs, canonisé par acclamation. La contamination culturelle au reste de la société a été progressive et constante. Avec l’effondrement du bloc soviétique, est arrivé le règne de la pensée unique : « il n’y a pas d’autre choix ! ». Cette phrase est l’argument ultime des politiques et des institutions qui prônent le tout libéral, le démantèlement de l’état, la dérégulation à outrance, et qui rangent le service public au musée des accessoires démodés.
Le résultat c’est le médecin qui empoisonne, le banquier qui vole, l’élu qui ment et détourne la loi à son profit, le fort qui terrasse le faible.
L’indignité dont sont frappées les élites actuelles réside moins dans leurs erreurs que dans leurs mensonges, moins dans leur incompétence que dans l’acharnement déployé pour s’incruster au pouvoir.
La bissectrice, c’est la conscience qui suscite l’indignation devant l’indignité.
Signe encourageant pour l’avenir, la révolte des indignés nous suggère que le bon sens ne s’est pas trop dilué dans la soupe audiovisuelle et que la conscience civique est toujours présente. Ce mouvement, fort de sa spontanéité et de sa généralité, démontre que des alternatives sont possibles, souhaitables et désirées.
Si le contribuable est le garant en dernier recours des dettes souveraines, le citoyen demeure le maître en dernier recours de la vie politique. Même dans les pires tyrannies orientales le courage des opposants nous le rappelle. Contribuable et citoyen sont les deux faces d’une même pièce. Lorsque tous deux s’exprimeront d’une même voix, le changement sera en œuvre.
Dégageons les élites indignes et réservons nos impôts à des emplois utiles à la société.
Le combat se déroule ici et maintenant. C’est notre honneur de citoyen et notre devoir de contribuable. Nous devons rester indignés devant l’asservissement de l’appareil d’Etat à l’intérêt particulier des potentats locaux. Nous devons nous révolter devant la dérive clientéliste de certains élus plus sensibles aux indemnités électives promises qu’à leur devoir d’élu. Le citoyen n’existe que s’il agit. La passivité encourage l’état de fait et le perpétue.
Agir c’est faire société ; agir c’est voter ; agir c’est se mobiliser ; agir c’est militer ; agir c’est manifester.
Ensemble, agissons !
NEMO
Le vents des évènements a tracé la bissectrice qui sépare les indignés des indignes. D’un côté des nantis, des privilégiés, des notables en charge d’une mission sociale et bénéficiant à ce titre d’un rang, d’avantages et de la confiance a priori de leur concitoyens.
Ces missions sont diverses dans leur expression, mais toutes concordent au fonctionnement de la société. C’est tantôt un industriel qui fabrique des médicaments pour garantir ou améliorer la santé publique. En contrepartie, la société l’enrichit. C’est parfois un banquier qui draine l’épargne et doit la redistribuer sous forme de prêts. Au passage, ses clients acceptent qu’il prenne une commission pour rémunérer ses services. C’est également un homme (ou plus rarement une femme) politique qui décide de représenter ses homologues et d’investir son temps et son énergie pour le bien de la communauté. Celle-ci en retour lui accorde un statut privilégié.
C’est comme cela que le monde fonctionne depuis la nuit des temps et qu’il continuera à le faire. Mais alors qu’est-ce qui coince actuellement ?
Deux dérives majeures grippent la belle mécanique sociale.
D’une part, les dirigeants n’apportent qu’une faible valeur ajoutée au groupe. Au contraire, par une série calamiteuse de mauvaises décisions ils ont tissé la trame de la crise profonde et létale qui menace notre monde au plan financier certes, mais aussi économique, mais encore social et surtout écologique. Ils nous ont précipité dans le gouffre. Et ils sont incapables, pour l’instant, de nous en sortir. Cette situation déjà très préoccupante est aggravée par l’effet de cliquet mis en place par les élites gouvernantes.
En effet et d’autre part, ces élites ont créé une société parallèle constituée de clubs, d’amicales, de fraternités qui doublent la société civile et paralyse ses institutions et ses procédures de contrôle et de régulation. A quoi sert la législation sur l’achat public si les opérateurs sensés être anonymes, se retrouvent le soir à dîner au club des anciens élèves d’une grande école, pour discuter des contrats? A quoi servent les organes de régulation si les régulateurs sont rémunérés par les entreprises qu’ils sont censés réguler ? A quoi sert la diversité politique si les opposants à la tribune se retrouvent bras dessus bras dessous en vacances dans la villa ou sur le yacht de tel milliardaire levantin.
Cette dérive des mœurs a été favorisée et amplifiée par l’abandon des valeurs sociales au profit du libertinage ploutocratique. Depuis plusieurs dizaines d’années au sein des plus grandes universités mondiales et des grandes écoles, la recherche pure et simple du lucre est devenu le paradigme de nos élites. Le progrès de l’humanité se mesure aux indices boursiers et à l’évolution du PIB. Toute analyse se concentre sur le quantitatif. Nul ne considère plus le bien-être des populations et le bonheur vécu des peuples. De nos jours, FLEMING passe pour un crétin pour avoir refusé de breveter la pénicilline et nous assistons à l’apothéose de Steve Jobbs, canonisé par acclamation. La contamination culturelle au reste de la société a été progressive et constante. Avec l’effondrement du bloc soviétique, est arrivé le règne de la pensée unique : « il n’y a pas d’autre choix ! ». Cette phrase est l’argument ultime des politiques et des institutions qui prônent le tout libéral, le démantèlement de l’état, la dérégulation à outrance, et qui rangent le service public au musée des accessoires démodés.
Le résultat c’est le médecin qui empoisonne, le banquier qui vole, l’élu qui ment et détourne la loi à son profit, le fort qui terrasse le faible.
L’indignité dont sont frappées les élites actuelles réside moins dans leurs erreurs que dans leurs mensonges, moins dans leur incompétence que dans l’acharnement déployé pour s’incruster au pouvoir.
La bissectrice, c’est la conscience qui suscite l’indignation devant l’indignité.
Signe encourageant pour l’avenir, la révolte des indignés nous suggère que le bon sens ne s’est pas trop dilué dans la soupe audiovisuelle et que la conscience civique est toujours présente. Ce mouvement, fort de sa spontanéité et de sa généralité, démontre que des alternatives sont possibles, souhaitables et désirées.
Si le contribuable est le garant en dernier recours des dettes souveraines, le citoyen demeure le maître en dernier recours de la vie politique. Même dans les pires tyrannies orientales le courage des opposants nous le rappelle. Contribuable et citoyen sont les deux faces d’une même pièce. Lorsque tous deux s’exprimeront d’une même voix, le changement sera en œuvre.
Dégageons les élites indignes et réservons nos impôts à des emplois utiles à la société.
Le combat se déroule ici et maintenant. C’est notre honneur de citoyen et notre devoir de contribuable. Nous devons rester indignés devant l’asservissement de l’appareil d’Etat à l’intérêt particulier des potentats locaux. Nous devons nous révolter devant la dérive clientéliste de certains élus plus sensibles aux indemnités électives promises qu’à leur devoir d’élu. Le citoyen n’existe que s’il agit. La passivité encourage l’état de fait et le perpétue.
Agir c’est faire société ; agir c’est voter ; agir c’est se mobiliser ; agir c’est militer ; agir c’est manifester.
Ensemble, agissons !
NEMO
Jean-Pierre Bel Réforme territoriale
Le mot de la fin est logiquement revenu à Jean-Pierre Bel :
« Si un président de gauche est élu en 2012, le conseiller territorial sera abrogé, a conclu le président du Sénat. C'est un engagement ».
http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Politique/La-reforme-territoriale-s-est-faite-a-l-envers
Envoyé par PM
« Si un président de gauche est élu en 2012, le conseiller territorial sera abrogé, a conclu le président du Sénat. C'est un engagement ».
http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Politique/La-reforme-territoriale-s-est-faite-a-l-envers
Envoyé par PM
RESULTAT PRIMAIRES CITOYENNES
ANDUZE
GENERARGUES
MASSILLARGUES-ATUECH
SAINT SEBASTIEN D'AIGREFEUILLE
TORNAC
.
Arnaud MONTEBOURG....81
Martine AUBRY..................85
Jean-Michel BAYLET............1
Manuel VALLS....................25
François HOLLANDE........122
Ségolène ROYAL................36
TOTAL ..............................350
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Arnaud MONTEBOURG....81
Martine AUBRY..................85
Jean-Michel BAYLET............1
Manuel VALLS....................25
François HOLLANDE........122
Ségolène ROYAL................36
TOTAL ..............................350
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samedi 8 octobre 2011
AMRF CONGRES NATIONAL 40 ANS Congrès en direct
L’Association des Maires Ruraux de France a 40 ans. Dès l’origine un principe : des maires au service de leurs pairs ! Editorial du président de l'AMRF Vanik Berberian, paru dans le numéro de janvier de 36000 Communes.
LE DIRECT
http://www.webcastors.net/amrf/
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LE DIRECT
http://www.webcastors.net/amrf/
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vendredi 7 octobre 2011
C' est un peu surprenant d' afficher des idées écologiques
et d' etre en contradiction avec celles ci....
bonjour,
Une petite balade en vélo sur les chemins "cabossés" de massillargues-atuech pour admirer les paysages,les vignes et les couleurs de l' automne et nous avons été surpris de découvrir un liquide nauséabond sur le chemin.
En effet il s' agissait bien des eaux usées de la cave de massillargues qui se déversent (du bassin d épuration trop rempli) sur le chemin...
quelle est verte ma commune !!!
notre cave agit pour l' environnement !!
c' est un peu surprenant d' afficher des idées écologiques et d' etre en contradiction avec celles ci....
Ecolo anonyme ...
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